Juger quelqu'un équivaut à ne pas comprendre pourquoi cette personne est telle qu'elle est. On ne sait pas ce qu'a vécu l'autre, ce qui a fait qu'il est tel qu'il est, ni combien il peut souffrir quand il sait qu'on le critique sans raisons justifiées.
Jugeant : Définition simple et facile du dictionnaire.
Nos jugements justes sur les autres peuvent leur fournir des conseils dont ils ont besoin et, dans certains cas, peuvent nous protéger, nous et notre famille. Nous devons toujours juger avec sollicitude et compassion. Autant que possible, nous devons juger les situations des gens plutôt que les personnes elles-mêmes.
1. Se faire une opinion sur quelque chose ou sur quelqu'un, porter une appréciation, un jugement de valeur à leur sujet : Si j'en juge par mon expérience. 2. Se faire une idée de quelque chose, l'imaginer : Jugez de ma surprise.
3) Juger, c'est enfermer les autres dans des cases et diminuer notre propre ouverture d'esprit. Le jugement est une sentence qui confine la personne qui la reçoit dans une réalité qui n'est pas la sienne (les enfants qui subissent des jugements ou des étiquettes vont caler leur comportement sur eux).
Définitions : impassible - Dictionnaire de français Larousse.
En tant que croyants, nous sommes appelés à juger selon l'Écriture, donc, de prononcer les justes jugements de Dieu, sans plus. Nous ne possédons pas la liberté de juger les gens à partir d'une justice qui nous est propre et qui fait fi des jugements de Dieu.
A l'aide de scans cérébraux, les chercheurs montrent que lorsque l'on raconte une histoire à un individu, et que celui ci juge que les actions des personnages méritent des reproches, une région du cerveau est activée. Il s'agit de l'amygdale, très fortement liée au contrôle des émotions.
Comme nous sommes des êtres humains, nous sommes sociables. Et donc, nous ne pouvons pas faire abstraction, ni empêcher le regard et le jugement des autres. Il est donc important de : prendre du recul : respirer par le ventre, laisser passer du temps, élargir sa vision, analyser son émotion.
Confirmer et infirmer, sont des mots antonymes.
Il n'est pas en sécurité et a une faible estime de soi : une personne qui n'est pas en sécurité ou qui se sent inférieure critique souvent l'autre comme un moyen d'améliorer sa perception de lui-même. Il projette ses peurs, ses faiblesses et ses échecs sur les autres.
Quand critiquer permet de s'adapter au monde
En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde. Selon elle, on critique les autres de manière à conforter la posture que l'on a prise, une posture "sécuritaire" adoptée en fonction de l'environnement dans lequel on se trouve.
Vivre sans jugement veut dire ne plus accorder d'importance à des choses qui n'en ont pas. Car chaque jugement fortifie l'importance et la présence de cette chose. En jugeant intensément quelque chose, nous sommes assurés de voir cette chose intensément dans notre vie.
En psychologie, l'autocritique est le fait de porter un jugement sur son comportement, sur ses erreurs commises, avec pour objectif de s'améliorer. La capacité d'autocritique peut être réduite, voire annihilée, lors de délires ou de démences.
Cas général. Vous pouvez demander la copie d'une décision pénale avec le formulaire cerfa n°12823 ou par courrier sur papier libre. La demande peut être faite par une simple lettre ou par lettre recommandée avec accusé de réception. Vous devez adresser la demande au greffe de cette juridiction.
Opération intellectuelle permettant de peser l'importance relative de faits ou d'idées abstraites, d'en évaluer les conséquences par le raisonnement et de conclure par une décision dans laquelle une assertion est posée comme vérité.
La personne qui critique sans cesse jouit d'une si faible estime d'elle-même qu'elle n'arrive pas à discerner les aspects positifs chez les autres. Au fond, elle projette ses propres faiblesses. Elle vous déprécie pour tenter de se valoriser. Sachant cela, prenez ses critiques avec un grain de sel.
La tendance à juger à l'excès tient au fait d'avoir été soi-même une cible. Il s'agit donc de retrouver comment, à quelle fréquence et pourquoi des jugements vous ont été imposés. En identifiant ces blessures du passé, on prendra conscience des raisons qui incitent, au présent, à en infliger à soi-même et aux autres.
La Sainte Ecriture est formelle là-dessus : on ne doit pas juger son prochain (Mt 7,1-5 ; Jc 4,11-12) car le jugement appartient à Dieu, qui scrute les cœurs et les reins et qui connaît parfaitement le cœur de l'homme. Mais il semble que l'homme ne peut s'abstenir de se juger et surtout de juger son semblable.
Au xvie siècle, Noël du Fail donne sa définition du bon juge : il est d'abord un homme intègre, qui ne se laisse influencer ni par le statut social des parties, ni par le souci de l'opinion publique, ni même par l'appât du gain ; il ne doit pas prendre parti « pour l'accusé ou pour l'accusateur, pour l'appelant ou pour ...