En France, le Code du travail prévoit que la semaine débute le lundi à 0 heure et se termine le dimanche à 24 heures (article L. 3121-35 / ancien article L. 3122-1).
Dans sa septième édition (1878), le Dictionnaire de l'Académie Française définissait le dimanche comme premier jour de la semaine. La simple logique veut qu'on ne se repose qu'après avoir travaillé. Si on y ajoute la notion de week-end, l'usage courant fait que les Français considèrent le lundi comme premier jour.
Les Français sont des lève-tôt : 50 % arrivent au travail avant 8h30. Les régions Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté sont les plus matinales. Au contraire, et sans surprise, les cadres franciliens sont les plus nombreux à passer les portes de leur entreprise après 9h30 (11 % vs. 6 % en moyenne).
Il est interdit de faire travailler un salarié plus de 6 jours par semaine. Le repos hebdomadaire est d'au moins 35 heures consécutives. Toutefois, des dérogations peuvent remettre en cause le droit au repos du week-end des salariés.
Le salarié est soumis à une durée légale de travail de 35 heures par semaine.
Dès que le temps de travail quotidien atteint 6 heures, le salarié doit bénéficier d'un temps de pause d'au moins 20 minutes consécutives. La pause est accordée : Soit immédiatement après 6 heures de travail. Soit avant que cette durée de 6 heures ne soit entièrement effectuée.
Cas général. Un salarié ne doit pas travailler plus de 6 heures de suite dans une journée. Dès que le salarié travaille 6 heures de suite, il doit bénéficier obligatoirement d'une pause d'au moins 20 minutes consécutives. Des dispositions conventionnelles.
- Le doublement du salaire n'est pas prévu en cas de travail le dimanche. - Mais, selon les secteurs d'activité, un repos compensateur peut être prévu par votre convention collective. - L'employeur peut aussi prévoir une majoration de salaire dans votre contrat de travail s'il le souhaite.
Chaque heure de travail effectuée occasionnellement le dimanche ou le jour de repos hebdomadaire lorsque celui-ci est fixé à un autre jour que le dimanche donne droit à une majoration égale à 100% du salaire horaire, qui s'ajoute à la rémunération mensuelle.
Le dimanche est une journée de repos légale. Cependant, un salarié peut être amené à travailler le dimanche lorsque son employeur est autorisé à ne pas appliquer le repos dominical (on parle de dérogation). Il existe plusieurs dérogations permettant d'organiser le travail le dimanche.
Le soir, du latin sērō (« tard »), de serus (« tardif ») est le moment de la journée où le jour touche à sa fin et où la nuit commence. En météorologie, les heures de 20 h à minuit, utilisées avec le cadran de 12 heures sont considérées comme étant le soir pour éviter l'ambiguïté avec celles du matin.
La fin de journée, pour moi, correspond à la période entre le moment où j'arrête le boulot et le début de soirée (généralement marqué par le repas, l'apéro ou le moment où je sors de chez moi, si je sors avant d'avoir mangé).
Les heures effectives
Il correspond au nombre d'heures rémunérées au taux de base (hors heures supplémentaires) convenu avec votre salariée, y compris les heures d'absence pour congés payés et les heures de présence responsable converties en heures de travail effectif.
Par consensus international, le premier jour de la semaine est le lundi.
Lundi vient de lunis dies, «jour de la lune», et désigne la déesse de la lune chez les Romains. Mardi vient de Martis dies, le jour de Mars, le dieu de la guerre. Mercredi, lui, tire son nom de Mercure et jeudi, de Jupiter. Le vendredi, du latin veneris diem, signifie le «jour de Vénus».
De façon générale, le premier jour de la semaine est le dimanche car il est considéré comme le jour de repos. Dans l'antiquité, la semaine ne comptait que six jours et le premier jours de la semaine était le lundi. Le dimanche fut donc créé part la suite afin de se reposer d'une semaine de travail.
Le repos hebdomadaire est d'au moins 24 heures consécutives, qui s'ajoute à l'obligation de repos quotidien de 11 heures consécutives. Par conséquent, la durée minimale du repos hebdomadaire est fixée à 35 heures consécutives. Le plus souvent, le salarié bénéficie de 2 jours de repos consécutifs.
Un salarié peut donc légitimement refuser de venir travailler si cela le conduit à travailler plus de 6 jours consécutifs, même s'il a été prévenu longtemps à l'avance. La convention collective ou un usage de l'entreprise peut fixer le repos à 2 jours hebdomadaires.
Voilà : un salarié qui travaille du lundi au vendredi 35 heures vient travailler exceptionnellement le samedi 7h. Il effectue donc 42 heures dans la semaine. Pour une société de plus de 20 salariés, les 7 heures supplémentaires sont majorée à 25%. Le samedi est alors rémunéré 125%.
La rémunération du salarié est au moins doublée par rapport à la rémunération normalement due pour une durée équivalente. Le salarié bénéficie d'un repos supplémentaire équivalent en temps (une journée de travail le dimanche équivaut à une journée de repos en compensation).
Oui, vous pouvez refuser de travailler le dimanche mais uniquement dans certains cas. ✅ Dans le cadre de dérogations accordées par le maire, par le préfet ou en raison de l'implantation géographique de l'établissement, travailler le dimanche se fera sur la base du volontariat.
Cas général. Tout travail effectué au cours d'une période d'au moins 9 heures de suite comprenant l'intervalle entre minuit et 5 heures est considéré comme du travail de nuit. La période de travail de nuit commence au plus tôt à 21 heures et se termine au plus tard à 6 heures.
La pause déjeuner n'est en principe pas rémunérée puisqu'elle ne constitue pas un temps de travail effectif. Des dispositions conventionnelles. Elles fixent les obligations et les droits de l'employeur et du salarié. peuvent définir une durée minimale de pause déjeuner.
En principe, un salarié ne peut pas travailler plus de 10 heures par jour. Mais le dépassement de cette limite est possible dans les cas suivants : sur autorisation de l'inspecteur du travail, accompagnée de l'avis du comité social et économique.
Oui, l'employeur peut interdire au salarié de quitter l'établissement pendant sa pause. En ce cas, le temps de pause reste du temps de pause et ne peut être considéré comme du temps de travail effectif, mais c'est à la condition bien sûr que le salarié puisse vaquer à des occupations personnelles.