Le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son sujet : Lorsque le sujet est au singulier, le verbe se conjugue au singulier. Lorsque le sujet est au pluriel, le verbe se conjugue au pluriel. Lorsque qu'il y a plusieurs sujets, le verbe se conjugue au pluriel.
Avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde au sujet (-e au féminin, -s au pluriel, -es au féminin pluriel). Elle est partie. Nous sommes parti(e)s. Ils sont partis.
Les cas particuliers du féminin
Les adjectifs qui se terminent par -eux au masculin, se terminent en -se au féminin. Les adjectifs qui se terminent par -er au masculin, se terminent en -ère au féminin. Les adjectifs qui se terminent par -et au masculin, se terminent en -tte au féminin.
Le verbe s'accorde en nombre et en personne avec son sujet, que le sujet soit exprimé ou sous-entendu. Les voitures avancent, foncent, roulent vers le front. S'il existe plusieurs sujets, le verbe se met au pluriel.
- Les noms féminins se terminant pas le son "é" s'écrivent -ée. - Certains noms masculins se terminant par le son "é" s'écrivent -ée. Exemples : l'apogée, le lycée, le pygmée, le scarabée... Les autres noms masculins se terminant par le son "é" ont des terminaisons diverses.
Cette règle dite de cette façon n'est pas du tout exacte ou précise;car deux ,trois ou quatre verbes peuvent se suivre sans qu'aucun ne se mette à l'infinitif. EX;il saute, court,crie ... Ou pour exprimer le but:Il va dire au revoir à son grand-père. EX:Je sais plaisanter.
La graphie « clé », à peine moins ancienne (v. 1121), est la réfection d'un singulier sur l'ancien pluriel « clez, cles », où le « f » final avait disparu devant « z, s ». Jusqu'au XIXe s., « clef » est le plus courant et le TLFi l'emploie dans ses exemples.
Remarque et à retenir ! Les verbes pronominaux suivants n'ont jamais de C.O.D. ; ils sont donc toujours invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se sourire, se succéder, se ressembler, se parler, se nuire, se survivre, se suffire, se convenir.
Lorsque le verbe pronominal a un complément d'objet direct placé derrière lui, le participe passé ne s'accorde pas. Exemple : Ils se sont égratigné les genoux. Lorsque le verbe pronominal est suivi d'un verbe à l'infinitif, le participe passé ne s'accorde pas avec le sujet.
Tout verbe doit être du même nombre et de la même personne que son sujet. Dans ces exemples, le sujet peut être considéré comme l'agent principal qui commande à tous les autres mots, et leur prescrit les formes dont ils doivent se revêtir pour ne faire qu'un tout avec lui.
Quand le genre des mots correspond au genre naturel
Pour les personnes et les animaux, il est plus facile de savoir si un nom est masculin ou féminin. En effet, en général, le genre des mots suit tout simplement le genre naturel: Un père et une mère. Un homme et une femme.
le lui : le représente la chose dont on parle qui est au masculin (un...... le .....) la lui ; la représente la chose dont on parle qui est au féminin (la....
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
ON est un pronom (im)personnel qui s'utilise comme il ou nous. On peut le remplacer par il. ONT est l'auxiliaire avoir conjugué au présent, on peut le remplacer par "avaient".
L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « être » L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « avoir » L'accord du participe passé avec les verbes pronominaux. L'accord du participe passé avec un infinitif.
Le participe passé employé avec l'auxiliaire ÊTRE s'accorde en genre et en nombre avec le sujet. Le participe passé employé avec l'auxiliaire AVOIR ne s'accorde jamais avec le sujet. Il s'accorde en genre et en nombre avec le C.O.D. (complément d'objet direct) lorsque celui-ci est placé avant le verbe.
Règle générale
Luc a mangé une pomme. Avec quel auxiliaire mangé est-il utilisé? Il s'agit bien de l'auxiliaire avoir, a. Le participe passé employé avec avoir s'accorde avec le complément d'objet direct placé avant le verbe.
Pour rappel, le participe passé d'un verbe pronominal s'accorde en genre et en nombre avec le COD (qui répond à la question «qui?», «quoi?») lorsque celui-ci est placé avant le verbe. A titre d'exemple, dans la phrase «Les lettres qu'ils se sont écrites», le COD («les lettres»), est placé devant le verbe.
Il ne saurait être question d'accorder le participe passé d'un verbe pronominal qui n'admet jamais de complément d'objet direct : on succède toujours « à » quelqu'un ! Le pronom « se » qui précède le participe est ici un complément d'objet indirect, qui n'a aucune influence sur son accord.
Les noms masculins terminés en ‑ée, d'origine latine et grecque, étaient déjà masculins (ou neutres) dans ces langues. Le e final est en fait une trace graphique de la finale latine ‑um, qui a disparu; par exemple, museum est devenu musée.
Des mots hermaphrodites, en quelque sorte ! C'est le cas des noms communs « amour », « délice » et « orgue », qui sont ainsi masculins au singulier et féminins au pluriel ! On dira « des amours passionnÉES » et « de succulentes délices ». Autre bizarrerie : « gens ».
Pour savoir quand mettre le verbe à l'infinitif dans une phrase, il faut retenir ces deux petites règles : Quand deux verbes se suivent, le second se met à l'infinitif. Exemple : je vais partir. Le verbe se met à l'infinitif après les prépositions « de », « à », « pour » et « sans ».
Règles d'orthographe. Quand 2 verbes se suivent, le 2ème se met à l'infinitif : Une succession de 2 verbes (ou davantage) signifie que seul le 1er possède un sujet, et que le 2ème est complément du 1er (le 3ème est complément du 2ème, etc.) : ex : Il préférait se dépêcher pour éviter d'arriver en retard.