Définition : Soit une suite réelle; on dit que est une suite de Cauchy ou vérifie le critère de Cauchy si : quel que soit , il existe un entier tel que les inégalités p ≥ N et n ≥ N entraînent | u p − u n | < ϵ .
Une suite (un)n∈N sera dite de Cauchy si pour tout ϵ > 0 il existe N ∈ N tel que |un − um| < ϵ pour tout m, n ≥ N. Proposition 3.2. Toute suite convergente est de Cauchy. pour tout n ≥ N.
Pour une série à termes réels ou complexes, exprimer que la suite des sommes partielles satisfait à la condition de Cauchy constitue une condition nécessaire et suffisante de convergence.
Toute suite de Cauchy est bornée. Une suite de Cauchy a au plus une valeur d'adhérence et si elle en a une, alors elle converge. Toute sous-suite d'une suite de Cauchy est, elle-même, une suite de Cauchy. Toute suite de Cauchy admettant une sous-suite convergente est convergente.
Définition : La suite (un) admet le réel pour limite si : Tout intervalle ]a ; b[ contenant , contient tous les termes de la suite à partir d'un certain rang. On dit alors que la suite est convergente.
On dit qu'une suite un converge vers un réel L si pour tout intervalle ouvert U contenant L, tous les termes de la suite appartiennent à U sauf un nombre fini. L est la limite de la suite un et elle est unique. Une suite est divergente si elle n'est pas convergente.
Définitions : On dit qu'une suite ( )un est divergente lorsque qu'elle ne converge pas. Une suite divergente est donc une suite qui n'admet par de limite ou qui admet +õ ou –õ comme limite.
Théorème : R , C sont des espaces métriques complets. Une partie A de E est complète si l'espace métrique induit (A,d) est complet. Proposition : Si E est un espace métrique complet et A⊂E A ⊂ E , alors A est complet si et seulement si A est fermé.
On peut se retrouver dans plusieurs cas : Si la suite a une infinité de pics, alors la suite des pics forme une sous-suite décroissante. Sinon, on peut construire une sous-suite croissante. On prend comme premier terme un terme d'indice supérieur à tous les pics, puis un terme d'indice encore supérieur, etc.
une suite bornée n'est pas nécessairement convergente (contre-exemple : un = (–1)n est bornée — majorée par 1 et minorée par –1 — mais n'admet pas de limite) ; pour qu'une suite tende vers ±∞, il ne suffit pas qu'elle soit non bornée (contre-exemple : la suite qui vaut 0 pour n pair, et n pour n impair).
La règle de Cauchy n'est bien adaptée qu'à l'étude des séries dont le terme général contient essentiellement des puissances. On a : u n n = ( n n + 1 ) n = 1 ( 1 + 1 n ) n . On en déduit : lim n → + ∞ u n n = 1 e < 1 . La série est convergente.
En mathématiques, une série est dite convergente si la suite de ses sommes partielles a une limite dans l'espace considéré. Dans le cas contraire, elle est dite divergente.
Pour calculer le rayon de convergence on fait souvent appel à la méthode suivante liée à la règle de d'Alembert. Pour z 0 = C ∗ , considérons la série à termes complexes ∑ a n z 0 n . Le terme général est u n = a n z 0 n .
Une suite de nombres réels (ou suite de réels ou suite réelle) est une application de N dans R. On calcule directement un en fonction de n. Parmi les suites de référence citons: Suites arithmétiques : ce sont les suites .
Avec des quantificateurs, la propriété lim un = l se traduit par ∀ε > 0, ∃n0 ∈ N, ∀n ≥ n0, l − ε ≤ un ≤ l + ε. On peut aussi remplacer l − ε ≤ un ≤ l + ε par |un − l| ≤ ε.
Il suffit de considérer la suite géométrique de raison z ∈ C avec |z| > 1 pour s'en convaincre. Définition 3 Soit (zn)n ∈ CN. On dit que (zn)n converge vers l ∈ C si ∀ϵ > 0, ∃nϵ ∈ N, ∀n ≥ nϵ, |zn − l| < ϵ. un = l et l est appelée la limite de la suite (zn)n.
Exemple : Soit une suite réelle ; soit : ϕ 1 : N → N , n ↦ 2 n la suite extraite obtenue est la suite des termes d'indice pair ; soit : ϕ 2 : N → N , n ↦ 2 n + 1 la suite extraite obtenue est la suite des termes d'indice impair.
Si une suite converge, sa limite est unique. Ceci étant vrai pour tout ε, on en déduit que |l − l | = 0, donc que l = l . (Nous avons utilisé le fait (trivial) suivant : si un réel positif est plus petit que toute quantité strictement positive, alors il est nul.)
Soient f:E→F, une application et x0, un élément de E. On dit que f est continue sur E si et seulement si f est continue en tout point de E.
En mathématiques et plus particulièrement en analyse, une application contractante, ou contraction, est une application qui « rapproche les images » ou, plus précisément, une application k-lipschitzienne avec k < 1. Le théorème de point fixe le plus simple et le plus utilisé concerne les applications contractantes.
Divergente 4 annulé en raison de l'échec du troisième opus
Les aventures de Tris, personnage incarné par Shailene Woodley, ne connaîtront pas de suite.
Résumé La pensée convergente consiste à trouver une seule solution bien définie à un problème donné, à l'opposé de la pensée divergente qui implique davantage de créativité.
Les suites 'monotones' sont les suites croissantes ou décroissantes. Les suites 'strictement monotones' sont les suites strictement croissantes ou strictement décroissantes. Une suite est dite 'stationnaire' ou 'constante' si tous ses termes sont égaux.
On dit que la suite u est minorée lorsqu'il existe un réel m tel que pour tout entier naturel n, un ≥ m. Le nombre m est alors appelé un minorant de la suite u. On dit que la suite u est bornée lorsqu'elle est à la fois majorée et minorée.