Le terme hosanna signifie « sauve, je te prie » et vient du Psaumes 118. Cette pratique est « une réminiscence des louanges des disciples de Jésus quand il descendit du Mont des oliviers (Mathieu 21:1-11) et de la clameur des multitudes en Amérique rassemblées autour du temple au pays d'Abondance (3 Néphi 11:17). »
Mot signifiant « qu'il en soit ainsi », et qui sert de conclusion à une prière ou à une doxologie dans les liturgies juive et chrétiennes.
En général, l'interprétation récente a retenu plutôt la traduction "Viens, Seigneur !", alors que les traductions plus anciennes penchaient plutôt pour "Notre Seigneur est venu" comme dans la version araméenne Peshitta, la latine Vulgate, la grecque byzantine ou les critiques des textes grecs comme Westcott et Hort, ...
Quelle est l'origine du mot alléluia ? Le mot "alléluia" est d'origine biblique. Il provient de la langue hébraïque ancienne, plus précisément du terme "hal'lúyah", soit "louez Yah". Employé pour le tétragramme "YHWH", "Yah" est une abréviation pour désigner "Yahvé" qui n'est autre que Dieu dans l'Ancien Testament.
Le mot Amen, de l'hébreu אָמֵן (ʾāmēn) (« ainsi soit-il », « que cela soit vrai, se vérifie » mais aussi « en vérité ») est une déclaration de foi et d'affirmation, trouvée dans la Bible hébraïque et le Nouveau Testament.
Selon les spécialistes, à partir du Moyen âge, on dit au revoir à l'alléluia comme on dit au revoir à un ami qu'on ne verra plus avant longtemps. Pendant le temps du carême, l'Alléluia est donc remplacé par une acclamation, « maranatha », mot araméen signifiant « Notre Seigneur, viens ».
Sous le vocable de saintes Maries ou Trois Maries, la tradition catholique désigne trois femmes disciples de Jésus : Marie Madeleine, Marie Salomé et Marie Jacobé, qui seraient les trois femmes au pied de la croix dans les évangiles synoptiques alors que l'évangile attribué à Jean ne semble citer que deux d'entre elles ...
alléluia n.m. Acclamation de la liturgie juive qui marque l'allégresse et qui...
Interjection. Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
Ce mot est prononcé usuellement à la fin de la récitation de la première sourate du Coran par les musulmans (Prologue), ou d'une du'a. Il se prononce Amine (آمين) en arabe, ce mot signifie « ô Dieu (en arabe 'Allāh, écrit الله) exauce ou réponds ».
Amine est le nom générique des composés organiques possédant le groupement R-CO-N (R'RR"), R' et R'' pouvant être l'atome d'hydrogène H. L'amine est donc une molécule qui est dérivée de l'ammoniac.
Ainsi, un roi arrivait chevauchant un cheval quand il était prêt à la guerre et monté un âne quand il voulait souligner qu'il venait en paix. Par conséquent, l'entrée de Jésus à Jérusalem symbolisait son entrée en tant que Prince de la Paix et non pas en tant qu'un roi belliciste.
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition (1932-1935) HOSANNA. (On prononce les deux N.) n. m.
« Hosanna » (hébreu : הוֹשַׁענָא hošanna « de grâce, sauve » (en grec : ὡσαννά hôsanná)) est un appel à Dieu dans le judaïsme et dans le christianisme.
Joie vive. Synonyme : béatitude, enjouement, enthousiasme, euphorie, gaieté, hilarité, jubilation, réjouissance. – Littéraire : alacrité, exultation, félicité, liesse.
Alléluia ou Hallelujah est, dans la liturgie juive et chrétienne, un mot exprimant l'allégresse des fidèles. Ce terme est utilisé lors de prières ou à la fin de certains psaumes, spécialement pendant les fêtes pascales. Le mot Alléluia (de l'hébreu הללויה), signifie littéralement « louez Yah ».
Usage dans le christianisme
L'alléluia est d'ordinaire chanté avant la lecture de l'Évangile. Il s'agit à l'origine d'un chant d'allégresse pendant la liturgie pascale. C'est le pape Grégoire Ier qui fait exécuter l'alléluia après la Pentecôte.
Les Écritures donnent trois titres à Marie : femme, mère et vierge. C'est à partir de ces trois aspects de son être que l'on comprendra la place à part qu'occupe Marie parmi les créatures (« bien loin au-dessus de toutes les créatures dans le ciel et sur la terre », dit Lumen Gentium) et, ce faisant, pour l'Église.
Les origines de l'Assomption
C'est le roi Louis XIII (1601-1643) qui a popularisé cette célébration du 15 août en France. Lui et son épouse, Anne d'Autriche, ne parvenant pas à avoir d'enfant, se sont mis à prier la Vierge Marie et l'ont supplié de leur donner un fils.
La tradition canonique retiendra essentiellement trois d'entre elles comme témoins de la résurrection : Marie Jacobé, Marie Salomé et Marie Madeleine.
Emploi liturgique
Actuellement, dans l'église catholique romaine, le Gloria est chanté aux dimanches en dehors de l'Avent et du Carême ainsi qu'aux messes de solennité et de fête.
(Christianisme) Formule dont on se sert pour exprimer le souhait que s'accomplisse ce que l'on vient de dire. Note : Cette locution se place ordinairement à la fin des prières qu'on adresse à Dieu ou aux saints. Par extension, on peut aussi l'utiliser dans d'autres contextes, mais cet usage est vieilli ou ludique.
Pour les catholiques occidentaux (latins), le geste consiste à toucher successivement, du bout des doigts (indistinctement dépliés) de la main droite (les cinq doigts rappelant les cinq plaies du Christ sur la Croix), le front, la poitrine (cœur), l'épaule gauche puis l'épaule droite.