La lettre
Lettre de l'alphabet arabe, qui n'appartient pas aux 28 communément admises. La lettre se boucle comme un ه (ou ـه ), mais sa valeur est un ت tâ, marqué par les deux points. Elle n'apparaît qu'en finale de mot, pour transcrire le suffixe ـة tāʾ marbūṭa.
Le Tanwine: est l'action d'ajouter une deuxième voyelle à la fin d'un nom, ce redoublement de voyelle nous permet de savoir que le nom est indéfini. Le Tanwien se traduit par l'ajout d'un son “ne” à la fin du nom.
Le ʾalif maqṣūra est une lettre de l'alphabet arabe utilisée dans l'écriture de l'arabe comme variante du ʾalif en fin de mot et comme lettre à part entière dans l'écriture du kazakh, du kirghize, du chleuh et de l'ouïghour.
Nom commun. Dans l'alphabet arabe, signe diacritique "ـْ" représentant l'absence de voyelle après un graphème, c'est-à-dire une lettre scriptée.
Chadda : signe diacritique suscrit de l'alphabet arabe "ـّ", servant à faire l'économie d'une consonne géminée. C'est-à-dire quand deux consonnes identiques se suivent, on place la chadda au-dessus d'une des consonnes, tandis que l'autre n'est pas écrite.
Les voyelles en arabe se nomment les harakats (حَرَكَات).
Les quatre voyelles arabes sont les suivantes : fat-ha, damma, kasra et soukoun. La voyelle fat-ha donne à l'oral le son « è ». La kasra rend le son oral « i », tandis que la damma se prononce « ou ».
Cette double voyelle de fin de mot s'appelle en arabe « Tanwine« . Le tanwine permet notamment de définir la détermination des noms. Elle indique s'il s'agit d'un nom défini ou indéfini.
Mais que faut-il dire pour être correct? Selon le Trésor de la langue française, l'ananas viendrait du tupi-guarani (langue amérindienne) naná, ananá signifiant «parfumé». Si l'on se fie donc à l'origine du nom du fruit, et plus précisément à sa finale, l'exacte prononciation du mot ananas est «anana».
Généralement, on prononce Spritzzzz dans le Sud (façon cigale qui chante entre les dents), alors qu'on dit plutôt Schhpritz dans le Nord (façon fricadelle coincée entre la langue et le palais).
Ce terme est écrit aussi, mais plus rarement, « zeubi ». Se prononce : zé- zeu- -zo ou zbi. Traduction : « ma bite ».
Par ailleurs, six lettres (و ز ر ذ د ا) ne s'attachent jamais à la lettre suivante, de sorte qu'un mot peut être entrecoupé d'une ou plusieurs espaces.
Tout d'abord, il faut savoir que la langue arabe s'écrit et se lit de droite à gauche. Ceci peut paraitre déstabilisant, mais avec le temps on s'y fait et ça devient naturel.
"كَلْبٌ" (kalbon) #arabe #arabic #apprendrearabe #learnarabic #languearabe #arabiclanguage #culture #learningarabic #edtech | By Arabigo | Facebook.
Les lettres suivantes n'existent pas dans l'alphabet arabe: La Lettre P qui est souvent remplacée par un B par exemple papa est synonyme de baba en arabe. le V est facile à prononcer par tout les arabophones mais en phonétique il est remplacer par la lettre (ف) => F.
Fāʾ (en arabe فاء, fāʾ, ou simplement ف) est la 20e lettre de l'alphabet arabe.
En arabe, cela s'écrira par un symbole appelé Chedda ( ّ ) ce symbole s'inscrit uniquement au dessus de la lettre arabe. Généralement placée en dessous de la voyelle courte, dans le cas de la kasra, la chedda s'écrit au dessus de la lettre et la kasra sous la chedda (et pas en dessous de la lettre arabe).
La « chedda »
La chedda est toujours accompagnée d'une voyelle brève. Voici la règle de prononciation : on prononce la consonne comme si elle était accompagnée d'une soukoun, puis on prononce encore une fois la consonne en lui ajoutant la voyelle brève qui accompagne la chedda.
La hamza (en arabe هَمْزَة) est un signe de l'alphabet arabe qui note le « coup de glotte » [ʔ].