La philophobie est la peur panique de ressentir de l'amour pour autrui, et plus généralement, de s'engager dans une relation sentimentale. Lorsque l'on imagine le profil type des philophobes, on pense souvent à des personnes froides, solitaires, au cœur de pierre, qui rejettent tout le monde.
Lorsque nous aimons quelqu'un, nous faisons non seulement face à la peur de perdre cette personne, mais nous prenons davantage conscience de notre finitude. En entrant dans une relation émotionnelle, nos vies gagnent en valeur et l'idée de mourir devient alors plus terrifiante.
Les symptômes de la philophobie
Une anxiété importante liée à la peur de l'engagement : nausées, tremblements, accélération du rythme cardiaque, etc. ; Un détachement marqué envers ses proches ; Une incapacité à s'ouvrir à l'autre ; Etc.
Vous vous sentez terriblement seul et ce sentiment de solitude affective peut ainsi conduire à des ruminations qui sont elles-mêmes à l'origine du développement d'affects dépressifs. Les ruminations s'installent progressivement et sont de plus en plus fréquentes et persistantes.
Difficulté à faire confiance à votre partenaire pour des questions ou des décisions importantes. Une réticence à partager vos rêves et/ou objectifs. Saboter délibérément les relations une fois que vous commencez à vous rapprocher de l'autre personne. Éviter tout contact physique avec votre partenaire.
Sur certaines thématiques, oui, les femmes sont conditionnées pour avoir plus peur que les hommes. Il a été prouvé que les femmes ont tendance à avoir davantage peur de grossir, de marcher dans la rue, du ridicule ou encore de parler en public que les hommes.
En premier lieu, une des plus grandes peurs que peut rencontrer un couple au quotidien c'est justement le quotidien. En effet, souvent, ce n'est pas la vie de couple à deux qui peut effrayer mais justement la routine du quotidien.
Un amour impossible correspond à "un amour qui n'arrive pas à se concrétiser et être vécu", selon la docteure en neurosciences, sexologue et thérapeute de couple, Aurore Malet-Karas. La forme la plus répandue est la relation à sens unique, c'est-à-dire que l'amour n'est pas réciproque ou partagé.
Une fois adulte, la personne peut se sentir mal à l'aise de dire son amour. Mais la difficulté à dire je t'aime peut aussi être liée à un conflit intérieur : la personne aimerait le dire mais elle est bloquée par la peur. Souvent, une peur d'être jugé, une peur d'être ridicule ou rejeté.
Il ne vous parle pas de sujets profonds, ne partage pas ses opinions, n'a pas envie de partager ces bouts de lui avec vous. Réciproquement, il ne sait rien de vous : non pas parce que vous n'en avez pas envie, mais parce qu'il ne s'y est pas intéressé pour demander ou même écouter.
Surprenez-les avec des cadeaux, ou faites quelque chose de spécial qui montre votre amour Prenez du temps pour eux et faites-leur savoir à quel point vous vous souciez d'eux Soyez franc et ouvert sur vos sentiments Dites-lui pourquoi vous l'aimez Montrez-lui de l'affection physique, comme des câlins et des baisers.
Communication et souvenirs : des éléments indispensables pour faire durer le couple. Mots doux, petites attentions, compliments et moments à deux : autant d'ingrédients romantiques qui permettent de faire rimer « amour » et « toujours ».
Parmi les écueils les plus redoutés : celui de l'infidélité.
La relation amoureuse toxique est une relation d'angoisse, d'inquiétude, de peur, de colère, de crise, de crainte, de doute et de manque d'estime dans laquelle se trouve une personne amoureuse. Cette situation est généralement orchestrée par une absence d'amour ou par une personne ultra-narcissique.
Amour. Confiance. Respect de l'individualité Capacité à résoudre les conflits.
Passer du temps ensemble, la preuve d'amour ultime...
« La » preuve d'amour ultime c'est, bien évidemment, de pouvoir consacrer du temps à l'élu de son cœur. Malgré un emploi du temps chargé, on parvient tout de même à passer une soirée, un après-midi, un week-end...
La douleur physique ressentie après la rupture a elle aussi été quantifiée : les femmes, là encore, sont les plus touchées, avec une douleur de 4,21 en moyenne, contre 3,75 pour les hommes.