Pour accorder correctement le verbe qui suit le pronom relatif « qui », reportez-vous au mot que « qui » reprend (son antécédent) : c'est avec lui qu'il faut accorder le verbe, en nombre et en personne.
Pour accorder le verbe avec le pronom qui, on doit : trouver le nom ou le pronom que le qui remplace; trouver le nombre (singulier ou pluriel) de ce nom ou ce pronom; accorder le verbe selon le nombre de ce nom ou ce pronom.
La règle générale d'accord du verbe dont le sujet est le pronom relatif qui est simple : le verbe de la subordonnée relative introduite par qui s'accorde avec l'antécédent de ce pronom; on aura ainsi : il connaissait bien la femme qui arrivait ou moi qui suis tellement timide, j'ai osé lui parler.
Après : c'est moi, c'est toi, c'est lui qui..., le verbe s'accorde avec le pronom moi (je), toi (tu), lui (il), etc. À retenir : C'est moi qui = je, c'est toi qui = tu, c'est lui/elle qui = il/elle, c'est nous qui = nous, c'est vous qui = vous, ce sont eux qui = ils.
Le participe passé est toujours invariable lorsqu'il est précédé de "que" et suivi du pronom relatif "qui". Dans cette construction, l'objet direct est la proposition relative complète avec son sujet, auquel renvoie "qui".
'Qui', pronom relatif sujet, prend le genre et le nombre du mot qu'il remplace. Le verbe de la relative s'accorde avec lui. Exemple : Toi qui obtiens les meilleures notes tu dois être fier. Qui, mis pour 'toi' : obtenir est à la 2° personne du singulier.
m'ont : pronom personnel me (e élidé devant une voyelle) suivi d'une forme du verbe avoir à la 3e personne du pluriel. m' est complément direct : « Tes chiens m'ont poursuivi », ou complément indirect du verbe : « Ces livres m'ont appartenu ». On peut le remplacer par m'avaient. Elles m'ont téléphoné.
« Il a mis » est la forme correcte de la conjugaison du verbe « mettre » à la 3e personne du singulier au passé composé de l'indicatif. Elle est obtenue par la combinaison de l'auxiliaire « avoir » au présent et du participe passé du verbe conjugué : « mis ».
L'accord se fait le plus souvent au pluriel si on veut insister sur la pluralité, ce qui est le cas le plus fréquent; qui remplace alors le nom ou le pronom pluriel qui le précède. Cette candidate possède l'un des meilleurs dossiers qui ont été présentés.
Ainsi, si m' désigne un homme, l'accord se fait au masculin et on écrit aidé . Si m' désigne une femme, on accorde aidée au féminin, donc en ajoutant un e à la fin : elles m'ont aidée .
Il est bien rare de croiser cette expression correctement orthographiée. Parmi les erreurs courantes : "moi qui ais", "moi qui ait" ou pire (car on emploie le verbe être au lieu d'avoir !) "moi qui es", "moi qui est". Or, la seule orthographe valable est "moi qui ai".
Tout d'abord, pour vous éviter bien des erreurs, sachez que la forme exacte est « c'est toi qui fais ». Tous les verbes placés derrière le pronom relatif « qui » s'accordent en genre et en nombre avec son antécédent. Ici, l'antécédent est toi. Le toi reflète le tu.
On écrit « c'est moi qui l'ai fait » / « c'est moi qui fais » Règle : lorsqu'un verbe est précédé du pronom relatif « qui », alors il faut chercher à quoi se rapporte « qui » (quel est son antécédent ?) et conjuguer en conséquence.
En règle générale, le verbe s'accorde avec son sujet. On peut le repérer en posant la question : "Qui est-ce qui ?" ou "Qu'est-ce qui ?". Dans le cas où il y a plusieurs sujets, on considère qu'il s'agit d'un pluriel. Pour le genre, désolé mesdames, mais le masculin l'emporte.
Les adjectifs qui se terminent par -eux au masculin, se terminent en -se au féminin. Les adjectifs qui se terminent par -er au masculin, se terminent en -ère au féminin. Les adjectifs qui se terminent par -et au masculin, se terminent en -tte au féminin.
Les verbes pronominaux suivants n'ont jamais de C.O.D. ; ils sont donc toujours invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se sourire, se succéder, se ressembler, se parler, se nuire, se survivre, se suffire, se convenir.
Sept noms font exception à cette règle et ont un pluriel en -aux : bail, corail, émail, soupirail, travail, vantail et vitrail. Au pluriel, ces noms s'écrivent donc : des baux, des coraux, des émaux, des soupiraux, des travaux, des vantaux et des vitraux.
En français, la règle générale pour la formation du pluriel d'un nom ou d'un adjectif est de rajouter un s à la fin du mot. Les exceptions concernent les mots finissant par : -s, -x, -z, -al, -ail, -ou, -eau, -au, -eu, -œuf et -os.
Mets/met. : verbe mettre au présent de l'indicatif à la 1re personne ou à la 2e personne du singulier (mets) ou à la 3e personne du singulier (met), ou encore, à l'impératif, présent, 2e personne du singulier (mets). Exemple :Elle met en ordre ce que tu mets en désordre.
Quand écrire « elle m'a informée » ? Lorsque le pronom m' représente une femme, le participe passé du verbe informer, conjugué au passé composé, s'accorde au féminin. Exemple : Elle m'a informée de votre venue.
Dans la phrase «il m'a mise au courant», on va se demander «il a mis au courant qui?» Le «m'» constitue donc ici un COD. On pourra donc faire l'accord. La phrase correcte est: «Il m'a mise au courant».
Comment écrire et accorder le mot permis dans une phrase qui contient ces mots ? Met-on un s ou un t à la fin ? On écrit elle m'a permis , avec un s .
Ce participe passé permis reste invariable. Exemples : Elles m'ont permis de me reposer une heure. Elles m'ont permis la réalisation de mon projet.
“ma” est un « déterminant possessif ». On le trouve devant un nom féminin et singulier. “m'a” est constitué d'un pronom personnel (m apostrophe, mis pour moi), accompagné du verbe avoir conjugué à l'indicatif présent et à la 3e personne du singulier.