Donc voici un article pour vous aider à bien prononcer les mots en français quand vous voyez « LL » ! Pour la majorité des mots, la prononciation des deux L est la même que la prononciation d'un L.
La liaison est obligatoire quand il y a un déterminant et après un nom. Par exemple, on dit “un_ami”. Ce que je t'ai dit dans le cas général est toujours vrai. Le premier mot doit se terminer par une consonne, le deuxième doit commencer par une voyelle.
Faire une liaison, c'est prononcer la consonne finale, habituellement non prononcée d'un mot pour le relier avec le mot suivant qui commence par une voyelle. On prononce donc une nouvelle syllabe qui a la structure consonne-voyelle, structure de 50% des syllabes en français.
Liaison - cours. Lorsqu'un mot se termine par une consonne muette il arrive, quand on parle, que cette consonne soit liée à la voyelle ou à l'h muet qui débute le mot suivant. On dit que l'on fait une liaison.
I'll [ ʌɪl, aɪl]
- Lorsque 'ill' est précédé de 'qu' ou 'gu' : on a le son /j/ dans "quille", "coquille" (comme dans "fille") et le son /il/ dans "tranquille". Lorsque 'Y' est placé entre deux voyelles, on fait, généralement, comme s'il y avait deux 'i' écrits. L'un se lie à la voyelle qui précède et l'autre à la voyelle qui suit.
En phonétique, on appelle le son [j] le yod. Pour prononcer ce son, dîtes rapidement « i e i e i e i e i e », vous finirez par entendre le son [j] de cette manière !
La liaison est interdite …
entre deux mots lorsqu'un signe de ponctuation les sépare : Hommes, femmes, | enfants.
Le h de «haricot» est «aspiré». En cela, il interdit la liaison et «impose que ce mot soit prononcé disjoint de celui qui le précède». Et ce, au singulier comme au pluriel. Ainsi, on prononce «le haricot» et non pas «l'haricot» ; «les/ haricots» et non «les-z-haricots»; «un beau haricot» et non «un bel haricot».
Exemple: «C'est eux qui-z-ont», «Donne moi-z-en» ou encore, «Moi-z-aussi». Nous avons une fâcheuse tendance à utiliser la liaison en «z» plutôt qu'en «t»: «Il a dépensé cent-z-euros», «J'ai compté vingt-z-animaux». Pour rappel, «vingt» et «cent» varient au pluriel s'ils ne sont suivis d'aucun adjectif numéral cardinal.
On fait, à l'oral, une liaison entre deux mots lorsque le premier se termine par une consonne muette et le second commence par une voyelle ou par un 'h' muet. La liaison unit à l'oral deux mots séparés à l'écrit et se fait entendre au début du deuxième mot.
En général, en français moderne, le « h » initial est aspiré pour les mots d'origine germanique et muet pour les mots d'origine latine. En latin, la lettre « h » est devenue muette dès l'époque de l'Empire et les locuteurs du gallo-roman ignoraient la fricative laryngale [h].
Liaison et enchaînement
Une consonne finale peut passer dans la première syllabe du mot suivant s'il commence par une voyelle. On parle d'un enchaînement ou d'une liaison. Les liaisons peuvent être obligatoires, interdites ou facultatives.
t. 1 1787 pose la question : ,,Doit-on prononcer avant-hier ou avan-ièr?'' Il y répond lui-même : ,,Il semble que l'h dans hier n'étant pas aspirée, le t doit se prononcer dans avant.
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
–> “Trop” est invariable comme tous les adverbes en français (sauf exception). Remarque. La liaison n'est pas obligatoire avec “trop” !
Au 16e siècle, comme on l'indique Marc-Alain Ouaknin dans son ouvrage "Le mystère de l'alphabet" http://data.rero.ch/01-R218087760, c'est sous l'influence de Pierre de La Ramée que le J c'est scindé du I. « Le J se prononçait comme un Y, puis s'est transformé en son « g » selon sa place dans le mot.
le g se prononce « gue » : la gare, une gomme, aigu. Pour que le g se prononce « je » devant « a, o, u », il faut mettre un « e » après le « g » : une orangeade, la rougeole,… devant « e, i, y » : le g se prononce « je » : une page, la gélatine, une girafe.
Devant les voyelles e, i et y la lettre g se prononce [ʒ]. Devant les voyelles a, o et u, le g se prononce [g]. On obtient le son [g] en ajoutant un u entre le g et les voyelles e ou i. Devant toutes les consonnes, g se prononce [g], sauf devant le n, le g se prononce [ɲ].
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il».
Le pronom y s'utilise avec des verbes qui se construisent avec à, comme par exemple penser à, s'intéresser à, réfléchir à, participer à, croire à, jouer à etc. Ex: Est-ce que vous participerez au tournoi de football dimanche? - Oui, bien sûr, nous y participerons et nous gagnerons!