L'infection urinaire n'est ni transmissible, ni contagieuse. Donc oui, vous pouvez faire l'amour avec une infection urinaire, même s'il est préférable d'attendre que les symptômes disparaissent avant d'avoir des rapports sexuels, pour un meilleur confort.
L'infusion de thym, par exemple, est populaire pour son caractère antibactérien. Infusez quelques branches de thym dans de l'eau frémissante pendant une dizaine de minutes, puis filtrez tout ça pour ensuite boire votre nouvelle concoction.
L'infection urinaire, ce n'est jamais contagieux. L'homme ne peut pas transmettre une infection urinaire. En revanche, il peut transmettre une IST à ses partenaires sexuels.
L'infection urinaire n'est pas transmissible d'une personne à l'autre. En revanche, le rapport sexuel peut déclencher une cystite de différentes manières. Les mouvements durant l'acte sexuel ont une action mécanique qui peut entraîner le passage des germes situés près de l'anus vers le méat urinaire.
De manière générale, en prévention des cystites récidivantes après les rapports sexuels, il est conseillé de : boire beaucoup d'eau, d'uriner tout au long de la journée et pas juste le matin et le soir, d'uriner après les rapports sexuels.
Une infection urinaire de la vessie (cystite) guérit en quelques jours grâce au traitement. En cas de cystite, les symptômes peuvent persister deux à trois jours après le début du traitement, notamment en cas de traitement monodose, puis disparaissent.
La cystite est une maladie sexuellement transmissible (MST).
Faux. Les relations sexuelles favorisent les cystites (frottement, contact avec les muqueuses anales, libération d'hormones diminuant la réponse immunitaire), mais en aucun cas le germe ne peut être transmis par un partenaire sexuel.
Bien souvent, en plus de ces symptômes, une infection urinaire provoque également de la fatigue et certaines personnes peuvent également constater la présence de sang dans les urines.
L'aliment phare reconnu pour ses effets sur l'infection urinaire est la canneberge plus communément appelée "cranberry". Il peut y avoir une efficacité.
L'infection urinaire se produisant régulièrement après une relation sexuelle est liée à des microbes naturellement présents au niveau de la peau située entre l'urètre et l'anus. Et ces bactéries remontent parfois dans l'urètre jusqu'à la vessie, peut-être parce qu'elles vont vers la chaleur humide.
Il faut tout d'abord relancer le flux urinaire en buvant beaucoup d'eau et en allant uriner souvent, afin de chasser les microbes de façon « mécanique ». Il faut traiter un éventuel problème digestif (constipation...). Il est préférable de porter des vêtements amples en coton.
Une sensation de brûlure ou une douleur à la miction est typiquement provoquée par une inflammation de l'urètre ou de la vessie. Chez les femmes, une inflammation du vagin ou de la région située autour de l'ouverture vaginale (vulvovaginite. En cas d'inflammation de la vulve et du vagin, on parle de vulvovaginite.
Traditionnellement, on fait appel à des plantes médicinales telles que les feuilles de bouleau, les feuilles d'ortie, les feuilles d'orthosiphon ou le solidage verge d'or : une infusion avec Sidroga Feuilles d'ortie, Sidroga Feuilles de bouleau ou avec Sidroga Tisane pour la vessie et les reins.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
En cas de cystite et de prise d'antibiotiques, la consommation de boissons alcoolisées est fortement déconseillée. S'il faut éviter l'alcool, il est également nécessaire de proscrire les jus de fruits très acides (pamplemousse, orange, citron…), et même le café, ou en tout cas les excès de café.
Saforelle, hydralin, saugella sont des marques incontournables de produits vendus en pharmacie sans ordonnance indiqués dans l'hygiène en cas de d'infections urinaires.
Chez la femme enceinte, un test par bandelette, un ECBU et un antibiogramme sont réalisés avant de prescrire tout traitement. Dans les huit à dix jours qui suivent l'arrêt des médicaments, un ECBU de contrôle est réalisé pour s'assurer que l'infection est bien guérie.
Si la douleur est trop intense, un médicament antidouleur, tel que le paracétamol (Doliprane, Dafalgan) peut soulager les personnes atteintes de cystite.
Elle est en général due à une auto contamination, des germes d'origine digestive étant transportés depuis l'anus jusqu'au méat urinaire où ils peuvent ensuite remonter le circuit de l'urine pour envahir notamment l'urètre et la vessie.
La réponse de l'expert
Une infection urinaire est une maladie liée à des microbes, généralement des bactéries. Une cystite devrait normalement être le mot pour qualifier une inflammation de la vessie.
Causes de la cystite chez la femme
"Il existe des facteurs favorisants de cystite : ménopause, grossesse, malformation de l'appareil génito-urinaire, calculs, défaut de miction ou d'hydratation, utilisation de spermicides, facteurs individuels et peut-être hormonaux" informe le Pr Franck Bruyère.
Ce qui est certain, c'est que le stress affaiblit les défenses immunitaires et rend le corps plus vulnérable aux infections. Dans tous les cas, il est important de consulter rapidement un médecin en cas d'infection urinaire, profitez en pour lui en parler.
D'après les recommandations officielles, les antibiotiques les plus souvent préconisés pour la cystite en traitement probabiliste sont : la fosfomycine (MONURIL° en traitement monodose) ; le pivmécillinam (SELEXID ° en traitement sur 5 jours).
Le plus souvent, tout commence par des symptômes d'infection urinaire (cystite : brûlures mictionnelles, douleur du bas-ventre, envie pressante et fréquente d'urine, urines troubles...), mais ces signes peuvent être discrets ou même absents.