Les premiers Italiens en Belgique étaient des marchands toscans et des banquiers de la Renaissance, puis quelques dizaines d'artisans et d'exilés jusqu'au XVIII e siècle. Au début du XIX e siècle a commencé une petite communauté d'Italiens, presque tous du Nord, dans les principales villes de Wallonie et à Bruxelles.
Le groupe le plus important de Belges d'origine étrangère et de non-Belges, 51,8%, se trouve dans le groupe de nationalité hors UE27. Vient ensuite le groupe de nationalité UE27 à l'exclusion des pays voisins (28,2%). Et enfin le groupe de nationalité des pays voisins (20%).
Les raisons de cette immigration de masse sont nombreuses : Les conditions de vie étaient devenues difficiles en Italie entre 1870 et 1900, spécialement à la campagne. Les maladies et la famine ont été les causes principales de l'immigration.
Une vie agréable, dans un milieu cosmopolite, avec de nombreuses offres d'emploi, un bon système de santé et d'éducation, des incitations fiscales, et de la bonne cuisine…
Un véritable flot de départs pour fuir la misère, qui ralentit avec le miracle économique de l'après-guerre mais ne se tarit pas. Ils sont encore 1 million d'Italiens à franchir les frontières de leur pays dans les années 1970 et un demi-million dans les années 1980.
Les étrangers sur le sol italien depuis 2000
Ainsi, la communauté roumaine (dont on compte plus de 10% de Roms de Roumanie) est devenue la plus importante, tandis que le Maroc et l'Albanie en 2003 sont loin derrière, même s'ils enregistrent une légère augmentation.
Le mode de vie de ce pays a été façonné par le caractère de ses natifs. Aussi, ce peuple chaleureux est connu à travers le monde pour son caractère entier et franc. Expansif, il n'hésite pas à rompre la glace avec les étrangers, parfois intimidés par tant de chaleur.
En effet, l'IR en Belgique est souvent plus lourd que l'impôt en France, surtout pour les hauts revenus. Bien que les belges soient exonérés en dessous de 6040 euros de revenus (contre 5963 euros en France), la première tranche d'imposition (entre 0 et 7420 euros) est à 25% en Belgique, contre seulement 5.5% en France.
De nombreux Français fortunés ont choisi la Belgique pour vivre ou pour y installer des sociétés, en raison notamment de la fiscalité, plus avantageuse qu'en France pour les gens aisés. La faible taxation du capital et l'absence d'impôt sur la fortune (ISF) sont particulièrement appréciés.
Le coût de la vie en Belgique est 2,6 % moins élevé qu'en France. Le pouvoir d'achat local y est cependant 4,9 % moins élevé. En voyage, prévoyez un budget sur place d'au moins 107 € / jour et par personne.
Depuis la fin du XIX e siècle jusqu'à la veille de la Seconde Guerre mondiale, les régions italiennes qui fournirent le plus grand nombre de migrants sont celles du Nord, tout d'abord, le Piémont, suivi dans l'ordre par la Toscane, la Lombardie, la Vénétie, le Frioul-Vénétie Julienne et l'Émilie-Romagne.
De 1900 à 1915, 8 millions d'Italiens sont partis pour travailler dans les mines et usines de France et d'Allemagne, ou encore pour les Etats-Unis. Au sortir de la seconde guerre mondiale, l'Etat lui-même encourageait les travailleurs à plier bagage.
De nombreux migrants arrivent aussi régulièrement en Italie sur la petite île de Lampedusa, au sud de la Sicile. Soit après avoir débarqué des navires de secours, soit sur des bateaux de fortune qui parviennent à éviter les garde-côtes libyens ou italiens.
Les Marocains en Belgique est la population issue de l'immigration depuis 1964. Ils sont démographiquement la minorité ethno-culturelle d'origine étrangère la plus importante du pays.
Une personne peut avoir la double nationalité ou même plusieurs nationalités. Il existe trois catégories : Les Belges qui se sont vu attribuer une nationalité étrangère de plein droit.
Les Belges se distinguent par bien des traits de caractère et de culture. D'abord par leur sens du compromis, moins grégaire, plus amical et familier que la négociation à la française par exemple. Une qualité inégalable de nos voisins belges, et signe de grande intelligence, est leur sens de l'humour.
Un paradis fiscal est un pays ou un territoire où la fiscalité est très faible par rapport à ce que la personne qui parle considère comme la norme. Il se définit donc de manière relative et pour certains domaines d'activité.
Le salaire médian est lui de 3.550 euros. Cela signifie que 50% des salariés gagnent maximum 3.550 euros, tandis que l'autre moitié empoche un salaire plus élevé. Le plus grand groupe, 69% de l'ensemble des travailleurs, gagne un montant qui se situe entre 2.000 euros et 4.250 euros brut par mois.
Les salaires moyen et médian en Belgique
Le salaire médian est, lui, passé de 2639 euros à 3486 euros sur la même période. Pour rappel, le salaire médian représente ce que gagne au maximum la moitié de la population. En Belgique, environ 43% des actifs touchent entre 2500 et 3750 euros bruts mensuels.
En moyenne, le salaire moyen en Belgique est de 2306.06 €. Cette donnée est issue de la moyenne des salaires moyens renseignés par les internautes habitant dans le pays. La différence avec le salaire moyen en France est de 2%.
Huile d'olive et fibres
Par rapport à la France "où la culture culinaire est très riche en graisses, avec les fromages ou le beurre, en Italie la base c'est l'huile d'olive, on a plus conscience que c'est de la graisse, on la voit avant de l'ajouter à un plat", a estimé la nutritionniste.
L'Italie, ce splendide pays où les gens sont chaleureux, agréables, courtois, pleins de bonne humeur, mérite qu'on s'arrête sur le comportement à adopter, lors de votre voyage. Nous vous recommandons d'être vous mêmes, gentils et surtout prêt à rigoler, car les Italiens aiment bien plaisanter.
Les États-Unis restent le pays qui abrite le plus grand nombre d'immigrés, 49,8 millions, soit un sur cinq, loin devant l'Arabie saoudite et l'Allemagne (12,2 chacun), la Russie (11,7 millions), le Royaume-Uni (8,8), les Émirats arabes unis (EAU) (8,3) et la France (7,9).
France (658 000) Allemagne (412 000) Espagne (340 000) Italie (294 000)