Médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris l'aspirine et le paracétamol (acétaminophène), prescrits à des personnes suivant un traitement au méthotrexate pour soigner une arthrite inflammatoire.
Les corticoïdes sont des substances anti-inflammatoires de la famille de la cortisone. Ils ont un intérêt majeur au cours de la polyarthrite rhumatoïde. À faible dose, ils sont prescrits lors des premiers mois de la maladie pour soulager les symptômes rapidement et efficacement (plus efficacement qu'avec les AINS).
Son effet anti-inflammatoire et modulateur de la réponse immunitaire est aussi utilisé contre l'inflammation chronique de la peau présente dans le psoriasis.
Enfin, la substance la plus conseillée est le paracétamol puisqu'il présente «le meilleur rapport bénéfice/risque». Le magazine rapporte que les marques Dafalgan et Doliprane 500 et 1 000 mg sont les produits les moins dangereux et les plus efficaces.
Non, il n'y a pas lieu d'associer un AINS et du paracétamol. De la même façon, il ne faut jamais associer deux AINS. Si la douleur ou la fièvre persistent après la prise de l'un ou de l'autre, il faut consulter son médecin traitant qui cherchera la cause du problème pour donner le traitement nécessaire.
La chaleur. Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire.
Les patients atteints d'arthrite inflammatoire doivent connaître les risques liés à l'uvéite. Bien que l'uvéite ne soit pas causée par le soleil, le soleil ou toute lumière vive aggrave la douleur et la sensibilité à la lumière et crée un sentiment d'inconfort au niveau des yeux.
La sulfasalazine peut être prescrite à la place ou en complément du méthotrexate. Elle est administrée en doses progressivement croissantes. Les effets indésirables de la sulfasalazine sont surtout digestifs : nausées et digestion difficile.
Il est préconisé une augmentation de dose de 5 mg toutes les deux à quatre semaines jusqu'à 20-25 mg/semaine, selon l'efficacité et la tolérance en prenant en compte les caractéristiques du patient. En cas de réponse insuffisante ou d'intolérance, le passage à la voie parentérale peut être envisagé(2).
Numération globulaire : le méthotrexate peut entraîner une diminution du nombre de globules blancs, de globules rouges et de plaquettes sanguines, surtout quand de plus fortes doses sont employées contre un cancer. Il pourrait s'ensuivre un risque accru de saignement ou d'infections.
Le méthotrexate est le traitement de fond le plus utilisé dans la Polyarthrite Rhumatoïde (PR) depuis plus de 30 ans.
Méthotrexate® peut occasionner de la fatigue le jour et le lendemain de la prise. Si vous êtes dans ce cas, vous pouvez choisir le moment le plus adéquat pour prendre votre médicament, par exemple le week-end, ou bien prendre le médicament le soir.
Le méthotrexate est un type de chimiothérapie. Il fonctionne en ralentissant ou en arrêtant la croissance des cellules. Ce médicament peut être administré à la clinique, à l'hôpital ou à domicile. La fréquence et la dose dépendent du type de cancer, de l'âge de l'enfant et de la méthode d'administration.
La cause précise de la polyarthrite rhumatoïde n'est pas connue. Un ensemble de facteurs semblent intervenir dans le déclenchement de la pathologie. Un terrain génétique prédisposé pourrait favoriser la maladie. Parmi les facteurs environnementaux incriminés, le tabagisme est un facteur de risque.
La thérapie par le froid peut aider à réduire la douleur, l'inflammation et l'enflure. Elle peut aussi s'avérer particulièrement utile durant les poussées, lorsque vos articulations sont chaudes et enflées.
Chez les personnes atteintes de goutte (une forme d'arthrite), la réduction de la consommation d'alcool, de sel, de sucre, de mollusques et crustacés, de viande rouge et d'aliments à haute teneur en fructose (comme les bananes et les ananas) pourrait contribuer à réduire le risque de poussée et de lente détérioration ...
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
On classe les médicaments antidouleur, appelés antalgiques, selon l'intensité douloureuse qu'ils sont censés soulager : les médicaments du palier 1 sont utilisés pour traiter des douleurs d'intensité faible : ce sont par exemple le paracétamol, l'aspirine ou les anti-inflammatoires classiques.
Trois familles d'antidouleurs sont disponibles sans ordonnance : Les dérivés du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…) Les dérives de l'acide acétylsalicylique (Aspirine, Aspégic…) Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (Advil, Nurofène, Voltarène…)
Il est déconseillé de combiner ce médicament avec un autre anti-inflammatoire. Vérifiez soigneusement la présence d'ibuprofène (Advil, Motrin), de naproxène (Aleve), ou de diclofénac (Voltaren Emulgel) sur les étiquettes de médicaments.
Dans les douleurs neuropathiques localisées, des traitements topiques, en général très bien tolérés, peuvent aussi être utilisés. Il s'agit soit d'un emplâtre médicamenteux d'anesthésique local (lidocaïne, VERSATIS) ou d'un patch cutané de capsaïcine, molécule du piment rouge (QUTENZA).