changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
L'IRM et le Pet scanner pour un cancer généralisé indiquent l'étendue des lésions. La scintigraphie osseuse permet de détecter des métastases osseuses et des métastases sur les cartilages. Quant aux examens sanguins, il s'agit de mesurer ici les taux de marqueurs tumoraux (l'enzyme LDH ou la protéine C-réactive).
Une humeur agressive, une irritabilité ou une humeur changeante et instable. Une perte d'intérêt et de plaisir (plus rien ne l'intéresse, abandon d'études, etc.) Des signaux d'anxiété : nervosité, agitation, crises d'angoisse, hypervigilance, etc.
Le cancer du poumon, le cancer de l'ovaire, le cancer colorectal, les cancers du col utérin ainsi que le cancer du sein, peuvent tous passer inaperçus par les patients jusqu'à ce qu'ils soient très avancés, au stade 3 ou 4. Ces tumeurs sont souvent définies comme les cancers de «stade tardif».
Déclenchement et émission du message d'alerte
L'alerte est lancée soit par la direction centrale de la Police judiciaire, soit par la gendarmerie nationale, soit par la préfecture de police, qui envoie le message d'alerte aux différents médias et espaces publics.
Dans la lutte contre le cancer, la détection de la maladie à un stade précoce est essentielle. Le diagnostic s'appuie aujourd'hui sur une série d'examens comprenant les tests d'imagerie, l'analyse anatomopathologique des tissus avec les microscopes, et le dosage de certains marqueurs tumoraux dans le sang.
Diagnostic précoce
Les technologies modernes d'imagerie diagnostique, notamment l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et la tomodensitométrie (TDM), permettent de visualiser les tissus avec une excellente résolution.
Un cancer apparaît comme une prolifération incontrôlée de cellules. La masse de cellules cancéreuses grandit et envahit les tissus voisins petit à petit. Cela conduit par la suite à une tumeur qui envahit peu à peu l'organisme et alterne son fonctionnement.
Les examens biologiques, tels que le bilan sanguin ou urinaire, sont réalisés sur des liquides ou tissus du corps au moyen de plusieurs techniques de prélèvement. Ils permettent de mesurer l'état de santé général du patient et le dosage des marqueurs tumoraux. On peut la repérer lors d'une analyse de sang ou d'urine.
Le cancer du sein
Son premier signe palpable peut justement être une masse solide, indolore et bien distincte du reste du tissu mammaire. Elle s'accompagne parfois d'un gonflement des ganglions des aisselles, d'un changement dans l'aspect de la peau du sein ou du mamelon ou encore d'écoulements.
Une coloscopie permettra d'établir le diagnostic.
L'aspect des selles peut sembler anormal. Ces dernières peuvent être plus petites, plus étroites (selles en crayon) et teintées de sang rouge vif, brun ou noir, fluide ou constitué de caillots.
On peut faire un examen d'IRM pour : examiner différentes parties du corps et déterminer si vous avez certaines maladies; diagnostiquer un cancer et en déterminer le stade (jusqu'où le cancer s'est propagé); aider à planifier le traitement.
Une méta-analyse de 2012 a révélé qu'un taux de CRP élevé était associé à une augmentation de 33 % du développement de cancers du poumon, sur la base de 10 études portant sur 1 918 cancers du poumon.
Un mal de gorge, une sensation d'avoir quelque chose en travers de la gorge, des difficultés à déglutir (lésion au niveau de l'oropharynx, l'arrière de la bouche), des douleurs au moment d'avaler (lésion dans la bouche ou en arrière de la bouche) ou encore une masse palpable au niveau du cou.
En présence d'une hémoptysie (crachat sanglant) ou de symptômes pulmonaires ou généraux persistant anormalement, un bilan est nécessaire pour rechercher un éventuel cancer bronchopulmonaire. Le diagnostic est confirmé par l'analyse de fragments de tumeur prélevés par biopsie lors d'une fibroscopie bronchique.
L'échographie est le premier examen d'imagerie réalisé pour poser un diagnostic ; si une anomalie est identifiée, un scanner (ou tomodensitométrie) et/ou un examen par imagerie par résonance magnétique (IRM) est nécessaire.
Ce qu'il faut faire :
Rester à l'abri ; Couper le chauffage, la climatisation, la ventilation ; Allumer la radio ou la télévision afin d'écouter les consignes émises par les autorités ; Consulter les comptes officiels des autorités sur les réseaux sociaux pour se tenir au courant des consignes.
La procédure d'alerte permet de détecter au plus tôt les difficultés économiques d'une société. Le président du tribunal de commerce ou du tribunal judiciaire, le comité social et économique (CSE) ou les associés ont la possibilité de déclencher cette procédure.
Les personnes qui éprouvent une fatigue liée au cancer peuvent se sentir épuisées après de toutes petites quantités d'activité. Le sommeil ou le repos ne soulagent pas complètement cette fatigue, et elle peut nuire à la vie quotidienne. Quand on est fatigué, il peut être encore plus difficile de faire face au cancer.