On insère le t euphonique entre un verbe conjugué à la 3e personne du singulier qui se termine par a, c ou e et le sujet il, elle ou on placé après le verbe. On met ce t entre traits d'union.
On entend la lettre « t » lorsque un mot se terminant par la consonne «d» ou «t» (« quand », « prend ») est suivi d'un autre commençant par une voyelle : Quand il pleut, on ne sort pas. On remarque alors que la lettre « d » se prononce en fait « t » (on dit que le « d » s'assourdit).
Le t euphonique s'écrit entre deux traits d'union. On utilise le t euphonique pour faciliter la prononciation et éviter un hiatus (rencontre de deux voyelles) lorsqu'un verbe qui finit par une voyelle précède un pronom qui débute par une voyelle. Il concerne donc les pronoms : elle, il et on.
Doit-on écrire «on» ou «l'on»? Nul n'est sans savoir que les déterminants «le» et «la» subissent l'élision, c'est-à-dire qu'ils se changent en «l'» quand le mot qui les suit commence par une voyelle ou un «h» muet. Aussi dit-on «l'habit», et non «le habit».
Bien placer les deux traits d'union qui encadrent « t » dans « y a-t-il » et ne pas en mettre entre « y » et « « a : il n'y a jamais de trait d'union entre un verbe et le pronom qui le précède. Si tu n'as plus rien à faire, va-t'en. Remets-t'en au destin.
Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il». Posez toutes vos questions de langue française sur notre forum. «Y a-t-il» : ne faites plus la faute !
Quand le participe passé fini est employé au début d'une phrase non verbale, c'est-à-dire sans verbe conjugué, exclamative ou interrogative, on a le choix d'accorder ce participe avec le nom qui suit, ce que l'on fait généralement, ou de le laisser invariable. Finis les soucis!
En fait, les deux accords sont acceptés. Le cas le plus fréquent est d'attribuer à ce participe la qualité de préposition, ce qui le rend ainsi invariable. On écrira ainsi « Fini, les fautes » si l'on sous-entend « C'est fini, les fautes ».
De plus, pour tous les verbes comme finir (du deuxième groupe), le présent de l'indicatif (je finis, tu finis, il finit) est aussi identique à l'oral et à l'écrit.
Le t n'est doublé que dans les mots commençants par at-. Comme le l, le t est doublé pour signaler la prononciation ouverte du [è] (jeter, jette – appeler, appelle).
Selon les personnes, on conjugue le verbe avec une lettre simple ou une lettre double. Si on entend le son [e], il faut un 1 l ou 1 t. Si on entend le son [è], il faut 2 l ou 2 t.
Faux. Il faut écrire : Y a-t-il une personne à prévenir en cas d'urgence ? Phrase correcte.
En liaison, la lettre d se prononce toujours [t] (t), donc comme la lettre t; Les lettres s et x, elles, se prononcent [z] (z), donc comme la lettre z; La lettre g peut se prononcer [k] (k), comme la lettre k; plusieurs ouvrages recommandent cette prononciation, mais elle est très rare aujourd'hui au Québec.
Le mot dit correspond à son participe passé. La difficulté, c'est qu'il existe des participes passés qui se terminent par -i comme fini , d'autres par -is comme permis , d'autres encore par -it comme conduit . C'est à ce dernier groupe qu'appartient dit , qui prend un t .
Adjectif. Qui a une fin, limité.
fin n.f. Achèvement, terme de quelque chose. fins n.f. pl.
Le nom qui correspond au verbe finir est, tout simplement, "fin". On peut aussi parler de "finition" pour décrire toutes les choses que l'on ajoute à la fin.
fini. Plusieurs variantes de conjugaison sont disponibles.
Le participe passé n'est pas une forme conjuguée, c'est-à-dire qu'il ne peut être à lui seul le verbe central de la phrase. Il peut se trouver soit derrière un auxiliaire, pour former les temps composés du verbe : il aurait connu, il avait connu, qu'il ait connu, etc., ou la forme passive : il est connu.
Il est complètement invariable, et ne s'accorde jamais avec le sujet qu'il accompagne. Par exemple : "il avait été invité à la fête" ne deviendra jamais "nous avions étions invités à la fête", mais bien sûr "nous avions été invités à la fête".