Le point d'interrogation, jadis appelé point interrogant, a pour fonction principale d'indiquer que l'on pose une question, en constituant même parfois la seule indication. Il se place généralement à la fin de la phrase, mais peut également, dans certains cas, se trouver à l'intérieur.
L'interrogation, ou phrase interrogative, sert à exprimer l'interrogation, le questionnement. Elle est définie par plusieurs aspects (inversion du sujet, intonation ascendante, point d'interrogation, etc.) qui restent toutefois assez souples selon l'utilisation qui en est souhaitée.
Dans un dialogue, le point d'interrogation, employé seul, exprime une ignorance ou une incrédulité. Dans ce cas, il peut être doublé ou triplé. Exemple: « Je ne viendrai pas finalement.
Le point d'interrogation est toujours employé à la fin d'une question posée directement, peu importe qu'il s'agisse d'une interrogation partielle ou totale (voir le chapitre consacré à la phrase interrogative). Il indique une intonation montante à l'oral.
Il peut s'agir : • d'une interrogation totale, partielle ou alternative (sémantique de l'interrogation) ; • d'autres valeurs de l'interrogation directe : la valeur d'ordre, la question rhétorique, la valeur déclarative (pragmatique de l'interrogation).
L'interrogation est l'un des types de phrase. Elle sert en règle générale à demander une information ou à exprimer un questionnement.
À l'oral, c'est seulement le ton montant de la voix qui marque l'interrogation. À l'écrit, il ne faut pas oublier le point d'interrogation ( ? ) et les guillemets (« ... ») ou un tiret (−).
L'interrogation permet : 1) soit de relancer le débat ; 2) soit de renforcer une affirmation ; c'est ce que l'on appelle l'"interrogation oratoire" ou "interrogation rhétorique".
Le symbole ''?'' est placé en fin de phrase pour marquer qu'il s'agit d'une question. Il viendrait du mot latin ''quaestio'' (''question''), dont l'abréviation est ''qo''.
4)La phrase interrogative : Elle permet de poser une question, une demande de renseignements et se termine par un point d'interrogation ?
Il arrive que l'interrogation soit employée par effet de style : elle marque une demande insistante ou une affirmation énergique, ou bien elle souligne un trait pittoresque, un sentiment, une émotion. La phrase exclamative traduit un sentiment vif, une émotion.
Elle ne s'exprime que par l'inversion sujet-verbe (Est-ce que tu viens ? Viens-tu ?) ou seulement par l'intonation (Tu viens ?). L'interrogation n'est pas toujours un phénomène syntaxique.
Les signes de ponctuation (au nombre de dix) donnent des indications précieuses pour la lecture et la compréhension du texte. Ils marquent les pauses et les inflexions de la voix dans la lecture et fixent les rapports entre les propositions et les idées. Le point marque la fin d'une phrase dont le sens est complet.
. Elle suit un verbe tel que dire, demander, s'informer, ou un verbe exprimant l'ignorance, et est introduite par un mot interrogatif. Elle ne se termine jamais par un point d'interrogation.
La phrase exclamative permet d'exprimer une émotion telle que la joie, l'enthousiasme, l'énervement ou la colère. Elle peut aussi exprimer un jugement, comme l'admiration ou la déception. C'est un marqueur de l'intonation que l'on prend à l'oral.
Comme le nom l'indique, la forme interrogative est l'art de poser une question. Les phrases interrogatives sont introduites par des « mots interrogatifs » dont la nature peut être : 1. Un pronom interrogatif.
On place le point d'exclamation après un mot, une locution ou une phrase exprimant un sentiment tel que la joie, la surprise, l'indignation, l'étonnement, l'ironie, etc.
Le point d'interrogation
Un usage exagéré de points d'interrogation peut paraître oppressant. En recevant un SMS plein de points d'interrogation comme celui-ci : « Tu en penses quoi ?????? », on s'imagine que l'expéditeur souhaite une réponse précise et très rapide à son texto. Pas très subtil.
La question rhétorique (interrogation oratoire) est une "fausse question" qui n'attend pas de réponse et qui permet d'affirmer un point de vue et d'éveiller la curiosité. Elle sert à provoquer l'auditeur et a donc un effet immédiat... surtout si elle est drôle ou caustique.
Une argumentation permet de prouver ou de réfuter une opinion, un fait ou un énoncé, en cherchant à convaincre son public, à l'oral ou à l'écrit. L'auteur affirme une position personnelle, qu'elle appuie par des arguments solides, des preuves, qu'elle organise dans un discours bien structuré.
Lorsqu'il s'agit d'une interrogation indirecte, on supprime le point d'interrogation et on utilise un point à la place de celui-ci. Le point d'interrogation ne reste que si la question indirecte est comprise dans une question directe.
La question rhétorique est une figure de style qui consiste à poser une question qui n'attend pas de réponse.
La portée de l'interrogation est partielle : on attend un apport d'information sur l'identité ou la nature des « vers » (« quels » porte sur une caractéristique du sujet « ces vers »).
INTERROGATION DIRECTE OU « TYPE INTERROGATIF »
On distingue deux sortes de phrases de type interrogatif : la phrase avec interroga- tion totale et celle avec interrogation partielle. Elles se terminent toujours par un point d'interrogation.