Le risque d'avoir un jour un cancer de la vessie augmente avec l'âge. Ce type de cancer se manifeste habituellement chez les personnes âgées de plus de 65 ans. Le cancer de la vessie est plus fréquent chez les Blancs, et les hommes en sont plus souvent atteints que les femmes.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
Bien pris en charge avec un protocole adapté et proposant différents traitements du cancer de la vessie, la maladie présente un taux de survie à 5 ans très bon puisqu'il atteint 80 à 90 % (cancer de vessie non invasif).
Sans traitement, la tumeur va se développer dans la paroi de la vessie et ensuite envahir les organes voisins de la vessie : ganglions, prostate, vésicules séminales, utérus, trompes de Fallope, ovaire, etc. Des cellules cancéreuses vont migrer dans la circulation sanguine jusqu'au foie, aux poumons, au cerveau, etc.
Les facteurs de risque de cancer de la vessie sont les suivants : le tabac, deux ensembles de substances chimiques, les amines aromatiques et les hydrocarbures aromatiques polycycliques, certaines infections, certains traitements, des produits présents dans l'eau de boisson.
Fumer du tabac
Le tabac sous toutes ses formes – cigarettes, cigares, pipes et tabac sans fumée – accroît votre risque. Plus vous fumez et plus vous fumez longtemps, plus votre risque est élevé. Après que vous avez cessé de fumer, le risque d'avoir un cancer de la vessie diminue avec le temps.
Le symptôme principal est la présence de sang dans les urines en fin de miction (hématurie) : ce sont les dernières gouttes d'urine qui seront teintées de sang. Le polype peut aussi se manifester par des brûlures en urinant ou par des envies douloureuses d'uriner.
La chirurgie est le principal traitement du cancer de la vessie. Une chimiothérapie et/ou une radiothérapie viennent parfois compléter le traitement chirurgical.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Une simple prise de sang devra bientôt permettre de suivre les personnes souffrant d'un cancer de la vessie, de connaître la progression de leur tumeur et de prédire le risque de rechute. L'examen consiste à mesurer le taux de certaines cellules du système immunitaire (les lymphocytes CD8+ ILT2+).
Il est donc possible de vivre normalement. En termes de qualité de vie, la néo-vessie et le Bricker ont montré des résultats similaires sur le long terme. « Plusieurs études ont été réalisées pour comprendre le ressenti des patients en fonction des techniques de dérivation urinaire utilisées.
Un cancer de la vessie de haut grade risque davantage de se propager et d'engendrer un pronostic plus sombre.
Survie nette
Cela signifie qu'en moyenne, environ 77 % des personnes ayant reçu un diagnostic de cancer de la vessie vivront au moins 5 ans.
C'est le patient qui doit consciemment contracter ses muscles abdominaux pour uriner. Dans les premiers temps post-chirurgicaux, pour éviter les fuites d'urine, les mictions doivent être régulières et rapprochées. La nuit, les réveils sont nécessaires pour éviter les accidents.
« Les polypes bénins dans la vessie sont très rares. Il se peut en revanche que la tumeur soit superficielle (qu'elle n'envahisse pas le muscle de la vessie), mais cela reste un cancer et nécessite un traitement et un suivi ».
La cause principale des tumeurs de vessie est le tabac. Mais des personnes n'ayant jamais fumé peuvent développer une tumeur ou un polype de la vessie. Certaines tumeurs de vessie sont favorisées par l'exposition prolongée à des substances chimiques : certains colorants industriels, certains hydrocarbures.
La tumeur non cancéreuse (bénigne) de la vessie est une masse qui prend naissance dans le revêtement ou d'autres tissus de la vessie. L'affection non cancéreuse de la vessie est un changement subi par les cellules de la vessie.
Cette intervention est simple mais elle doit être réalisée avec soin et précaution. Il s'agit d'une intervention par les voies naturelles, le résecteur qui est l'appareil permettant d'enlever la tumeur est introduit par l'urètre sous anesthésie générale ou péridurale.
En cas de troubles urinaires, il ne faudra pas hésiter à incorporer des minéraux tels que le magnésium et le zinc à votre alimentation pour leurs propriétés antioxydantes.
Le café, le thé ainsi que les sodas sont donc fortement déconseillés. Mieux vaut vous détourner des boissons diurétiques (cela signifie qu'elles font uriner plus fréquemment) comme le vin blanc, la bière ou certaines tisanes telles que le pissenlit ou l'ortie .
La consommation de caféine, équivalente à deux tasses de cafés par jour, est significativement associée à une incontinence urinaire chez l'homme comme chez la femme1-3.
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La cranberry possède des propriétés antiadhésives: ses proanthocyanidines, de la famille des antioxydants, inhibent le côté "Velcro" de la paroi urinaire. Cela empêche les bactéries nocives de s'accrocher, en premier lieu "Escherichia coli" qui, en excès, provoque des cystites à répétition.
Riches en eau, le thé et les tisanes augmentent l'apport en eau du corps, ce qui provoque une plus grande production d'urine.