C'est habituellement vers 3 ou 4 ans que les questions sur la mort apparaissent. L'enfant cherche à comprendre le monde. Il pose des questions à partir de ce qu'il voit et de ce qu'il vit (ex. : « Pourquoi l'oiseau sur le gazon ne bouge plus? » ou « Pourquoi notre chat est mort? »).
Parler de la mort aux enfants est utile pour leur construction psychique et leur développement et pour les deuils qu'inévitablement ils auront à faire dans leur vie. Il ne faut pas attendre un drame éventuel (mort d'un des parents, d'un petit copain…).
C'est un signe de maturité psychologique : on quitte l'enfance, on accède à l'âge adulte lorsqu'on réalise que la mort fait partie de la vie. L'angoisse de mort existentielle est donc normale tant qu'elle ne perturbe pas la vie quotidienne.
Par courrier, avis de décès, cartes de décès, faire-part et réseaux sociaux. L'avis de décès dans la presse locale, régionale ou nationale est un moyen habituel pour faire connaitre le décès d'un proche. Cela permet notamment de communiquer sur l'heure et le lieu de la cérémonie.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
Les psychologues s'accordent à dire qu'il n'y a pas vraiment d'âge pour assister à l'enterrement d'une personne proche. Même si l'enfant n'est pas en âge de raisonner ou de se souvenir de ce rituel, c'est un moment essentiel de son processus de deuil.
Elle peut aussi voir des choses que les autres ne voient pas ou bien leur parler (hallucinations). Elle peut essayer de sortir de son lit ou bouger davantage quand elle est couchée. Elle peut modifier complètement son cycle de sommeil et ainsi dormir le jour et rester éveillée la nuit.
- « Après la mort, nous devenons successivement les habitants de la Lune, de Mercure, de Vénus, du Soleil, de Mars, de Jupiter et de Saturne, puis du firmament stellaire, pour ensuite nous contracter et nous réincarner » ; L'oubli s'installe, avec la réincarnation.
Pour le rassurer, mentionnez-lui qu'il est possible de penser aux bons moments passés avec la personne décédée et que cela fait du bien. Quand vous parlez de la mort à votre enfant, abordez le sujet avec tact et sensibilité. Soyez aussi ouvert et franc que possible et laissez votre enfant mener la conversation.
Le sujet de la mort ne devrait pas être un tabou. A l'origine ce mot désigne les sujets que la religion interdisait d'aborder car elle les considérait comme sacrés ou impurs puis par extension le mot désigne tous les sujets que nous évitons d'aborder par crainte et/ou par pudeur.
Trouvez un endroit calme et relaxez-vous par exemple en méditant. Imaginez le défunt proche de vous, comme s'il était la à côté de vous. Parlez-lui comme vous parleriez à un proche et qu'il vous écoutait. Ressentez sa présence en vous à travers les émotions qui vous traversent.
Lorsque l'enfant sera confronté au décès d'un proche, dites-lui la vérité et expliquez-lui ce que vous savez avec authenticité et des mots simples. Il est préférable d'expliquer la mort avec des mots de la réalité. Employez les mots vrais comme « il est mort », « il avait un cancer qui est une maladie très grave »,…
Autre point plus subtil, c'est que votre fils a un âge critique où il va véritablement penser par lui-même et avoir ses propres opinions. C'est-à-dire que c'est encore une étape de séparation psychique et que cela réactive encore une fois les angoisses de séparation… pour la mère !
"On recommandera particulièrement les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) pour analyser progressivement ses comportements, ses pensées et ses émotions afin d'objectiver sa peur, les thérapies analytiques pour verbaliser sa peur, ou l'hypnose pour comprendre l'origine de la peur", conseille la psychologue.
Le cœur, qui est pour sa part autonome, continue de battre un moment, jusqu'à ce que le manque d'oxygène ait raison de lui et que l'arrêt cardiaque survienne. «Pour les médecins, la mort est la cessation irréversible de toutes les activités du cerveau, précise Éric Racine.
La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil). Cet article montre que la durée de quarante jours n'est pas choisie au hasard, elle correspond à des considérations psychologiques et médicales.
Ce phénomène n'incommode pas la personne, car elle est inconsciente. À l'approche de la mort, bien des gens montrent des signes de confusion et d'agitation. Certains perdent connaissance ou cessent de réagir à ce qui se passe autour d'eux.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
Le corps :
Les yeux restent mi-ouverts et le regard est fixe, la personne semble ne plus voir. Cependant, comme il est écrit précédemment, le sens de l'ouïe étant le dernier à quitter le corps, la personne mourante peut encore entendre ce que l'on dit mais ne peut répondre en raison de sa faiblesse.
La toilette mortuaire consiste à laver le corps, maintenir la bouche et les yeux fermés, coiffer et habiller le défunt avec les vêtements choisi par ses proches. Elle est effectuée par le personnel de la chambre mortuaire si le corps séjourne à l'hôpital, ou par le personnel des pompes funèbres.
Un business lucratif et opaque. Après la crémation des défunts, les restes sont pulvérisés, pour ne remettre que des cendres aux familles. Mais tout ne brûle pas. Prothèses en titane, dents en or, stérilets en cuivre… Autant de métaux qui ne peuvent être jetés.
Ce qui est primordial dans cette rencontre avec le corps du défunt, ce n'est pas de le « voir » comme pour faire un constat médical, mais de venir saluer sa dépouille, se recueillir auprès de ce corps aimé, investi, avec lequel nous avons partagé une histoire.
La mort ne concerne que le vivant, elle est à la fois le contraire de la vie et le signe de la vie (seul ce qui vit meurt). Cette affirmation n'est cependant pas tout à fait exacte : la biologie nous apprend que les êtres unicellulaires se reproduisent par scission, indéfiniment : ils sont potentiellement immortels.