Définition et origines du liquide cérébro-spinal ou céphalo-rachidien. On parle d'écoulement cérébrospinal lorsqu'il existe un écoulement clair comme de l'eau, pouvant passer par le nez ou l'oreille, et pour lequel l'analyse établit qu'il s'agit de liquide céphalo-rachidien (liquide entourant les méninges).
Comment remarquez-vous que vous perdez du liquide céphalo-rachidien? Les patients atteints du syndrome de perte de liquide céphalorachidien signalent généralement des céphalées positionnelles, souvent sourdes, dites orthostatiques, qui surviennent en position debout et s'atténuent en position couchée.
L'écoulement nasal est attribuable à un drainage excessif du mucus par les tissus du nez et du sang par les vaisseaux sanguins du nez. Les causes de ce drainage excessif peuvent être diverses, mais il s'agit dans la plupart des cas d'une infection, comme le rhume ou la grippe.
vous avez le nez bouché (Obstruction nasale), Attention, si une seule narine est bouchée ou coule, il ne s'agit peut-être pas d'une rhinite allergique. On consulte rapidement un ORL.
Définition et origines du liquide cérébro-spinal ou céphalo-rachidien. On parle d'écoulement cérébrospinal lorsqu'il existe un écoulement clair comme de l'eau, pouvant passer par le nez ou l'oreille, et pour lequel l'analyse établit qu'il s'agit de liquide céphalo-rachidien (liquide entourant les méninges).
Un rhume de cerveau est une infection des voies respiratoires et plus particulièrement du nez. Cette infection est causée par un virus qui est entré dans l'organisme. Une multitude de virus sont responsables des rhumes de cerveau.
La rhinite vasomotrice, également appelée rhinite non allergique, est une maladie chronique dans laquelle un engorgement vasculaire intermittent de la muqueuse nasale cause une rhinorrhée claire et des éternuements.
La rhinite chronique cause l'obstruction nasale, et dans les cas sévères, des croûtes, un saignement fréquent, et un écoulement purulent, épais et nauséabond du nez. Les décongestionnants peuvent soulager les symptômes.
Le symptôme le plus courant du cancer des fosses nasales et des sinus paranasaux est un nez congestionné, bouché ou qui coule. Cela survient habituellement d'un seul côté du nez et dure longtemps, même si vous n'avez pas de rhume ni d'allergies. Ces symptômes peuvent s'aggraver graduellement.
La condensation de la vapeur d'eau expirée va alors former une « goutte au nez ». S'enclenche un cercle vicieux : plus l'eau s'évapore, plus elle « prend » de la chaleur au nez qui se refroidit, qui va fabriquer encore davantage de liquide.
En fait, les sécrétions nasales sont produites de façon constante. Elles servent à nettoyer le nez. Les adultes en produisent même 1 litre par jour, tous les jours!
Couleur du LCR
Le LCR normal est clair et incolore (eau de roche); ≥ 300 cellules/microL rendent le liquide trouble voire opalescent.
L'hydrocéphalie est traitée grâce à une intervention chirurgicale, réalisée par un neurochirurgien, sous anesthésie générale. L'objectif de l'intervention est de normaliser la pression dans le cerveau et de créer une circulation pour que l'écoulement du liquide cérébro-spinal soit optimal.
Il est difficile de faire une distinction précise entre rhume (rhinite) et inflammation des sinus paranasaux (sinusite). Ainsi, on parle de façon générale de «rhinosinusite».
Si la rhinite est surtout ressentie au printemps, le rhume se présente plutôt à l'automne et l'hiver. Néanmoins, la rhinite allergique peut être déclenchée à tout moment de l'année à cause d'allergènes domestiques comme les poussières, les acariens, les poils d'animaux ou encore les moisissures.
La sinusite allergique se manifeste par une sensation de pression et de douleur autour des orbites, une congestion nasale, des sécrétions épaisses et purulentes, parfois malodorantes. On assiste à une perte ou une diminution de l'odorat, voire une mauvaise haleine et une toux en accompagnement.
Elle se traduit, en général, par un écoulement du nez, des éternuements, un nez bouché, de la fièvre et une toux. L'écoulement du nez peut être clair ou purulent. Il n'y a pas de douleurs au niveau des os de la face.
Jours 1 à 2 : gorge irritée et éternuements. Jours 3 à 4 : intensification du mal de gorge, nez qui commence à couler. Même si les symptômes sont encore limités, c'est durant ces quatre premiers jours qu'on est le plus contagieux. Jours 5 à 7 : le rhume est à son pic.
Il faut veiller à ne pas se moucher trop fort, et de préférence une narine après l'autre. En effet, lorsqu'on se mouche fort, la pression dans le nez est beaucoup plus importante que lorsqu'on éternue ou que l'on tousse. Cela peut entraîner une propagation de l'inflammation dans les sinus.