L'alcool ne fait pas que déshydrater le corps, il irrite aussi la paroi de l'estomac. Cette irritation est la cause des vomissements, voire des diarrhées, en cas de surconsommation.
Il ne faut pas penser que seuls les alcools forts peuvent donner une diarrhée, car l'effet ne provient pas du degré absorbé. “Dans les faits, ce n'est pas le type d'alcool qui a un effet, mais bien la quantité ingérée par la personne.
Le stade le plus précoce et le plus courant de la maladie du foie liée à l'alcool est appelé stéatose hépatique. La stéatose hépatique désigne une accumulation excessive de graisse à l'intérieur des cellules du foie, ce qui rend plus difficile le fonctionnement du foie.
«C'est un effet de l'alcool au niveau de l'intestin grêle, qui irrite et accélère le transit intestinal.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
L'alcool ne fait pas que déshydrater le corps, il irrite aussi la paroi de l'estomac. Cette irritation est la cause des vomissements, voire des diarrhées, en cas de surconsommation.
Diarrhée. Si vous êtes atteint du cancer du pancréas, vous pourriez avoir différents types de diarrhée. Chez certaines personnes dont un canal biliaire est bloqué, les selles peuvent avoir la couleur de l'argile.
La réponse de l'expert
Sinon, boire trop d'alcool peut entraîner une diarrhée le lendemain. La solution, c'est de boire moins. En effet, la diarrhée est une sorte de message de votre corps qui vous dit qu'il ne se sent pas bien !
En termes d'impact sur la santé, il est donc clair que toutes les boissons alcoolisées ne sont pas équivalentes. Pour les personnes qui consomment de l'alcool, l'ensemble des études indique qu'une consommation modérée de vin rouge demeure le meilleur choix à faire.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Elle se traduit par des vomissements de sang ou des selles très noires contenant du sang. Pour confirmer le diagnostic de cirrhose, une biopsie du foie doit être réalisée afin de visualiser les lésions fibreuses caractéristiques.
Symptômes de l'intolérance à l'alcool
Nausées, vomissements. Douleurs abdominales, diarrhées. Flush au visage (rougeur subite), bouffées de chaleur, sueurs, sensations thermiques perturbées.
La diarrhée aiguë se manifeste par des selles liquides plus de 3 fois par jour. Elle est fréquemment due à une infection intestinale par des virus, comme celui de la gastro-entérite qui sévit le plus souvent en hiver.
Maux d'estomac, nausées et vomissements
L'alcool stimule la muqueuse gastrique et celle-ci produit alors davantage d'acide gastrique. De cette façon, une consommation excessive d'alcool peut entraîner une détérioration de la muqueuse gastrique. Cela entraîne à son tour des maux d'estomac.
La diarrhée motrice se manifeste par une activité propulsive accrue dans le côlon. Lorsque les contractions du côlon sont plus intenses qu'à l'habitude, la nourriture passe plus rapidement dans le système digestif et moins d'eau est absorbée par le corps, rendant les selles trop aqueuses.
L'alcool est un cancérogène avéré pour l'homme (groupe 1 du CIRC). Les cancers dont le lien avec la consommation d'alcool est avéré sont les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) , de l'œsophage, du foie, du sein chez la femme, et le cancer colorectal (WCRF/AICR, 2018).
L'alcool affecte ainsi la mobilité intestinale (les mouvements spontanés de l'intestin pour y faire progresser les aliments) et augmente la perméabilité intestinale (le passage de molécules à travers la paroi intestinale) pouvant être à l'origine notamment d'inflammation.
Il est aujourd'hui démontré qu'une consommation chronique d'alcool provoque une dégradation de notre flore intestinale, car l'alcool est un facteur de stress de la barrière digestive. Mais en plus d'être à l'origine d'une inflammation, la dysbiose va également rendre notre barrière intestinale plus perméable.
Vous devez consulter votre médecin rapidement si : La diarrhée s'accompagne d'une forte fièvre, de vomissements répétés. Vos selles contiennent des glaires et/ou du sang. La diarrhée fait suite à un récent voyage dans un pays tropical.
La manifestation d'une maladie digestive ou infectieuse
Une maladie cœliaque, une maladie de Crohn ou une rectocolite hémorragique engendrent fréquemment une perte de poids car le transit est accéléré (diarrhée) et les nutriments mal absorbés au niveau de l'intestin.
Il peut toutefois être utilisé en cas de gastro-entérite pour son action anti-vomitive présumée grâce à sa forte teneur en sucre et en acide phosphorique. Par contre, il est préférable de boire du coca dégazéifié et décaféiné pour ne pas aggraver les diarrhées.
Une diarrhée
Même s'il ne s'agit pas d'un cancer du pancréas, ce symptôme peut être lié à une pathologie grave. Une diarrhée est "persistante" à partir de six selles molles par jour pendant plus de deux jours. Si une diarrhée commence à perturber vos activités quotidiennes, consultez votre médecin traitant.
Alors que la diarrhée chronique fonctionnelle par accélération du transit intestinal est fréquente, la maladie cœliaque, la maladie de Crohn et les colites microscopiques sont les principales pathologies à l'origine de diarrhées chroniques organiques.
Le test immunologique, qui a remplacé l'Hémoccult, permet de repérer 70 à 80 % des cas. Il consiste à rechercher du sang occulte dans les selles. Cinq pour cent des tests se révèlent positifs et nécessitent un examen complémentaire pour savoir s'il s'agit d'un cancer (une fois sur deux environ).