À l'impératif présent à la 2e personne du singulier (tu), les verbes en -er ne prennent pas de -s à la fin. Tu manges→ Mange ! Tu écoutes → Écoute !
Les verbes conjugués à la 2e personne du singulier (TU) se terminent par -s à l'indicatif (présent, futur, imparfait, etc.). Tu manges, tu finiras, tu vas, tu es, tu as, tu dormais, tu viens, tu prends, tu offres, etc.
Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif. Avec les verbes en "ir" comme "bondir", ou en "re" comme "descendre", il y a encore un "s" avec "tu". Et "voir" prend lui aussi un "s" au présent et devient "tu vois".
Règle 1 : en général, on forme le pluriel des noms et des adjectifs en ajoutant s ; s'ils sont déjà terminés par -s, -x ou -z , ils ne changent pas au pluriel. Exemples : Un classeur, des classeurs. Un livre, des livres. Un tapis, des tapis.
Règle : la conjugaison du verbe souhaiter au présent de l'indicatif et à la première personne du singulier est je vous souhaite sans -s. Cette conjugaison est régulière et suit la règle de conjugaison des verbes du premier groupe (verbes dont l'infinitif finit en -er).
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
Passe une bonne journée !
Les noms en -ou font leur pluriel en -ous sauf bijoux, choux, genoux, cailloux, joujoux, hiboux et poux. Les noms en -s, -x et -z ne prennent pas de marque du pluriel.
Exceptions : pneu, landau et bleu prennent un –s au pluriel. Les mots en -al au singulier ont un pluriel en -aux. Exceptions les plus courantes : carnaval, festival, chacal, récital, fatal, banal, natal, naval prennent un –s au pluriel.
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
On dit toujours penser à(quelque chose ou quelqu'un) s'il s'agit du verbe. "J'ai pensé à toi" (utilisation du verbe donc "penser").
N'oubliez pas : après tu, les verbes se terminent toujours par un -s au présent, futur, imparfait, etc. Tu es, tu as, tu manges, tu viens, tu prends, tu offres, tu finiras, tu dormais, etc. Exceptions : Au présent, les verbes pouvoir, vouloir, valoir se terminent par -x.
L'impératif est un mode qui sert à l'expression de l'ordre. EX. : Viens ici, écoute-moi.
À l'impératif, « va » ne prend un « s » que dans « vas-y ». Il faut donc s'assurer que le verbe est à l'impératif, mode qui se reconnaît au fait que le sujet n'est pas exprimé : par conséquent, s'il n'y a de « tu » ni devant ni derrière le verbe, on écrit « va » : Ne va pas t'imaginer que ce sera facile.
Leur, pronom personnel complément, accompagne toujours un verbe. Il est invariable (leur). Leur / Leurs, déterminant possessif, toujours placé avant un groupe nominal, s'accorde en nombre : Elles appellent leurs poules.
Il ne faut donc pas mettre de « s » à l'impératif pour les verbes du premier groupe (c'est-à-dire les verbes qui se terminent en « er », comme « manger ») et certains verbes du troisième groupe (comme « offrir » ou « cueillir »), même s'il s'agit de la deuxième personne du singulier !
Au pluriel, les mots prennent souvent un -s . Ça, tout le monde le sait. Il y a aussi certains mots qui prennent toujours un -s à la fin tout simplement parce qu'ils sont toujours au pluriel : des honoraires, des frais…
pourquoi le mot (TEMPS) prend un S à la fin? pourtant c'est au singulier ! Du latin tempus.
Les mots finissant par « -s », « -z » ou « -x » au singulier ne changent pas de forme au pluriel : Un cas, des cas. Un gaz, des gaz. Un houx, des houx.
Plur. : des ails (pluriel courant) ou des aulx (vieux ou régional). Ail s'emploie rarement au pluriel (on dit des gousses d'ail, des têtes d'ail).
pickups, selon les rectifications orthographiques de 1990.
portails. Grande porte permettant l'entrée dans un édifice, un parc etc.
Quelques idées : "Je t'aime, j'ai hâte de te retrouver ce soir, bonne journée", "J'espère que tu as bien dormi, mon amour, à ce soir", "Je pense à toi, mon chéri / ma chérie, et je te souhaite une belle journée", "Quelle superbe nuit à tes côtés, mon cœur, j'ai hâte de te revoir ce soir".
En français, le mot week-end a deux orthographes possibles : avec un trait d'union ou bien soudé en un seul mot, weekend . On peut donc écrire passe un bon week-end ou passe un bon weekend .
Vous pouvez vous désabonner à tout moment. On écrit donc « profite bien » : à la deuxième personne du singulier de l'impératif, il faut donc écrire « profite bien ». Par exemple : Profite bien de ta journée !