Le cotonnier (Gossypium), l'arbre à coton ou "coton pays" est bien l'arbuste touffu ou la plante vivace tropicale, selon les espèces, qui produit ces boules fibreuses qui nous servent pour désinfecter un bobo ou qui peuvent aussi être transformées en matière textile.
Chez le peuplier, les arbres sont soit mâles ou femelles. Les individus mâles produisent le pollen qui, transporté par le vent, pollinise les fleurs des arbres femelles. De cette union naît la graine. C'est cette petite graine de peuplier attachée à son « coton » que vous apercevez tombant du ciel!
Depuis quelques jours, un manteau blanc végétal recouvre certains secteurs de Valdivienne. Le responsable, le peuplier, est un arbre particulièrement bien chargé de semences enveloppées d'une bourre cotonneuse qui leur permet de se disperser au gré du vent et des cours d'eau.
Le bouleau - (Betula pendula ou Betula pubescens)
Le bouleau, de la famille des bétulacées comme l'aulne, le noisetier et le charme, est un arbre pouvant atteindre 25 mètres de hauteur. On le retrouve dans les plaines, en montagne, dans les jardins et les parcs…
Étymologie. (1160) Pouplier, poplier, dérivé avec le suffixe -ier de l'ancien français pople (« peuple ») (XV e siècle), du latin pŏpŭlus (« peuple »), du fait de la plantation de nombreux peupliers par les Romains dans les lieux publics.
La peupleraie est très développée en France, notamment dans les régions riches en zones humides et au nord de Paris (Picardie, Nord Pas-de-Calais).
La rhinite allergique est en constante augmentation. Sa prévalence a ainsi été multipliée par 2 en dix ans et par plus de 10 en cinquante ans. Les arbres au pollen anémophile (c'est-à-dire dispersés par le vent) sont ainsi les plus allergisants.
Lorsque l'arbre est placé bien au chaud en intérieur, ces micro-organismes se développent et colonisent la pièce grâce à leurs spores. Ce sont eux qui peuvent être responsables du syndrome dit «du sapin de Noël». Comme un rhume des foins en plein hiver. Plus le sapin reste dans la pièce et plus la moisissure se répand.
1. Le saule marsault. Selon les régions, le saule marsault (Salix caprea) fleurit de février à avril. Appelé aussi saule des chèvres, cet arbre précoce est parmi les premiers à produire du pollen dans l'année.
Le pollen des bouleaux (Betula), des peupliers (Populus), des frênes (Fraxinus) et de la plupart des érables (Acer), par contre, provoque une réaction très forte chez la plupart des gens souffrant d'allergie saisonnière.
Symbole du Peuplier
Suivant la Tradition européenne, cet arbre est attaché à l'Autre Monde, à la vie cyclique des âmes, c'est l'arbre de la mélancolie, du souvenir des êtres disparus... Tant dis que pour les druides, le peuplier symbolisait le vieil âge de l'homme en raison de ses feuilles blanches.
Fruit : capsule formant des chapelets, contenant des graines cotonneuses. Taille de 25 à 30 m (pour le peuplier noir) à feuilles caduques. Il a la particularité d'exsuder presque 100% de l'eau qu'il absorbe.
L'allergène principal contenu dans le pollen de tilleul est la polcalcine. Les personnes allergiques au tilleul ont une allergie croisée avec d'autres pollens comme l'armoise, l'aulne, le genévrier et le platane, mais aussi avec des graminées comme la phléole.
Certains arbres sont souvent suspectés d'être allergisants, le plus souvent à tort. Ainsi, le mimosa qui fleurit dans la région niçoise, en même temps que le cyprès, n'est que la partie découverte de l'iceberg. Le célèbre mimosa "inonde" les yeux et le nez de ses fleurs jaunes et parfumées, mais non de ses pollens.
Le risque d'allergie pour les pollens de graminées sera moyen à élevé selon les départements ", indique le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA), dans un communiqué mis à jour le 24 juin 2022. Les journées avec des températures élevées favorisent l'émission et la dispersion des pollens dans l'air.
Ces affections sont répandues dans toute l'aire de distribution du sapin. La rouille-balai de sorcière est orangée, tandis que les rouilles des aiguilles sont soit orangées, telles Pucciniastrum spp. et Melampsora spp., soit blanches, telles Uredinopsis spp.
Des acariens aux pollens
En février-mars, c'est au tour du bouleau, du noisetier, du frêne, de l'aulne ou du peuplier. « A cette saison, les manifestations de rhinite allergique sont souvent confondues avec celles d'un rhume d'origine virale.
Thuyas, lauriers, fusains ou encore bambous, ces espèces persistantes vous protégeront des regards indiscrets tout au long de l'année. Pour vous cacher du vis-à-vis, pensez à bien choisir des arbres, plantes et arbustes à feuilles persistantes, c'est-à-dire qui ne perdent pas leur feuillage en automne ou en hiver.
Picotements, démangeaisons, larmoiements et rougeurs aux yeux. Éternuements, nez bouché, sinus encombrés, perte d'odorat et de goût, écoulements nasaux et, dans certains cas, démangeaisons à l'arrière de la bouche et dans la gorge.
Si vos peupliers n'ont jamais subi d'élagage ou d'étêtage, et s'ils sont en bonne santé, ils présentent très peu de risque de chute, même en cas de tempête.
Le peuplier, tous cultivars confondus, atteint une moyenne de 48 €/m³.
La France est en passe de faire face à une pénurie de peupliers, l'arbre dont est issue la matière pour fabriquer notamment l'emballage du camembert.