De manière plus familière, pécho peut également signifier avoir des rapport sexuels avec une personne ou juste embrasser quelqu'un. Par exemple, “Ça y'est ! J'ai enfin pécho !” veut dire qu'il a enfin eu des relations sexuelles. Moins utilisé, les adolescents l'emploient quand ils se font prendre en flagrant délit.
(Argot) (Figuré) Séduire, réussir à sortir avec quelqu'un, à flirter, etc.
Le mot Pecho vient du verlan du verbe choper, attraper. Il peut se traduire par séduire, attraper ou se procurer.
Cheum : verlan de « moche ».
Synopsis. Arthur, 15 ans, a un coup de foudre pour Ouassima, qui ne le regarde même pas… Alors que lui n'a jamais pécho, elle sort avec Matt, le beau gosse du collège. Pour s'approcher d'elle, Arthur rassemble une bande de losers célibataires et lui propose de leur donner des cours de péchotage, à 10 euros la leçon.
Un péquenaud (orthographié également péquenot ou plus rarement « pecnot »), aussi appelé « plouc » ou « cul-terreux », est un terme péjoratif employé pour décrire le stéréotype du campagnard simple ou rustre dans le but de s'en moquer.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
INDULGENT, ENTE. adj. Qui pratique l'indulgence, qui pardonne aisément les fautes, les défauts. Un maître indulgent.
Le commanditaire paye un exécuteur pour effectuer sa commande. Synonymes : client, maître d'ouvrage (en architecture) ; mécénat, parrain, bailleur de fonds, soutien, sponsor (anglicisme).
Le sens actuel de l'expression date du début du XVIIIe siècle. Elle fait référence à la chasse au loup, qui est une pratique dangereuse, et donc qui nécessite une certaine expérience. Ainsi, quand la jeune fille a des relations sexuelles, cela a une connotation dangereuse.
Familier. Qui a l'allure maladroite et gauche d'un paysan endimanché, qui ignore les usages.
Qui est grossier, manque d'éducation, de délicatesse : Ce garçon est un rustre.
1. Pédant qui étale avec vanité des connaissances souvent mal assimilées. 2. Homme qui manque de savoir-vivre, qui est grossier : Le dernier des cuistres ne m'aurait pas fait cette injure.
Qui porte à l'excès les marques de politesse, les égards, le respect ou l'empressement envers quelqu'un. Synon. adulateur (littér.), caudataire (littér.), flatteur. Courtisan, serviteur obséquieux; peuple obséquieux.
outrecuidant adj. Qui se croit supérieur aux autres.
bellâtre n.m. Se dit d'un homme physiquement beau mais fat et niais.
D'humeur brusque et acariâtre. bourru adj. Qui dénote un caractère brusque et bougon.
1. Qui est rude et de mauvaise qualité, qui est fait de manière rudimentaire : Du tissu grossier. 2. Qui n'est qu'ébauché, qui n'est pas affiné, approfondi : Je n'ai qu'une grossière idée de la question.
Homme rustre, grossier, dont les manières sont sans finesse voire offensantes, volontairement ou non.
Plouc est un terme argotique utilisé pour désigner, à l'origine, les paysans bretons ou les gens d'origine bretonne. Ce terme est surtout employé de manière péjorative pour décrire le stéréotype d'un campagnard simple et/ou rustre (aussi appelé péquenaud) en vue de s'en moquer.
tocard adj. Qui est sans valeur et sans goût. tocard n.m. Cheval de course qui semble n'avoir aucune chance de gagner.
adj. Synon. de agreste (au fig.), balourd, campagnard, grossier, lourdaud, malappris, mal léché*, rustique (littér.), sans façon. Elle est vraiment plouc (Pt Rob. 1977).
Car tous les Canisactuels, y compris les dingos, ont des loups pour ancêtres. Du chihuahua au dogue allemand en passant par le husky, une partie du sang qui coule dans leurs veines vient du loup.
Le loup, quant à lui, a pris un chemin plus tortueux ; il a d'abord été le « leu », terme conservé dans l'expression « à la queue leu leu ». Puis il est devenu le « loup », prenant son « ou » de sa moitié et son « p » de l'étymon latin « lupus ».
On utilise ce proverbe quand quelqu'un apparaît alors qu'il était justement le cœur de la conversation. Ce proverbe est particulièrement utilisé en cas de médisance. Ce proverbe est répertorié dès le XVème s.