Elle correspond au temps passé assis ou allongé sans autre activité physique entre le lever et le coucher, ainsi que la position statique debout (1,3 MET). On peut donc être physiquement actif et sédentaire.
Le comportement sédentaire désigne les occupations auxquelles nous nous adonnons en position assise ou allongée et qui nous font dépenser très peu d'énergie, comme regarder la télévision, utiliser un ordinateur ou une tablette, se déplacer en autobus, en voiture ou en train.
Nous sommes considérés comme « sédentaires », au-delà de sept heures passées assis ou allongé dans une journée.
Selon l'OMS, la sédentarité est en effet associée à plusieurs maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires, le syndrome métabolique, le diabète de type 2 et le cancer. De plus, la sédentarité est associée à un risque de mortalité plus élevé (Stamatakis et al., 2019).
de marcher quelques minutes et de s'étirer au bout de 2h d'affilée en position assise ou allongée et de faire quelques mouvements qui activent les muscles et mobilisent les articulations (rotation des épaules, du bassin, des chevilles, des poignets, des mains, de la tête).
La marche nordique, munie de bâtons, est un bon moyen pour les sédentaires ou les seniors de bouger et surtout de faire travailler le cœur (travail cardiovasculaire) : « 80 à 90 % des muscles du corps sont mis en mouvement du fait de la sollicitation des membres inférieurs et supérieurs.
Déplacez-vous quand vous le pouvez, à pied ou à vélo pour les courtes distances. Optez pour l'escalier plutôt que l'ascenseur, et identifiez toutes les occasions de pratique : porter une charge, faire du rangement, aller se faire un thé, s'étirer…
La sédentarité est donc définie par le temps passé en position assise ou allongée et non liée, en réalité, à la pratique d'activité physique. Plus vous passez de temps assis ou allongé, plus vous êtes sédentaire.
Au quotidien, cela se traduit part une diminution des capacités à effectuer des tâches motrices durant l'activité physique quotidienne. C'est donc une perte de motricité évidente, réduisant ainsi la qualité de vie et l'autonomie, augmentant par ailleurs le risque de chute et de déséquilibre.
Les femmes, plus touchées que les hommes par la sédentarité
La sédentarité et/ou le manque d'activité physique touche différemment les femmes et les hommes. 70 % des femmes se trouvent sous le seuil de tous les niveaux d'activité identifiés pour être en bonne santé, contre 42 % des hommes.
La sédentarité au travail nuit à la santé : pathologies cardiovasculaires, diabète de type 2, cancers, obésité, troubles musculosquelettiques (TMS), effets sur la santé mentale. Les postures sédentaires constituent un enjeu de santé au travail qu'il convient d'évaluer et de prévenir.
Ces personnes présentent ainsi des taux de mortalité et de morbidité plus élevés. « Par exemple, elles sont davantage exposées aux maladies cardiovasculaires et à certains cancers. Elles sont également plus à risque d'hypertension ou d'obésité.
On peut remarquer que le maximum de capacité physique chez l'homme monte progressivement durant la vingtaine et est atteint aux alentours des 30 ans. Chez la femme, c'est un peu plus tard, aux alentours des 35 ans.
Plusieurs facteurs incluant l'âge avancé, le sexe masculin, l'obésité, la saison hivernale et de faibles niveaux d'exercice physique étaient associés à des comportements sédentaires prolongés.
Premièrement, l'avantage majeur de la sédentarisation est qu'elle permet de pratiquer l'agriculture et l'élevage des animaux.
Un style de vie sédentaire est défini comme un mode de vie avec peu ou pas d'activité physique. Si vous passez la majeure partie de votre journée assis à un bureau, il y a de grandes chances pour que vous ne fassiez pas assez d'exercice… Et … croyez-le ou non, cela peut avoir de graves conséquences sur votre santé !
Souvent associée à la prise de poids, la sédentarité favorise également le développement de facteurs de risque cardiovasculaire, des troubles musculo-squelettiques, et autres désagréments du quotidien comme la sensation de fatigue chronique, les jambes lourdes…
Les symptômes d'un manque d'exercice
Ostéoporose et atrophie des muscles: le manque d'exercice réduit la densité osseuse et la masse musculaire. Maladies cardiovasculaires: l'absence d'activité physique augmente le risque d'hypertension artérielle, d'AVC et de thrombose.
Dont la profession n'exige pas de déplacements fréquents hors du lieu où elle s'exerce : Les employés de bureau constituent un personnel sédentaire. 2. Qui reste le plus souvent à son domicile, sort peu : L'âge et la maladie l'ont rendu sédentaire.
La sédentarité signifie que nous avons une faible dépense énergétique en position assise ou allongée, excluant le sommeil. Quant à elle, l'inactivité physique signifie qu'il n'y a pas assez de pratique d'activité physique, c'est-à-dire un volume hebdomadaire inférieur à 150 minutes d'intensité moyenne à élevée.
Le fait d'être sédentaire favorise les les maux de dos et troubles musculo-squelettiques (TMS) et augmente les facteurs de risques cardiovasculaires classiques, comme le surpoids, le diabète ou encore l'hypertension artérielle.
Les activités physiques comme la course, la natation ou la danse font fonctionner le système cardiovasculaire et augmentent ainsi notre rythme cardiaque et notre respiration. Ce type d'exercice réduit les risques de malades cardiovasculaires, de diabète de type 2, d'hypertension et de certains cancers.
QUELLES QUALITES DEVELOPPER ? Au cours de sa formation, le sportif qu'il soit footballeur ou tennisman devra acquérir les qualités physiques suivantes : l'endurance, la résistance, la force, la vitesse, la souplesse et la capacité de coordination. L'important est de savoir quand il faut développer ces qualités.