Forme interrogative de "je peux" qui induit que le sujet questionne sur sa possibilité de faire quelque chose. Exemple : Puis-je vous parler en privé madame, ce que j'ai à vous dire ne peut être entendu par vos hôtes.
Le verbe pouvoir prend 2 r au futur et au présent du conditionnel mais à la différence de courir et de mourir, on n'en prononce qu'un seul. "Je puis" est plus distingué que "je peux". Cependant, on ne dit pas "peux-je" mais "puis-je", cette forme est obligatoire.
Attention donc à ne pas écrire « peux-je », qui est une erreur de plus en plus fréquente à l'écrit ! En effet, si on écrit je peux à la première personne du singulier, la conjugaison est modifiée à la forme interrogative et on inverse l'ordre du sujet et du verbe, en les liant avec un trait d'union : puis-je.
Puis est un adverbe que l'on emploie pour introduire un nouvel élément (l'action suivante) et marquer une succession dans un récit. Il est suivi d'une phrase (sujet - verbe - compléments) ou d'un nom. Exemples : Monsieur Granget a mis de l'ordre dans ses dossiers, puis il a quitté le bureau.
Et puis, introduit un deuxième ou un énième terme d'une énumération : Je veux une robe, un chemisier et puis des chaussures.
Synonyme : après, après coup, après quoi, ensuite, plus tard, postérieurement, par la suite, ultérieurement.
Adverbe. (Adverbe de temps) Permet l'enchaînement chronologique d'évènements. Il leur dit quelques mots, puis il sortit.
"Je puis" est plus distingué que "je peux". Cependant, on ne dit pas "peux-je" mais "puis-je", cette forme est obligatoire. On notera également le -x des deux premières personnes du singulier du présent de l'indicatif : je peux, tu peux.
La formulation correcte est « Puis-je ? ». « Peux-je ? » n'existe plus en français. On trouve la vieille forme « Peux-je ? » dans certains écrits en ancien français. Cette forme a peu à peu disparu pour laisser place à « Puis-je ? », probablement pour une raison d'euphonie.
Le mot « puits » s'écrivait autrefois « puis ». Mais pour éviter de le confondre avec l'adverbe, on a ajouté un « t ». En vous rappelant ceci, vous n'oublierez pas le « s », qui toujours présent dans l'adverbe.
La formulation correcte est « Puis-je ? ». « Peux-je ? » n'existe plus en français. On trouve la vieille forme « Peux-je ? » dans certains écrits en ancien français. Cette forme a peu à peu disparu pour laisser place à « Puis-je ? », probablement pour une raison d'euphonie.
Pourrais-je avoir l'addition s'il vous plait? Dans la seconde phrase, il s'agit encore du conditionnel présent alors que dans la première, il s'agit de l'indicatif présent. En effet, quand on inverse le sujet et le verbe, “je peux” devient “puis-je”.
Parmi les trois personnes du singulier, la terminaison -t est la marque de la 3e personne (il…, elle…, on…), jamais celle de la 1re ou de la 2e personne (je… et tu…). Par conséquent, on écrit « il peut », mais « je peux » et « tu peux ».
Règle du verbe pouvoir
Le verbe pouvoir prend 2 r au futur et au présent du conditionnel mais à la différence de courir et de mourir, on n'en prononce qu'un seul. "Je puis" est plus distingué que "je peux". Cependant, on ne dit pas "peux-je" mais "puis-je", cette forme est obligatoire.
Alors que, répondre « oui » à une question interro-négative confirmerait « la négation » de la question ce qui ne veut rien dire puisque la réponse est positive. Le « si » est donc là pour transformer une question négative en réponse positive.
La règle :
Il n'y a qu'un « l » quand on entend le son « e » : « tu appelais », « nous appelions », etc. Donc, facile, jamais le « e » de « appeler » ne prend l'accent grave. Ne jamais écrire « Je vous appèle pour confirmer votre rendez-vous », mais « Je vous appelle pour confirmer votre rendez-vous ».
On emploie le futur Pourrai-je quand on parle d'une action à venir. On emploie le conditionnel Pourrais-je quand on fait une hypothèse ou dans une formule de politesse.
1. Avoir la faculté de faire quelque chose ou de produire un effet.
Peux est le verbe pouvoir conjugué au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. Peut est également le verbe pouvoir conjugué au présent de l'indicatif, mais à la 3e personne du singulier.
Il faut écrire : Durant la conférence, j'ai pris toutes les notes que j'ai pu. « Pu » reste invariable, car « toutes les notes » n'est pas son COD. Celui-ci est en réalité l'infinitif sous-entendu « prendre » (« toutes les notes que j'ai pu prendre »).
« Qui plus est » signifie « de plus », « en outre », « plus encore ». Elle sert à renchérir sur une première affirmation, quitte à exagérer un peu. Autres synonymes : « de surcroît », « de même », « par-dessus le marché » …
Il existe d'autres coordonnants qui, parfois, se substituent aux conjonctions de coordination : pourtant, en effet, néanmoins, d'ailleurs, au contraire, puis… On les considère comme des adverbes de liaison ou des connecteurs.
On distingue traditionnellement neuf classes de mots : le nom, l'adjectif, le verbe, l'adverbe, le déter- minant, le pronom, la préposition, la conjonction et l'interjection. Il existe différentes façons de classer ces mots. Le plus souvent, la grammaire scolaire distingue les mots variables des mots invariables.
en conséquence, par conséquent, partant, par suite, d'où.
afin de, dans le but de, dans l'intention de, de manière à, en vue de. 2.