Imaginons un vol dont le coût du billet est de 200 € et qu'en cas de surbooking, la compagnie le dédommage à hauteur de 800 €. Si la compagnie vend 103 billets alors, elle aura empoché 20 600 €. Si seulement 100 personnes ou moins se présentent, c'est bien joué. Elle aura vendu 3 billets en plus, soit un gain de 600 €.
On évalue de même la probabilité que 105 passagers se présentent (106 x 0,9105 x 0,1), etc. En ajoutant les probabilités de présence de 101 à 106 personnes, on obtient un risque de devoir refuser un passager égal à 4 %. Dans ce cas, la compagnie aérienne doit dédommager le passager mais le jeu en vaut la chandelle !
Le “surbooking” ou la “surréservation” en français est une pratique consistant à vendre plus de billets que de places disponibles dans l'avion. Cette pratique des compagnies aériennes vise à anticiper les désistements. Ainsi, les compagnies maximisent leurs chances de voyager à plein.
Les billets achetés à l'avance deviennent alors des « options de vol » ; à la date du vol, certains passagers choisiront de s'enregistrer tandis que d'autres céderont leurs sièges en échange d'une compensation versée par la compagnie aérienne.
Pour éviter que les avions décollent ainsi avec des places vides les compagnies aériennes ont décidé de vendre plus de billet qu'il n'y a de place dans leurs avions : c'est ce qu'on appelle la surréservation et ont eu l'idée d'utiliser la loi binomiale pour quantifier le risque pris d'avoir des passagers sans siège qu' ...
United Airlines a fait ce que l'on appelle communément du surbooking (ou "surréservation" dans la langue de Molière) et qui peut effectivement amener à refuser l'embarquement à des passagers qui ont pourtant bel et bien payé un billet pour le vol en question.
Quand vous achetez un billet d'avion la compagnie a un devoir de moyen. Elle s'engage à vous acheminer jusqu'à votre lieu de séjour, elle est donc dans l'obligation de le faire. Le surbooking ne la soustrait pas à cette obligation et elle doit en plus de vous acheminer vous dédommager.
Le surbooking est une pratique commerciale courante dans le secteur du transport aérien. Il s'agit de la vente d'un nombre de places supérieur au nombre de sièges disponibles dans l'avion. Cette pratique est possible grâce à la réglementation qui permet aux compagnies aériennes de surcharger les avions de 10 %.
Pour éviter que les avions décollent ainsi avec des places vides les compagnies aériennes ont décidé de vendre plus de billet qu'il n'y a de place dans leurs avions : c'est ce qu'on appelle la surréservation et ont eu l'idée d'utiliser la loi binomiale pour quantifier le risque pris d'avoir des passagers sans siège qu' ...
Il arrive parfois qu'un passager aérien en règle se heurte à un refus d'embarquement. Au moment d'entrer dans l'avion, un employé l'empêche de monter en lui affirmant que le vol est complet ou qu'il n'y a pas assez de personnel à bord pour gérer la totalité des passagers. Il s'agit d'un vol surbooké.
La destination, la date et l'horaire du vol, les aéroports de départ et d'arrivée ou la compagnie aérienne avec laquelle les passagers voyagent sont autant d'éléments permettant de fixer le prix d'un billet d'avion. Le tarif d'un vol est susceptible de changer de façon considérable et ce, pour différentes raisons.
Les mathématiques permettent de rendre cette expérience de lancers de dés en partie prévisible en dévoilant qu'un dé donne deux fois plus de chances de gagner qu'un autre. Ce qui permet de choisir « raisonnablement » son dé plutôt que de se fier au simple hasard.
Les compagnies aériennes low-cost se débarrassent des charges superflues diminuant ainsi le coût de revient et donc le prix du billet. Internet est privilégié comme voie de distribution (pas de frais d'agence, pas de frais liés au système informatique) avec le billet électronique (pas de frais de dossier).
Ainsi pour éviter qu'un avion ne décolle avec plusieurs sièges inoccupés, la compagnie prend le risque de vendre plus de billets qu'il n'y a de sièges dans l'avion, avec le risque de devoir dédommager les passagers qui se verraient refuser l'accès à bord.
En cas de surbooking d'avions, vous pouvez prétendre aux droits d'indemnisation allant de 250€ à 600€ si la compagnie aérienne vous refuse l'embarquement contre votre gré. Dès lors que vous avez été informé du surbooking, vous avez le droit de réclamer des boissons et collations.
Le surbooking provient du “yield management », une stratégie de management apparue aux États-Unis en 1978, permettant à des compagnies aériennes nouvellement créées de proposer des tarifs défiant toute concurrence.
Cela permet à la compagnie de remplir l'avion même en cas de désistement de passagers. Si aucun passager ne se désiste, la compagnie peut refuser de vous embarquer. Cette pratique n'est pas interdite, mais la compagnie doit vous indemniser.
S'il est conseillé de se présenter en avance à l'aéroport, c'est d'abord pour anticiper les éventuels retards. Décaler un vol coûte très cher à la compagnie aérienne et fixer l'heure d'arrivée 2h avant le départ officiel permet de réduire considérablement le nombre de « vrais » retardataires.
Sujets Grand Oral mathématiques
Comment le raisonnement par récurrence a-t-il évolué au fil des siècles ? Par quelles méthodes peut-on donner une approximation d'un nombre réel en utilisant les suites ? Comment l'équation logistique permet-elle de modéliser l'évolution d'une population ?
Surréservation : qu'est-ce que c'est ? Le surbooking (ou surréservation) est une pratique autorisée qui consiste pour une compagnie aérienne à vendre plus de billets que de places disponibles.
La trajectoire que va suivre la sonde est un arc de cercle, dont l'une des extrémités touche la Terre, tandis que l'autre atteint Mars. Cette orbite de transfert décrit autour du soleil un parcours qui est calculé précisément par les scientifiques impliqués dans la mission.
On considère aujourd'hui qu'en moyenne pour qu'un avion soit rentable, il doit voler au minimum 300 heures par an. Or, les chiffres montrent qu'aujourd'hui les avions privés en France ne volent en moyenne que 50 heures chaque année : 6 fois moins que nécessaire !
Une fois à l'aéroport, mauvaise nouvelle, vous apprenez que votre vol est annulé, retardé ou surbooké ? Nous vous recommandons vivement de vous tourner immédiatement vers le personnel de la compagnie aérienne afin qu'il vous délivre une attestation prouvant cette annulation, ce retard ou ce surbooking.
Pour vérifier le statut de votre vol, vous pouvez utiliser des applications de suivi de vol ou vous rendre directement sur le site de l'aéroport/de la compagnie aérienne.