Pour soulager la douleur, vous pouvez prendre du paracétamol. Dans des rares cas, une infection peut se manifester au site d'injection. Contactez immédiatement le médecin si vous avez de la fièvre, associée à une rougeur, une sensation de chaleur et un gonflement au site d'injection.
CE JOUR Si nécessaire, appliquez de la glace (sac de légumes congelés, sac gel, sac magique) au site de l'injection durant 10-15 minutes aux 2 heures. Prenez vos médicaments analgésiques habituels, comme prescrit par votre médecin. Si vous n'avez pas de prescription, vous pouvez utiliser du Tylénol extra-fort.
Appliquer une poche froide sur l'articulation permet de soulager cet effet secondaire. D'ailleurs, la cryothérapie gazeuse est utilisée dans certains établissements 5 minutes avant une infiltration, en guise d'anesthésique local. Si la douleur persiste, consultez votre médecin.
Il peut par contre y avoir, dans les heures qui suivent, un rebond douloureux, parfois important. Il s'agit le plus souvent d'une réaction inflammatoire initiale autour des cristaux de cortisone qui ont été infiltrés. Leur effet se fera sentir lorsqu'ils vont se dissoudre, le plus souvent en quelques heures au plus.
Quels résultats attendre de l'infiltration ? L'infiltration fait en général effet sous 2 jours (1 à 7 jours) et a une durée d'efficacité de 1 à 2 mois. Les résultats sont souvent fortement perceptibles sur l'inflammation de l'articulation et sur la douleur ressentie.
Un pansement sec est mis en place et sera maintenu pendant 24 heures.
Les effets sont ressentis quelques jours à quelques semaines après l'infiltration et leur durée est variable selon les patients et l'articulation.
AUJOURD'HUI : Si nécessaire, appliquer de la glace au site d'injection pendant 15 à 20 minutes aux 2 heures; Prenez vos médicaments contre la douleur tel que prescrit par votre médecin. Si vous n'avez pas de prescription vous pouvez prendre de l'acétaminophène.
Si vous faites une infiltration, le tendon va s'affiner et au fil du temps il va se rompre. Pareil au niveau osseux, si vous en faites un usage répété au même endroit, le corticoïde ronge l'os, elle fait des trous dedans.
L'idéal est alors d'utiliser un coussin entre les genoux et les cuisses, afin que les jambes soient alignées et détendues sans forcer la colonne vertébrale à effectuer une rotation forcée. Grâce à cette position les douleurs aux hanches sont évitées parce que la distance correcte entre les hanches est bien maintenue.
Il est recommandé de se mettre au repos après l'infiltration : le patient doit limiter la mobilisation de l'épaule pendant 48 heures. Une réaction douloureuse dans les suites immédiates du geste est possible, mais rare. Elle est sans gravité.
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique. Les effets secondaires dépendent de la dose et de la durée du traitement. Plus la dose est élevée, plus le traitement est long et plus le risque d'effets indésirables augmente.
Cela dépend de l'indication : Pour une lomboradiculalgie, deux à quatre infiltrations sont réalisées au maximum, avec un délai variant de deux jours à une semaine, entre deux infiltrations. Pour une tendinite de l'épaule, une seule infiltration suffit dans un grand nombre de cas.
Les corticostéroïdes
Cette méthode peut fournir un soulagement rapide et localisé de la douleur et de l'inflammation.
Les effets sur la douleur se manifestent généralement dans les 48 heures. Afin de potentialiser les effets bénéfiques de l'infiltration, il est recommandé de limiter vos activités durant ces deux jours. Vous pouvez reprendre sans risque vos médicaments habituels.
Dans l'idéal, éviter tout mélange avec de l'alcool jusqu'à 48 heures après la fin de votre traitement.
Les infiltrations sont très souvent utilisées par le rhumatologue. Elles peuvent faire suite à une ponction, après que le diagnostic a été posé. Mais elles se pratiquent la plupart du temps au moment de la consultation, avec ou sans repérage par ultrasons.
L'injection de cortisone dans les tissus sous-cutanés peut engendrer un amincissement de la peau appelé atrophie cutanée. Il s'agit d'une complication habituellement réversible. Les réactions allergiques, les infections post-injection et les dommages à un nerf demeurent des phénomènes très rares.
Avant l'infiltration, vous devez apporter les médicaments nécessaires à l'injection qui vous ont été prescrits par votre médecin traitant, ou le médecin qui pratiquera le geste le cas échéant. Vous ne devez pas avoir d'infection (infection pulmonaire, urinaire, etc. …) en cours de traitement.
Les corticoïdes (prednisone, prednisolone) sont très efficaces pour diminuer l'inflammation et soulager les douleurs et les raideurs articulaires. Ils pourraient aussi retarder l'évolution de la polyarthrite rhumatoïde, surtout lorsqu'ils sont utilisés en association avec une thérapie de fond.
Les corticoïdes ou cortisone sont utilisés dans l'arthrose lors des poussées douloureuses aigues inflammatoires en infiltrations intra articulaires (genou, epaule, hanche, pied, main etc.).
Pourquoi cette précaution ? La prise des comprimés le matin permet d'éviter l'effet des corticoïdes sur le sommeil. En effet, les corticoïdes sont des dérivés de la cortisone, qui est une hormone stimulante. La prise des corticoïdes plus tard au cours de la journée peut compliquer l'endormissement le soir.
En cas d'arthrose, on peut utiliser un gel formulé avec un anti-inflammatoire non-stéroïdien, par exemple le diclofénac, que l'on peut trouver dans le gel Diclofenac Viatris, le gel VoltarèneSpé 1 % et le gel Voltarène Emulgel 1 %, Tous ces médicaments sont indiqués en cas de poussée douloureuse d'arthrose.
Il existe un très faible risque d'hématome (il est indispensable de signaler toutes prises d'anti coagulant ou de fluidifiant). Résultats : Il est recommandé d'observer un repos relatif durant 48 heures après l'infiltration pour un maximum d'efficacité.