2° En principe, on emploie oui pour répondre à une question affirmative et si après une question négative.
si : conjonction.
Il peut introduire une subordonnée complétive : « Je te dirai demain si je viens » ou complétive interrogative indirecte : « Je me demande si tu viendras ». Il peut introduire une subordonnée adjointe hypothétique (de condition) : « Si tu mangeais proprement, je ne te reconnaîtrais pas ».
Oui merci. / Oui s'il vous plaît. Exemple : Je vous ressers ? Oui, merci.
contre-question — Wiktionnaire.
En linguistique moderne (pragmatique), on appelle question rhétorique une question qui attend une réponse dichotomique : soit oui soit non, par opposition aux questions indirectes, qui attendent une réponse construite comme dans « Avez-vous l'heure ? ». L'interlocuteur ne répondra pas oui mais donnera l'heure.
En dépit de sa valeur assertive, la question rhétorique est bien une interrogation. Par conséquent, elle doit nécessairement être formulée sous forme de question, c'est-à-dire avec l'ordre des mots ou l'intonation, selon que vous l'utilisez à l'écrit ou à l'oral, qui conviennent.
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative.
Pour l'expert, il suffit d'ajouter un petit mot derrière le fameux « Ok » à l'instar de « Ok, cool », « Ok c'est bon ». Autre astuce : le point d'exclamation peut également adoucir vos réponses et faire ainsi toute la différence.
Les phrases avec si doivent respecter la concordance des temps : Pour exprimer une quasi-certitude ou probabilité : Si + présent de l'indicatif → verbe 2 à l'indicatif (présent ou futur simple) ou à l'impératif. Si Muriel et Marcel suivent les conseils de Victor, ils réussiront leur mission.
Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].
Si oui, si tel est le cas.
2. Dire oui; c'est oui. Accepter, être d'accord.
● «Si j'aurais su»
C'est même tout le contraire! Rappelons la règle: lorsqu'on emploie la conjonction «si», qui traduit de fait une condition, il est inutile d'y ajouter un verbe conjugué au conditionnel. Ainsi, il faut écrire: «Si j'avais su, je ne serais pas venu.»
La façon polie de saluer quelqu'un que l'on vient de vous présenter est de dire : « Bonsoir Julie, content de faire votre connaissance. » Tendez votre main et serrez la main de la personne de manière ferme, mais pas écrasante.
Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” ? L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
Langage poli : Merci (beaucoup / bien / de tout coeur / infiniment) ! C'est gentil ! C'est vraiment très gentil de votre part ! C'est très aimable à vous !
si n.m. inv. Expression d'une condition ; condition restrictive. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence)... Marque la dénégation après une interrogation négative et s'emploie dans...
5 / Adverbes d'affirmation : oui, si, soit, volontiers, assurément, aussi, absolument, certainement, vraiment, etc.
À titre d'exemple, si, outre qu'il exprime une condition, peut aussi signifier chaque fois que,à l'instar de lorsque et quand, lorsqu'il y a une idée de répétition indéfinie. De même, le HANSE précise que lorsque peut avoir un sens conditionnel, celui de dans le cas où.
La question rhétorique (interrogation oratoire) est une "fausse question" qui n'attend pas de réponse et qui permet d'affirmer un point de vue et d'éveiller la curiosité. Elle sert à provoquer l'auditeur et a donc un effet immédiat... surtout si elle est drôle ou caustique.
Dans un questionnaire, on appelle question dichotomique une question fermée à laquelle le répondant doit choisir entre deux possibilités, le plus souvent Oui/Non.
questionneur n. Personne qui pose beaucoup de questions.