II Quand et lorsque : la postériorité On parle de postériorité quand l'action principale se déroule après une autre. Quand et lorsque indiquent la postériorité si on emploie certains temps grammaticaux. Regardez le tableau suivant.
La simultanéité est le fait que plusieurs actions se déroulent au même moment. Il existe plusieurs marqueurs temporels pour l'exprimer : pendant que, en même temps que, pendant, en même temps, au même moment et simultanément.
On doit appliquer la concordance des temps pour exprimer la chronologie des actions dans une phrase complexe et pour rapporter des paroles au discours indirect dans un contexte passé.
Dans la langue soutenue, la règle de concordance des temps veut que le verbe de la subordonnée soit à l'imparfait ou au plus-que-parfait du subjonctif. Exemples : Je voulais qu'elle fût heureuse (imparfait du subjonctif) — Je souhaitais qu'il fût arrivé (plus-que-parfait du subjonctif).
Pour exprimer l'antériorité par rapport à un verbe de la phrase matrice conjugué au passé, nous avons le choix entre cinq temps du passé : le plus-que-parfait, le passé antérieur, le passé simple, le passé composé et l'imparfait. Chacun de ces temps du passé a sa propre valeur, comme nous allons le voir.
- le passé antérieur après quand, lorsque, après que, etc. quand le verbe principal est au passé simple. Pour parler de deux actions simultanées, on utilise : - l'imparfait dans la plupart des cas.
Les phrases avec si doivent respecter la concordance des temps : Pour exprimer une quasi-certitude ou probabilité : Si + présent de l'indicatif → verbe 2 à l'indicatif (présent ou futur simple) ou à l'impératif. Si Muriel et Marcel suivent les conseils de Victor, ils réussiront leur mission.
Quand utiliser le passé simple ? Le passé simple est employé pour désigner une action généralement courte, terminée dans le passé. Sur une échelle de temps, le passé composé, qui exprime lui aussi une action brève, se situe plus près du présent que le passé simple, plus lointain.
À la différence de « avant que », la locution « après que » est obligatoirement suivie d'un temps composé de l'indicatif : ici, il s'agit d'un passé antérieur.
Caractère, état de ce qui est postérieur à quelque chose dans le temps. Anton. antériorité. Établir la postériorité d'un fait par rapport à un autre.
Conjonctions de subordination qui marquent le temps : Quand, lorsque, alors que, pendant que, après que, tandis que, depuis que, aussitôt que, sitôt que, comme, dès que, tant que seront suivies de l'indicatif.
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
− État de ce qui se situe avant dans le temps, priorité de date.
Le conditionnel passé est un temps de verbe composé qui fait partie du mode indicatif. Il sert souvent à exprimer un fait hypothétique.
2e cas : si + imparfait ->conditionnel présent => Si tu voulais, tu pourrais. 3e cas : si +plus-que-parfait ->conditionnel passé => Si tu avais voulu, tu aurais pu.
Le passé simple implique une action courte et ponctuelle. Je regardais, est à l'imparfait. L'imparfait est utilisé pour une description, un comportement répétitif ou une action qui dure dans le temps.
Verbes du 3ème groupe: -s, -s, -t, û/îmes, û/îtes, -rent. Exceptions: Tous les verbes en "-dre" se conjuguent avec la voyelle "i" au passé simple. Exemple: prendre => pris: je pris; vendre => vendu: je vendis.
L'imparfait est utilisé pour une action passée, qui a duré et qui est terminée. Le passé simple est utilisé comme temps de narration pour une action ponctuelle qui s'est déroulée dans le passé.
Qu'est-ce-que cela signifie ? Tout simplement que la concordance des temps dans votre phrase n'est pas bonne. C'est un moyen mnémotechnique pour vous rappeler que dans une phrase de condition, après le « si » on emploie toujours le verbe à l'imparfait.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
au futur simple : j'aurai, tu auras, il aura, nous aurons, vous aurez, ils auront. au conditionnel présent : j'aurais, tu aurais, il aurait, nous aurions, vous auriez, ils auraient.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Les temps simples (indicatif présent, indicatif futur simple, conditionnel présent, etc.) expriment l'aspect non accompli. Les temps composés (indicatif passé composé, indicatif futur antérieur, conditionnel passé, etc.) expriment l'aspect accompli.