Il est plus facile d'éliminer le gui lorsqu'il est encore jeune car cela provoquera moins de dégâts sur les arbres. Le plus simple est de couper la touffe à ras avec une sécateur, une serpe ou une serpette selon la taille de la touffe. Ensuite, creusez l'écorce afin d'extraire le suçoir dans sa totalité.
C'est en hiver que le Gui prend toute sa signification. Alors que dans la nature toute vie semble avoir disparu, c'est aux environs du Solstice d'hiver (22 décembre) que les petites baies sphériques du Gui arrivent à maturité.
C'est donc plus tard, au XVIIIe siècle, que les Anglais ont importé chez nous cette coutume de s'embrasser sous une boule de gui le 31 décembre à minuit, afin de se placer sous de bons auspices et que l'année soit propice.
Pour garder vos branches de gui encore plus longtemps, vous pouvez les conserver dans l'eau froide et les petites brindilles dans de frigo.
Il est habituel aujourd'hui d'accrocher dans les maisons cette plante décorative à l'occasion du nouvel an, en souhaitant qu'elle porte bonheur à tous ceux qui s'embrassent dessous. Cette tradition remonterait aux Gaulois.
Accrochez un bouquet de gui à votre porte
La tradition de suspendre du gui à la porte du foyer, promesse de fertilité, vient des Celtes. De là l'expression "que le blé germe" est devenue "au gui de l'an neuf" pour se souhaiter la bonne année.
Le gui, une promesse de bonheur pour l'année
D'après la légende populaire, si une jeune femme célibataire acceptait un baiser alors qu'elle se trouvait sous la « kissing ball », soit une boule de gui décorée et accrochée aux portes, elle était alors promise à un mariage dans l'année.
Un symbole d'immortalité
Le gui était pour les Gaulois le symbole de l'immortalité. Une fois par an, au solstice d'hiver, le gui était vénéré chez les druides vêtus de blanc qui le coupaient avec une serpe d'or pour accomplir une fête solennelle sur un chêne, le plus sacré des arbres.
Faites sécher les feuilles en plein air s'il n'est pas nécessaire qu'elles soient plates. Placez les feuilles dans un récipient peu profond ou regroupez-les en petits bouquets. Exposez-les alors directement au soleil pendant quelques jours.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Le gui est une plante druidique
Les druides l'utilisaient déjà comme hypertenseur, d'ailleurs, et traitaient aussi bien la coqueluche que la stérilité.
Le Gui est dispersé à plus ou moins longue distance par des oiseaux généralistes, Grive draine et Fauvette à tête noire essentiellement ; La fréquence des consommateurs. Quelques espèces d'oiseaux consomment et digèrent les graines de gui, ce qui va limiter sa propagation au sein d'une station.
Le gui est une plante qui parasite de nombreuses espèces d'arbres des régions tempérées, en particulier les pommiers et les peupliers. Lorsqu'il est très abondant, il affaiblit considérablement l'arbre-hôte et diminue la production de production de fruits.
Le plus simple est de couper, à l'aide d'un sécateur, les touffes de gui à la base et de creuser ensuite cette base jusqu'à ôter complètement le pivot destructeur. Il ne faut pas avoir peur de s'enfoncer dans la branche de l'arbre, c'est pour son bien !
Les feuilles de gui s'utilisent de différentes façons, uniquement sous contrôle médical : en infusion : 10 à 20 g environ de feuilles fraiches ou sèches / 50 cl en laissant infuser une nuit et en faisant réchauffer juste avant de boire (3 tasses maximum / jour), en cataplasmes de feuilles pour calmer une sciatique.
Le gui parasite l'arbre
Le gui épuise l'arbre quand il est abondant. C'est en fait un bon exemple de végétal hémiparasite, c'est-à-dire qu'il se nourrit de la sève de son hôte sans pour autant l'épuiser totalement.
Au Moyen Âge, l'usage voulait que l'on s'offre du gui en prononçant ce souhait « Au gui l'an neuf ». Dans le nord de l'Europe, il est d'usage de s'embrasser, à minuit, sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie.
Il s'agit d'une vieille tradition. Les utiliser en plantes d'ornements pour les fêtes porteraient bonheur. Les druides celtes cueillaient le gui et le houx et les offraient aux villageois pour leur porter bonheur.
Les fruits donnés par les touffes femelles sont de fausses baies (pseudo-baies globuleuses ou pyriformes) de 6 à 10 mm de diamètre, d'un blanc vitreux – ou jaunâtres pour le Gui du sapin – charnues et visqueuses (caractéristique soulignée par Virgile et Pline) d'où le terme de viscum.
Aussi appelé Viscum album, le gui ne possède pas de racines. Il se fixe sur un arbre feuillu (généralement les peupliers, les pommiers, tilleuls ou les saules), dont il va absorber l'eau et les minéraux. Le houx, lui, est reconnaissable à ses boules rouges et à ses feuilles dentées et piquantes.
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Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Dans de nombreux pays, notamment ceux de l'Europe du Nord, le gui est symbole de prospérité et de longue vie. Il s'agit également d'un porte-bonheur qui symbolise les fêtes de Noël. En Amérique du Nord, la plante est liée à une tradition.
Le Gui est une plante dépourvue de racine qui vit dans les arbres et qui prend, au fil des ans, l'apparence d'une grosse boule. Plante parasite, le gui s'installe dans de nombreux arbres de nos régions comme l'aubépine, le robinier, le saule pleureur, le pommier, le tilleul et surtout le peuplier.