Les crises du
Une consommation au départ occasionnelle peut devenir une habitude et être problématique. On considère qu'un homme qui boit plus de 21 verres par semaine et une femme plus de 14 verres est à risque de développer une dépendance.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Généralement, le deuxième ou troisième jour de sevrage est le plus compliqué lorsqu'on arrête de fumer.
Les symptômes physiques et psychologiques
D'un point de vue physique, un sevrage de l'alcool peut entraîner des sueurs, des tremblements, de la transpiration, des nausées/vomissements, une grosse fatigue, de possibles vertiges, des maux de tête, de la tachycardie…
Causes psychiques
L'anxiété et la dépression qui marquent forcément le sevrage entraînent un épuisement intense. Les deux symptômes ont le potentiel d'affaiblir l'immunité de l'organisme et de ralentir la circulation sanguine ainsi que les échanges vitaux.
Il se produit alors d'abord des dépôts de graisses dans le foie (foie gras d'origine alcoolique). Cet état du foie est réversible: le foie peut se régénérer si l'individu arrête de consommer de l'alcool.
Passez en revue vos habitudes et modifiez celles qui vous incitent à boire de l'alcool. Privilégiez les activités où vous n'allez pas être tenté de boire. Retardez le premier verre en commençant par des boissons non alcoolisées. N'oubliez pas de boire régulièrement de l'eau et de manger pendant vos soirées.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Physiquement, les symptômes du manque et de la dépendance sont divers : tremblements, sueurs, hypertension, crises de tachycardie, nausées et vomissements sont les plus répandus et se manifestent en l'absence de consommation d'alcool.
Classification. Depuis 1978, l'alcoolisme est reconnu comme une maladie par l'Organisation mondiale de la santé (CIM-10). L'OMS classe l'alcoolisme en deux types : la forme aiguë (l'alcoolisme aigu) et l'alcoolisme chronique correspondant à une consommation excessive régulière.
L'état de manque ne met à aucun moment la vie de la personne en jeu, mais il est indispensable d'appeler son médecin traitant ou en son absence le SAMU (15) . Il est indispensable de résister fermement aux pressions du toxicomane et de son entourage, tout en évitant le moindre jugement de valeur.
Boire beaucoup d'eau
L'eau a beaucoup d'effets bénéfiques dans l'organisme humain. Elle participe aux transformations chimiques, permet le transport des nutriments et facilite l'élimination des déchets. C'est l'un des principaux vecteurs que possède le corps pour se débarrasser des déchets métaboliques dont l'alcool.
Dans le processus du sevrage alcool, le gingembre est utilisé pour son caractère antioxydant. Cela permet à l'organisme d'éliminer la toxine générée par l'alcool. Aussi, la tisane de gingembre produit une sensation de vomissement avant de consommer de l'alcool.
Boire un jus de citron dilué dans de l'eau tiède tous les matins permet de détoxifier l'organisme et de nettoyer le foie. En stimulant la production de la bile, le citron aide le foie. Cette cure detox ne doit toutefois pas dépasser une période de 21 jours, au risque de fatiguer le foie.
L'alcool est éliminé essentiellement par le foie (95 %). Les 5 % restants sont éliminés par les reins, la peau, les poumons et la salive.
En somme, les personnes buvant beaucoup d'alcool et régulièrement, sont plus maigres que les autres parce que l'alcool n'est pas métabolisé par l'organisme. Comme l'alcool trouble le fonctionnement de cette dernière, il y a un grand risque de malnutrition.
Au moins 2 des manifestations suivantes apparaissant quelques heures ou quelques jours après l'arrêt ou la réduction d'un usage d'alcool : hyperactivité neurovégétative (transpiration, fréquence cardiaque > 100/min) augmentation du tremblement des mains. insomnie.
Ce sont les spiritueux qui sont les plus susceptibles d'entraîner de l'agressivité (29,83 %), de l'agitation (27,81 %) et des séances de larmes (22,24 %). Quant au vin rouge et à la bière, les sondés sont respectivement 60,08 % et 38,92 % à considérer qu'ils entraînent un état de fatigue.
Les symptômes
Lorsque la maladie touche les deux membres inférieurs (forme fréquente), le sujet éprouve des difficultés motrices. Il n'arrive pas bien à se mobiliser, la jambe est de plus en plus flasque et les éleveurs d'orteils perdent de leur force et fonction.
L'ivrogne est déjà alcoolique. Il est malade physiquement surtout parce qu'il ne prend plus soin de son alimentation ou de sa santé, il ne peut plus penser lucidement et sa vie sociale est tombée en ruines.
Le risque d'alcoolisme augmente si un ou les deux parents consomment de l'alcool ou d'autres drogues. De même, des mauvais traitements et des abus sexuels augmentent le risque de dépendance à l'alcool.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) définit une consommation d'alcool modérée comme étant jusqu'à un verre par jour pour les femmes et jusqu'à deux verres par jour pour les hommes.