La construction du Mur de l'Atlantique débute en mars 1942 autour des principaux ports et dans la région du Nord-Pas-De-Calais par la réalisation de bases sous-marines, de batteries, de bunkers et de stations radar.
Le mur de l'Atlantique (Atlantikwall en allemand) est un important système de fortifications côtières, construit par le Troisième Reich pendant la Seconde Guerre mondiale le long de la côte occidentale de l'Europe et destiné à empêcher une invasion du continent par les Alliés depuis la Grande-Bretagne.
Albert Speer, jeune architecte de 30 ans et favori d'Hitler, se vit alors confier l'édification du Mur. L'Organisation Todt, sous sa direction, fit d'abord appel à 200 grandes firmes allemandes, comme siemens.
La construction du bunker, qui va durer jusqu'en octobre 1941, est confiée à l'entreprise du bâtiment allemande Hanbuch & Sohn, sous-traitante de l'Organisation Todt.
Doué d'un sang-froid et d'une audace peu commune, au point d'inquiéter parfois ses amis, Duchez brave tous les dangers et prend tous les risques. On lui prête ainsi le fameux vol des plans du Mur de l'Atlantique dans les bureaux de l'organisation Todt en 1942. (Bourvil dans le film le mur de l'Atlantique).
L'abri de Katarinaberget (suédois : Katarinabergets skyddsrum) est un abri antiatomique situé sous la colline Katarina (suédois : Katarinaberget) dans le centre de Stockholm en Suède.
N'importe quel bâtiment en dur, sans fenêtre de préférence
En cas d'attaque, le gouvernement recommande de se cacher dans un bâtiment en dur, souterrain et sans fenêtre de préférence.
La France compte aujourd'hui environ 400 bunkers privés, un chiffre loin d'égaler celui de l'Allemagne, de la Norvège ou encore de la Suisse. Et ce, malgré les 56 réacteurs nucléaires que compte aujourd'hui la France.
Long de 4.000 km, le mur de l'Atlantique a nécessité environ 13 millions de mètres cubes de béton pour sa construction. Il a causé la mort d'environ 10.000 soldats alliés.
La construction du Mur de l'Atlantique débute en mars 1942 autour des principaux ports et dans la région du Nord-Pas-De-Calais par la réalisation de bases sous-marines, de batteries, de bunkers et de stations radar.
L'objectif du Blitzkrieg est de déstabiliser l'ennemi pour l'empêcher de rétablir un front solide une fois sa ligne initiale percée. Les trois éléments essentiels sont l'effet de surprise, la rapidité de la manœuvre et la brutalité de l'assaut.
Les fondations du bunker sont coulées jusqu'au niveau du sol de l'ouvrage, lorsque la plus grande partie des fers à béton est mise en place. Par la suite, les coffrages intérieurs sont posés sur ce radier en même temps que toutes les tuyauteries de ventilation, d'évacuation, de câblages électriques etc ...
Les Alliés ont choisi la Normandie notamment car cet endroit était peu défendu. Les plages devaient aussi être longues pour pouvoir débarquer un grand nombre de soldats et d'équipements. Le commandant de cette opération est le général Eisenhower.
Ligne de fortifications construite par les Allemands entre 1936 et 1940 sur la frontière occidentale du Reich de Clèves à Bâle.
L'Islande : le pays le plus sûr
L'Islande est, selon le classement Global Peace Index 2021, le pays le plus susceptible de rester pacifique au milieu d'une guerre mondiale. En raison de sa situation géographique (extrême nord de l'Europe, au milieu de l'océan Atlantique) et en raison de sa tradition pacifiste.
Le sous-marin Le Redoutable à Cherbourg serait suffisamment sécurisé. A Paris existe un lieu construit durant la guerre froide et qui possède 14 abris : Radio France ! Ils seraient accessibles par des galeries situées sous le bâtiment. L'Elysée dispose aussi d'un abri de 250 m2 sous le palais.
Si toutefois on atteint un abri, il faut retirer ses vêtements, ses chaussures et passer à l'eau la totalité de son corps pour bien retirer toutes les particules radioactives. En cas d'alerte nucléaire, le gouvernement français recommande de : Se mettre rapidement à l'abri dans un bâtiment en dur.
La Suisse compte aujourd'hui un peu plus de 300.000 bunkers capables d'accueillir 9 millions de personnes, soit plus que sa population. Même les nouveaux immeubles en prévoient, comme c'est le cas à Vérossaz, 600 habitants.
Construire un abri anti-atomique :
Des containers maritimes déclassés ,enterrés et bétonnés, sont la solution la plus économique (1000 à 2000eur). C'est le plus simple en termes de construction pour un abri anti-atomique. Un container métallique est une bonne cage de faraday, contre les impulsions électromagnétiques.
Ventilation et aération d'un bunker
Comme tout espace clos, un abri enterré doit bénéficier d'une bonne ventilation. Elle peut être obtenue par une simple aération naturelle, par une VMC, mais seul un système NRBC est de nature à assurer une filtration et un renouvellement en air sain, quelle que soit la situation.
Un masque à gaz, ou masque anti-gaz , est une protection contre certaines armes chimiques et armes biologiques et contre les agents radioactifs. Il se porte sur le visage et couvre les entrées des voies respiratoires (bouche, nez) et souvent les yeux ainsi que d'autres tissus sensibles du visage.
Plus précisément, le bunker en question se situerait dans les montagnes de l'Altaï, en Mongolie donc, et il a été conçu pour se protéger en cas d'une guerre nucléaire, affirme le politologue Valery Solovey au site.