Jack et le haricot magique, le petit Poucet sont les contes les plus connus mettant en scène des ogres. Souvent repris, réécrits ou adaptés au cinéma, ces contes et la figure de l'ogre sont devenus des incontournables de la littérature de jeunesse.
L'ogre est un personnage traditionnel des contes qui se nourrit souvent de la chair fraîche d'une enfant. Un géant vorace à l'aspect effrayant. Ils ne sont rien d'autres que des géants bêtes, cruels, malpolis et ronfleurs.
Comment l'ogre est-il présenté? Son portrait physique : C'est souvent un homme fort, grand (taille hors du commun), parfois bedonnant, pouvu de mâchoires effrayantes avec des dents acérées. Parfois c'est une femme ( La belle au bois dormant) ou les enfants du couple (Le petit Poucet).
L'ogre est une figure de l'excès : il ne tue pas, il égorge (particulièrement les enfants), il ne mange pas de la viande, mais dévore la chair fraîche sans souci de cannibalisme.
L'Ogre a un sens de l'odorat particulièrement développé, il sent la présence des enfants. Cela relève d'un pouvoir quasi surnaturel et fait penser à un prédateur.
L'ogre était gros, colossal et immense. Il était poilu et bleu. Il avait de grandes oreilles et de grands pieds et au bout de chacun de se doigts il y avait de longs ongles épais et crochus. L'ogre n'avait qu'un œil, cet œil était rouge, rouge comme le feu.
Un ogre (du latin orcus, « enfer », fém. ogresse) est un personnage de contes et traditions populaires, sorte de géant se nourrissant de chair fraîche et dévorant les petits enfants.
ogresse n.f. Femme d'un ogre.
L'ogre est un monstre géant qui mange les enfants. Il se présente comme bête, méchant, cruel, sans pitié, féroce. Il se présente comme un personnage qui porte tous les défauts : il est le monstre que l'on s'attend à rencontrer.
L'ogre est un personnage gigantesque, effrayant, qui a généralement une barbe et des cheveux hirsutes, des mâchoires larges et puissantes et de grandes bottes. Il vit le plus souvent au fin fond des forêts et ne se déplace jamais sans son grand couteau.
Ogre. À l'âge adulte, il mesure entre 2,70 mètres et 3 mètres, pour un poids compris entre 300 et 325 kilos.
Ils virent l'Ogre qui allait de montagne en montagne, et qui traversait des rivières aussi aisément qu'il aurait fait le moindre ruisseau. Le petit Poucet, qui vit un Rocher creux proche le lieu où ils étaient, y fit cacher ses six frères, et s'y fourra aussi, regardant toujours ce que l'Ogre deviendrait.
Familier. Glouton, grand mangeur.
Étymologie. ( XII e siècle) Du latin Orcus (« divinité infernale, enfer »).
La Reine ogresse : Mère du Prince et belle-mère de la Princesse. C'est une méchante ogresse qui veut manger la Princesse, la petite Aurore et le petit Jour.
1. Coussin généralement carré, de plume ou de crin, etc., qui soutient la tête quand on est couché. 2. Ce sur quoi on peut se reposer, s'appuyer avec confiance : S'endormir sur l'oreiller du succès.
Commence par dessiner le bas de son visage par un arc de cercle, fais ses oreilles en forme de pointe, termine le haut du visage par un arc de cercle. Fais une courbe doublée pour faire le bras de l'ogre et termine par une main. Commence le deuxième bras de la même manière .
1. Femme acariâtre ou méchante ; mégère. 2. En héraldique, sorte d'aigle à tête de femme.
C'était sans compter sur l'ingéniosité du petit poucet qui se déguisa avec ses frères avec les couronnes des sept filles de l'ogre. Ce dernier les confondit alors et mangea ses propres filles ! Le petit Poucet s'enfuit ensuite avec ses six frères. L'ogre les poursuivit sans les rattraper et finit par s'endormir.
Charles Perrault propose une seconde fin, en se référant à des « témoignages ». Dans la seconde fin, le Petit Poucet se contente de voler les bottes de sept lieues car elles permettent à l'ogre de courir derrière les enfants. Sur son chemin, il croise l'armée du roi et transmet un message à ce dernier.
Dans le conte picard cité plus haut, le petit Poucet s'appelle Jean l'Espiègle. C'est exactement l'Eulenspiegel du conte wende. On sait qu'Espiègle est la forme française du nom d'Eulenspiegel, le héros d'un livre très populaire en Allemagne à la fin du Moyen âge, et qui a fait aussi l'amusement de nos aïeux.
C'est grâce aux Contes de ma mère l'Oye (parus en 1697), où Charles Perrault en fait des bottes magiques, et principalement grâce au conte du Petit Poucet, que la renommée des bottes de sept lieues a traversé les époques.
Les parents étaient tellement désespérés qu'ils décidèrent d'abandonner les enfants dans la forêt. Mais le Petit Poucet était très rusé. Il jeta des petits cailloux pour retrouver son chemin. Quelques semaines plus tard, les parents réessayèrent et veillèrent cette fois à ce qu'il ne puisse pas jeter de cailloux.