Chez la femme, trois cancers sont responsables du plus grand nombre de décès par cancer : sein (12 000), poumon (10 000) et colorectal (8 000). L'évolution de la mortalité (taux standardisé) par cancer entre 1990 et 2018 est marquée par une diminution dans les deux sexes, plus prononcée chez les hommes.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Chez la femme, le cancer du sein est toujours le plus mortel, suivi de près par le cancer du poumon et le cancer colorectal. Chez l'homme, le cancer du poumon est le plus mortel devant les cancers colorectaux et de la prostate. le cancer de la prostate, avec près de 50 000 nouveaux cas chaque année en France.
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent en France et représente la première cause de décès par cancer chez la femme. Il fait l'objet d'un programme national de dépistage organisé afin d'être détecté précocement et d'en réduire la mortalité.
Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de décès chez les femmes. Parmi les cancers, ceux du col de l'utérus et du sein sont les plus fréquents et le cancer du poumon est le plus meurtrier.
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
Les quatre causes de mortalité les plus fréquentes (tumeurs, maladies de l'appareil circulatoire, maladies de l'appareil respiratoire et morts violentes) totalisent les deux tiers (67,1 %) des décès.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Taux de survie compris entre 20 % et 80 % : Cancer du côlon-rectum, de la bouche et pharynx, de la vessie, du rein, de l'estomac, du col de l'utérus, des ovaires, du larynx, ainsi que lymphomes non hodgkiniens et les leucémies aiguës.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Le cancer foudroyant est une maladie qui se propage très rapidement. Certaines tumeurs comme au pancréas, au sein, au cerveau ou au poumon peuvent survenir foudroyants.
Les cancers rares que nous pouvons évoquer sont par exemple les sarcomes des tissus mous, de nombreux cancers pédiatriques et également certains cancers de l'ovaire.
Selon les données de l'INCa, les cancers les plus meurtriers chez l'homme sont : Le cancer du poumon avec 22 761 décès en 2018. Le cancer colorectal (9 209 décès). Le cancer de la prostate (8 115 décès).
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Une tumeur de stade 4
Le glioblastome est une tumeur de grade IV, à savoir la plus agressive et au pronostic le plus sombre.
Parmi les cancers considérés comme se soignant « bien » on retrouve ceux du sein, de la prostate, colorectal, de la thyroïde et de la peau. Entre 1989 et 2005, la survie est passée de 72 à 94 % pour les cancers de la prostate et de 80 à 87 % pour les cancers du sein.
Mais grâce aux progrès de la médecine et à des traitements de plus en plus performants, il est possible de guérir environ 60% des cancers. Le cancer des testicules, par exemple, est guérissable dans la toute grande majorité des cas. Par contre, d'autres tumeurs, plus agressives, restent difficiles à soigner.
Nous en avons désormais la certitude, tous les êtres multicellulaires animaux et végétaux sont porteurs de cancers.
Le cancer du sein, le plus fréquent
De plus, chaque année, environ 5 200 femmes développent un cancer des ovaires, 2 900 un cancer du col de l'utérus, 8 200 un cancer de l'endomètre (corps de l'utérus) et 7 600 un cancer de la peau (mélanome).
La Suisse moins touchée
Avec 92,48 morts dus au cancer pour 100'000 adultes, la Suisse se place au-dessous de la moyenne mondiale.
Peut-on en guérir ? "Dans des cas très exceptionnels, il est possible de guérir d'un cancer métastatique, mais cela reste très rare, précise l'experte. La maladie n'est pas curable mais traitable. On arrive à faire régresser les métastases et à contrôler la maladie pour éviter ses complications.
La deuxième cause de mort, une chance sur 7, un cancer. La première cause de mort, une chance sur 6, une maladie cardiaque.
Cela semble être le cas pour la déficience en ribose-5-phosphate isomerase, une maladie métabolique pour laquelle le seul patient connu est né en 1984, ce qui en fait virtuellement « la maladie la plus rare ».
le taux de survie nette à 5 ans pour le cancer du poumon est faible (22 %); le taux de survie nette à 5 ans pour le cancer colorectal est à peu près dans la moyenne (67 %); le taux de survie nette à 5 ans est élevé pour le cancer de la prostate (91 %) et le cancer du sein (89 %).