En règle générale, c'est entre 17h30 et 18h que«bonsoir» se substitue à «bonjour». Il est également d'usage d'employer «bonsoir» pour ouvrir la discussion et son équivalent féminin «bonne soirée» pour la clore. Mais un «bonjour», même à la tombée de la nuit, ne sera jamais mal pris.
Dans l'écrasante majorité des cas, on écrit bonjour sans s et en un seul mot. C'est un mot très fréquent qu'on emploie pour saluer quelqu'un qu'on rencontre ou à qui on écrit. Dans dire bonjour , passez-lui le bonjour , bonjour depuis les Alpes , c'est la même chose.
Bonjour et bonsoir prennent un s au pluriel : de timides bonjours, de gais bonsoirs.
En dehors de certains cas définis par l'usage (comme « sans détour », « sans encombre »), le nom qui suit « sans » se met au singulier ou au pluriel selon qu'il désigne une ou plusieurs choses manquantes. > Ce film muet narre une histoire sans paroles.
2- Leur est toujours au pluriel
–> Quand il y a plusieurs choses ou plusieurs êtres pour chaque possesseur. Elles ont coupé leurs cheveux. En été, les arbres ont toujours leurs feuilles. Les éleveurs ont vendu leurs bêtes.
papa (n.) 1. homme qui a donné naissance à un ou plusieurs enfants (ex: père de famille, mon père-->papa).
Les noms en -au, eu et -eau prennent un -x. Les noms en -al font leur pluriel en -aux. Les noms en -ail font leur pluriel en -ails mais il y a déjà beaucoup d'exceptions. Les noms en -ou font leur pluriel en -ous sauf bijoux, choux, genoux, cailloux, joujoux, hiboux et poux.
«Sans sucre(s)», «sans parole(s)»: ne faites plus la faute !
Merci d'avoir pensé à moi. Remarques : "avoir pensé" est un infinitif passé construit avec l'auxiliaire avoir + participe passé d'où la terminaison du verbe penser.
On dit toujours penser à(quelque chose ou quelqu'un) s'il s'agit du verbe. "J'ai pensé à toi" (utilisation du verbe donc "penser").
La formule de politesse est écrite en deux mots dans des textes du XIIIe siècle. Plus tard, elle se substantive : « je vous donne le bon jour » ou « bien le bon jour ! ». « Bonjour » est la forme masculine de « bonne journée ».
est correcte dans le cas où une seule femme est présente dans l'auditoire adressé.
En France, en Belgique et en Suisse, on se salue en se serrant la main quand on ne se connaît pas. Dans le milieu des jeunes ou des étudiants, on se présente simplement par les prénoms accompagnés d'un geste de la main ou d'un bisou. Quand les personnes se connaissent ou sont amies, elles se font la bise.
Notez qu'on peut également utiliser ces salutations, dans le moment de la journée indiqué bien sûr : Bonne fin de journée, bonne fin de soirée, bon après-midi. À tout à l'heure : Ceci est dit à quelqu'un qu'on va certainement revoir dans un avenir très proche (dans quelques minutes jusqu'à dans quelques heures).
Bienvenu : un adjectif ou un nom qui s'accorde
Il en est de même avec le nom bienvenu, qui désigne une personne ou une chose accueillie avec plaisir : il prend la marque du féminin et du pluriel.
Au masculin, l'adjectif s'écrit bienvenu
“Un petit remontant serait bienvenu.” Ici, pas de problème particulier, l'adjectif bienvenu, formé de bien et de venu, se termine par un “u” au masculin. C'est la même chose si on l'emploie comme nom : “le bienvenu”. Exemple : “Il est le bienvenu chez moi.”
Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif. Avec les verbes en "ir" comme "bondir", ou en "re" comme "descendre", il y a encore un "s" avec "tu". Et "voir" prend lui aussi un "s" au présent et devient "tu vois".
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) !
L'impératif est un mode qui sert à l'expression de l'ordre. EX. : Viens ici, écoute-moi.
Sans effort locution adverbiale : facilement.
Un sans-souci est une personne qui ne s'inquiète de rien, qui ne se préoccupe pas de son avenir. Ce nom, qui s'écrit avec un trait d'union, est traditionnellement invariable. Mais, depuis les rectifications orthographiques de 1990, on peut écrire « un sans-souci », « des sans-soucis ».
On écrit donc: «Je n'ai aucune nouvelle». Quant à la formule «sans nouvelles», il faut la mettre à la forme affirmative pour la comprendre. En effet, on vient «aux nouvelles» d'une personne. On dit d'ailleurs: «Quelles sont les nouvelles?»
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
Avec un trait d'union. - Plur. : des coffres-forts.
bon de commande nom, masculin (pluriel: bons de commande m)