En général, les bébés commencent à développer la capacité de s'endormir seuls autour de 3 à 6 mois, mais cela peut prendre plus de temps pour certains bébés.
Effectivement, sur ce sujet d'actualité, on peut lire (malheureusement) beaucoup d'injonctions : comme quoi l'endormissement autonome doit fonctionner dès la maternité ou avant l'âge de 3 à 4 mois… « Cela dépend des tempéraments de chaque bébé, mais le sommeil autonome peut-être réalisé vers 3-4 mois pour les ...
Certains signes et gestes peuvent néanmoins vous aider à savoir si votre bébé est prêt à dormir dans son lit et dans sa propre chambre : Il fait ses nuits : Lorsque votre enfant dort sans interruption durant environ 6 heures d'affilée ou plus, cela peut être un bon indicateur qu'il est prêt à rejoindre sa chambre.
Ensuite, quand l'enfant commence à bouger dans les bras, vers six mois, on arrête de le bercer pour qu'il arrive à trouver de lui-même cet apaisement. »
Qu'est-ce que la méthode 5-10-15 ? Principe : Attendre 5 minutes avant de venir voir un enfant qui se réveille ou se met à pleurer. Lui parler sans le prendre dans ses bras puis repartir. Attendre ensuite 10 puis 15 minutes avant de répéter l'opération.
Préconisée à partir de 12 mois, la méthode 5-10-15 est souvent suggérée aux parents par les médecins.
Un petit bain relaxant, un massage doux sur le dos, une berceuse, des câlins sur fond de musique douce ou de bruit blanc peuvent tout à fait participer au coucher et à endormir bébé.
Le principe est simple (et tout de même assez cruel) : le parent doit laisser son enfant pleurer 5 minutes avant d'aller le retrouver, puis 10 minutes, puis 15 minutes, puis 20 minutes, puis 25 minutes, et ainsi de suite.
Par exemple, un peu de fièvre, une poussée dentaire ou des douleurs digestives peuvent empêcher bébé à s'endormir seul. Il a mal ou ne se sent pas bien et il a besoin d'être rassuré. C'est souvent lors de ces périodes que bébé demande à s'endormir dans les bras.
Plusieurs raisons peuvent expliquer pourquoi un enfant ne s'endort pas facilement et rapidement par lui-même le soir. Certaines sont hors de votre contrôle parce qu'elles sont par exemple liées à son stade de développement ou à un problème physique.
Jusqu'à ses 2 ans, couchez votre bébé dans une gigoteuse ou une turbulette (pour les siestes et la nuit). Couchez votre bébé sur un matelas bien ferme, recouvert d'un drap, sans couette, ni couverture, ni oreiller. Pour la santé de votre bébé, veillez à maintenir dans sa chambre une température entre 18 et 20°.
Le principal objectif étant que votre enfant apprenne à s'endormir seul, pour pouvoir le faire aussi en pleine nuit en cas d'éveil, et surtout pour retrouver confiance dans son sommeil. Votre rôle est de lui apprendre à réussir son endormissement, et non de l'endormir vous-même.
Les résultats révèlent qu'en moyenne, les nourrissons dormant dans leur propre chambre avaient tout à y gagner : couchés plus tôt, ils s'endormaient plus rapidement et plus souvent tous seuls, dormaient plus longtemps pendant la nuit, se réveillaient moins souvent et se rendormaient plus facilement.
La durée moyenne d'endormissement est d'environ 20 minutes : c'est le temps entre le moment où il est décidé de s'endormir et le sommeil. On parle de latence d'endormissement. Cette durée varie selon les individus, le degré de fatigue, l'exposition à des stimulis dans la période qui a précédé le sommeil.
Mettre en place des rituels est important pour parents et enfants, cela rassure : raconter une histoire, faire un câlin en la prenant tout contre vous, lui donner son doudou. Et bien sûr lui expliquer que vous ne lui donnez plus le sein pour l'endormir.
Trouver le sommeil dans un lit tout chaud
La raison du réveil de votre petit enfant quand vous le couchez dans son lit… c'est peut-être parce qu'il a quitté la chaleur de vos bras et que la froideur de ses draps le saisit : eh oui, une différence de température peut le réveiller !
En effet, les neurosciences nous apprennent que laisser pleurer un bébé est non seulement mauvais pour son développement cérébral, mais est aussi dommageable à long terme.
Les pleurs ont tendance à augmenter à partir de la deuxième semaine de vie. Ils atteignent leur maximum vers la sixième semaine. Ils diminuent généralement vers le troisième ou le quatrième mois. Il peut être difficile de comprendre pourquoi un nouveau-né pleure.
Quatre stratégies ont été testées : porter l'enfant en marchant, le porter en étant assis, le pousser dans une poussette en mouvement ou un berceau à bascule, ou le poser dans un lit. Une seule stratégie a eu un effet apaisant : porter le bébé en marchant.
Offrez-leur du temps. Cajolez-les, bercez-les 2-3 minutes au besoin, flattez-les une fois qu'ils sont couchés. Restez près des enfants le temps de créer l'habitude. Certains enfants auront besoin de se faire cajoler, emmailloter, de sentir votre présence près d'eux afin de favoriser le sommeil.
Jouez par exemple ensemble par terre dans le salon, construisez une tour ou une maison avec des cubes en bois, jouez à la poupée ou chantez une comptine en y ajoutant des gestes. Ces moments passés ensemble sont importants pour votre bébé de 15 mois mais il est possible que vous vous amusiez autant que lui !
L'enfant doit donc apprendre cette différence. Généralement, cela n'est pas vraiment possible avant trois mois, sauf dans certains cas où les enfants font leurs nuits dès le retour à la maison. Pour l'aider, il faut donc faire pour lui la distinction entre les siestes, le jour et le sommeil de nuit, plus long.
À cet âge, les enfants sont plus actifs, plus curieux et plus expressifs. Certains commencent à dire quelques mots, à se tenir debout tout seuls et même à faire quelques pas. Pour aider votre petit bout à apprendre et à grandir, lisez-lui des livres et encouragez les jeux actifs.
De plus, l'instinct de survie du petit fait que, quand le bébé est proche de sa mère, il dort plus tranquillement. Si bébé ne veut pas dormir, le mettre dans le lit avec ses parents peut être une solution facile pour ne pas avoir à se lever en permanence.
C'est le décès incompréhensible à première vue et imprévisible, le plus souvent pendant le sommeil, d'un tout-petit qui semblait jusqu'ici en bonne santé apparente. La mort inattendue du nourrisson peut toucher un bébé de 0 à 24 mois, mais dans 8 cas sur 10, elle survient avant l'âge de 6 mois.