Mes respects (formule utilisée dans l'armée par un subordonné qui salue un officier) : mes respects, mon colonel.
Il est d'usage pour un officier de présenter ses respects au supérieur hiérarchique. « Je vous présente mes respects Mon Colonel » ou « mes respects Mon Colonel» et de dire bonjour au subordonné.
a) par le titre « Monsieur », « Madame » ou « Mademoiselle », selon le cas, suivi de leur nom, lorsque des officiers et des militaires du rang de même grade s'adressent à eux, b) par le titre « Monsieur » ou « Madame, selon le cas, lorsque des militaires de grades inférieurs s'adressent à eux.
Formule de politesse : Je vous prie d'agréer, (Mon*) Général, l'expression de ma haute considération. Formule de politesse : Veuillez agréer, (Mon* + grade), l'expression de ma considération distinguée. Formule de politesse : Veuillez agréer,+ (titre), l'expression de ma considération distinguée.
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
Locution interjective. (France) (Militaire) Ordre donné lorsqu'un officier général ou l'officier commandant la formation entre en uniforme et coiffé dans un local, et à la suite duquel les militaires présents se mettent au garde à vous avant que l'autorité ne les mette au repos.
Général, Colonel, Commandant, Capitaine, Lieutenant. Je vous prie d'agréer, (Mon) Général, l'expression de ma haute considération. Veuillez agréer, (Mon) Colonel, l'expression de ma considération distinguée. Je vous prie d'agréer, (Mon) Commandant, l'expression de considération distinguée.
L'histoire du salut militaire remonte à l'Antiquité, lorsque deux guerriers se rencontraient, ils s'échangeaient un signe de la main droite (paume ouverte) pour indiquer qu'ils n'étaient pas armés. Ce signe de paix témoignait de leurs bonnes intentions l'un envers l'autre.
En guise de salut, chez les militaires, on ne se sert pas la main et on ne se fait pas la bise : on utilise la main droite, doigts serrés et paume visible, portée à hauteur de la tempe. Un geste formel, par lequel un militaire exprime son respect à un supérieur, qui lui rend par le même mouvement.
Le geste de salut militaire français : Selon ce livre, pour saluer tel un soldat des forces armées françaises il faut : « Porter la main droite ouverte au côté de la coiffure, la main dans le prolongement de l'avant-bras, les doigts étendus et joints, le pouce réuni aux autres doigts ou légèrement écarté.
Mon Colonel, Je me réjouis pour cette distinction qui récompense votre dévouement pour notre patrie. Votre engagement est total et cette médaille qui vous honore, était bien due à l'homme dont la déjà longue carrière est jalonnée de succès.
Les formules telles que «lieutenante» ou «colonelle» sont rarement utilisées au sein de l'armée française, qui est pourtant l'une des plus féminisées d'Europe.
Général de Brigade
« Mon Général » – Dans la gendarmerie, l'armée de terre et l'armée de l'air, le mot « Mon » devant certains grades signifie Monsieur. Il n'est donc pas utilisé pour le personnel féminin.
Lorsqu'un officier est un homme, on s'adresse à lui en faisant précéder son grade de « mon », « mon colonel » par exemple ; en revanche on appelle un officier féminin directement par son grade.
Restez naturel et employez des phrases courtes. Une bonne présentation d'une minute peut prendre plusieurs jours de préparation. L'objectif est de se préparer pour être précis et convaincant ! Se préparer, c'est aussi un moyen de se démarquer de ses concurrents.
Soit on dit leur grade en les regardant « Mon commandant », « Major » (Madame/Monsieur si civil).
dans la police le salut est dû à tout supérieur hiérarchique qu'il soit en civil ou en tenue, par ailleurs le salut ne s'effectue que lorsqu'on est vêtu d'une coiffe comme une casquette par exemple.
Dans la conversation, on dit : « Monsieur/Madame (nom) ».
Lorsqu'on s'adresse à lui, on lui dit « Major » si on est d'un grade égal ou supérieur au sien, sinon on lui dit « Mon major ». Le capitaine de corvette se fait appeler « Commandant ».
Un autre, plus téméraire, se fait lui aussi arrêter après avoir commencé sa phrase par « Mon Général, mes devoirs » : autrefois employée par les putschistes saluant le Général de Gaulle en Algérie, cette expression est aujourd'hui signe de rébellion contre l'autorité.
L'expression du début du siècle est Prenez gardes à vous, , c'est l'ordre qui annonce une instruction à exécuter. Avec l'ordonnance du 1er juin 1776 elle devient Garde = à vous et sert à faire immobiliser le soldat dans le rang.
Elle consiste à se tenir debout, droit, les bras le long du corps, les talons joints, la tête haute, immobile. Le protocole varie selon les pays et les unités. Le garde-à-vous est de rigueur pour écouter un avis ou un commandement hiérarchique, se présenter à une autorité ou bien marquer certains temps d'une cérémonie.
Par exemple, si vous devez vous présenter en trois minutes, vous pouvez compter : 1ère étape : 30 secondes (vous posez les bases) 2e étape : 1 minute (vous donnez un cadre à votre motivation) 3e étape : 30 secondes (vous expliquez pourquoi vous êtes ici et pas chez un autre)
Le titre de mon exposé est ... Aujourd'hui, nous sommes réuni(e)s ici pour parler de… / aborder la question / débattre de … Aujourd'hui, nous allons parler de … Présentation du titre Dans mon exposé, je vais parler de / je vais vous présenter/montrer..
La meilleure réponse consiste à évoquer vos points forts : maîtrise d'un logiciel, réseaux professionnels, formation en management, savoir-faire précis dans un secteur clé en lien avec votre futur travail, etc. C'est le moment idéal pour se distinguer dans le processus de recrutement.