L'œdème aigu pulmonaire se manifeste par : des difficultés respiratoires d'apparition brutale avec augmentation de la fréquence respiratoire. une gêne majorée en position allongée. "Le symptôme principal est un essoufflement très important.
Un œdème pulmonaire, ou œdème aigu du poumon (OAP), est une accumulation de liquide dans les alvéoles pulmonaires. Cette inondation est essentiellement causée par une insuffisance cardiaque, notamment l'insuffisance cardiaque gauche (il s'agit d'un œdème cardiogénique).
Quelles sont les causes ? Cet œdème peut être d'origine cardiaque ou inflammatoire. Dans le premier cas, le ventricule gauche du cœur ne remplit pas correctement sa fonction de pompe. Lorsque la pression devient trop forte, les capillaires n'arrivent plus à faire face et du liquide pénètre dans les alvéoles.
Le geste médical consiste soit à introduire temporairement une aiguille dans la cavité pleurale pour prélever son contenu (ponction), soit à introduire et placer dans l'espace pleural un tuyau en plastique (drain) dans le but d'évacuer le liquide, le sang ou l'air accumulés (drainage thoracique).
La maladie qui cause l'eau dans les poumons est appelée œdème pulmonaire. L'accumulation d'eau dans les poumons est une condition potentiellement mortelle qui peut entraîner la mort. On pense qu'il se produit lorsqu'un excès de liquide se trouve dans les poumons ou les tissus entourant les poumons.
Un œdème aigu du poumon représente une véritable urgence. Dès l'apparition des premiers symptômes, il faut contacter immédiatement le 15. En effet, en l'absence de prise en charge rapide, un OAP peut entraîner une détresse respiratoire aiguë menant au décès.
Les symptômes de l'embolie pulmonaire
L'embolie pulmonaire entraîne l'apparition soudaine : d'une douleur thoracique d'un côté, qui augmente à l'inspiration ; de difficultés à respirer (dyspnée) : respiration rapide et courte ; parfois une toux et des crachats avec du sang.
L'œdème est un gonflement des tissus mous dû à une augmentation du liquide interstitiel. Le liquide est composé de manière prédominante d'eau, mais des protéines et des liquides riches en cellules peuvent s'accumuler en cas d'infection ou d'obstruction lymphatique.
L'épanchement pleural (pleurésie cancéreuse) est une complication relativement fréquente des cancers : des nodules cancéreux implantés sur la surface séreuse de la plèvre entraînent une production excessive de liquide séreux.
Après un premier épisode d'embolie pulmonaire, le risque de récidive est important. Pour le réduire, il est primordial de suivre un traitement anticoagulant. En fluidifiant le sang, celui-ci permet d'éviter la formation de nouveaux caillots.
Il consiste à faire une piqûre entre les côtes, puis de guider l'aiguille au travers du poumon jusqu'à la tâche (sous contrôle visuel au scanner) pour y réaliser des prélèvements. Cet examen permet, dans la majorité des cas, de connaître la nature de l'image sur laquelle votre médecin s'interroge.
Une toux en position allongée, survenant surtout la nuit, peut être associée. L'apparition d'un essoufflement en position allongée est un symptôme d'aggravation nécessitant une consultation médicale urgente.
Le traitement anticoagulant est le traitement de référence. C'est le traitement de base des embolies pulmonaires permettant de traiter de façon satisfaisante la majorité des patients présentant une embolie pulmonaire aiguë.
L'embolie pulmonaire est six fois plus fréquente après 85 ans qu'avant 60 ans.
Le signe à repérer: une difficulté brutale à respirer. C'est peut-être une embolie pulmonaire. Cette obstruction d'une artère des poumons par un caillot de sang se manifeste par un essoufflement brutal, une douleur d'un côté de la poitrine, parfois une toux et le cœur qui bat vite.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Ensuite, sa paroi s'épaissit et ses cavités se dilatent : c'est l'hypertrophie cardiaque qui induit une fatigue du cœur menant à l'insuffisance cardiaque. Cette pathologie chronique est irréversible : une fois installée, elle s'aggrave, et l'espérance de vie à 5 ans est de 50%.
L'opération (pleurectomie) est relativement simple et consiste à réséquer la bulle responsable (ce qui emporte une quantité de poumon) et à faire un geste qui «colle» le poumon à la paroi - en général on irrite mécaniquement la plèvre par simple abrasion. Cette opération se fait le plus souvent par thoracoscopie.
Le médecin introduit une aiguille dans l'espace pleural pour retirer le liquide. L'aiguille est retirée suite à la ponction. L'intervention est peu douloureuse, mais peut causer un certain inconfort, par exemple de la toux. La durée de l'intervention est d'environ 20 minutes.