Le cumul du statut auto-entrepreneur et salarié est possible quelle que soit la nature du contrat salarié (CDI, CDD, intérim, stage, etc.) et peu importe le domaine d'activité (commerce, profession libérale, artisanat, etc.) tant que le domaine d'activité est possible sous le régime micro-entrepreneur.
Comment déclarer un employé en auto-entrepreneur ? Dès lors qu'un auto-entrepreneur embauche un salarié, il doit faire une déclaration préalable à l'embauche ou DPAE auprès de l'Urssaf, dans les 8 jours précédant l'embauche au moins. Vous pouvez réaliser cette démarche par courrier postal ou en ligne.
Le cumul d'une activité salariée avec la création d'une micro-entreprise est possible quelle que soit la nature du contrat salarié (CDI, CDD, contrat en intérim, stage, etc.) et sans restriction de domaine (artisanat, commerce, profession libérale), du moment qu'il s'agit d'un domaine couvert par le régime de la micro- ...
Est-ce qu'un auto-entrepreneur peut n'avoir qu'un seul client ? Avoir un seul client lorsqu'on exerce en tant qu'auto-entrepreneur est tout à fait possible et il n'y a aucun empêchement légal dans ce sens.
12,30% du CA pour la vente de marchandises ; 21,2% du CA pour les prestations de services commerciales ou artisanales ; 21,1% du CA pour les autres prestations de services ; 6% pour la location meublée.
Embaucher en auto-entreprise : avantages
dans l'optique d'un changement de statut : si vous frôlez chaque année le plafond du chiffre d'affaires, peut-être envisagez-vous de faire grandir votre structure. Embaucher avant de changer de statut peut vous permettre de tester cette stratégie avant de vous lancer.
Ses principaux inconvénients
Impossibilité d'amortir fiscalement les investissements réalisés. Un certain seuil de chiffre d'affaires ne peut être dépassé. Les charges sociales sont calculées sur la base du CA et non des bénéfices de l'entreprise ou de la rémunération du dirigeant.
Simplification des démarches de création
La simplicité des démarches de création pour les auto-entrepreneurs constitue un véritable catalyseur pour l'entrepreneuriat individuel. En optant pour ce statut, les entrepreneurs échappent aux complexités administratives souvent associées à d'autres formes juridiques.
Activité de prestation de services et location de meublés de tourisme classés. Vous êtes soumis au régime de la micro-entreprise si votre chiffre d'affaires ne dépasse pas 77 700 €.
La sous-traitance est une opération par laquelle une entreprise (appelée donneur d'ordre) confie à une autre entreprise (appelée sous-traitant) la mission de réaliser pour elle une partie des actes de production et/ou de services dont elle demeure responsable. La sous-traitance s'adapte à tous les secteurs d'activité.
Risque de travail dissimulé
Ce risque est amplifié depuis que certaines micro entreprises ferment intentionnellement pour percevoir des sommes non imposables ou fournissent des RIB de personnes physiques. En cas de contrôle, le client risque 3 ans de prison, des rattrapages de charges sociales et 45.000 € d'amende.
La micro-entreprise : un statut juridique d'indépendant
L'auto-entreprise et la micro-entreprise ont donc fusionné en 2016. Bien que le terme "auto-entreprise" soit encore utilisé, c'est pourtant la micro-entreprise qui est le seul statut des deux reconnu légalement en France aujourd'hui.
En effet, lorsque le chiffre d'affaires est supérieur à 10 000 € pendant 2 années consécutives, l'auto-entrepreneur a l'obligation d'ouvrir un compte.
L'auto-entreprise est une entreprise individuelle qui relève du régime fiscal de la micro-entreprise et du régime micro-social pour le paiement des cotisations et contributions sociales.
Les charges sociales dues sont réglées directement par le micro-entrepreneur. Le taux de cotisations est appliqué directement sur le chiffre d'affaires selon les règles du régime micro-social. Les charges sociales dues (part patronale et part salariale) sont réglées directement par l'employeur.
Pour conclure, il n'y a pas de statut plus avantageux entre auto-entrepreneur et micro-entrepreneur, puisqu'on parle bien de la même chose.
Auparavant désigné sous le terme d'auto-entrepreneur, le micro-entrepreneur est un entrepreneur individuel soumis à un régime fiscal et social simplifié. Celui-ci lui permet d'exercer très facilement une petite activité professionnelle indépendante générant un chiffre d'affaires inférieur à un certain seuil.
Ce régime s'adresse à toute personne ayant l'envie ou l'opportunité d'exercer une petite activité professionnelle en toute indépendance (voir les seuils applicables), c'est-à-dire sans lien de subordination avec une autre personne physique ou morale.
Les inconvénients de l'entrepreneuriat comprennent une charge de travail inégale, des revenus incertains et un risque financier important. Les entrepreneurs peuvent travailler de longues heures pour que leur entreprise réussisse, puis continuer à travailler encore plus dur pour maintenir leur entreprise à flot.
En effet, le statut juridique d'auto-entrepreneur n'est pas très difficile à obtenir et présente des avantages fiscaux mais aussi en termes de souplesse de gestion et d'horaires.
Le statut d'auto entrepreneur ou micro entrepreneur est un statut dont la création est facile et rapide à réaliser. La particularité de cette forme juridique est qu'elle est particulièrement adaptée aux lancements d'entreprise, lorsqu'un porteur de projet souhaite lancer et tester son activité sur le marché.
En principe, c'est à l'employeur que revient la responsabilité de faire le contrat de travail. Dans le cas d'une petite entreprise, l'employeur peut soit, s'aider de modèles de contrat de travail soit, faire appel à un avocat en droit social ou à son expert-comptable pour la rédaction du contrat de travail.
Le contrat d'entreprise se distingue ainsi du contrat de travail du fait que l'entrepreneur n'est pas un salarié du maître de l'ouvrage. Il travaille ainsi en toute indépendance. Par ailleurs, le contrat d'entreprise se distingue également du contrat de vente, car il porte sur service et non sur un objet.