En japonais, il existe trois types de caractères : les hiragana, les katakana et les kanji. Les hiragana et les katakana sont des symboles phonétiques.
Les hiragana (ひらがな)
C'est le premier alphabet syllabaire que nous devons apprendre. Il contient 46 signes, et est utilisé pour écrire tous les mots de la langue japonaise qui sont d'origine nippone (vocabulaire, grammaire, etc). Ils nous aident aussi à pouvoir lire les kanji que l'on ne connaît pas.
Les katakana, qui signifient « kana fragmentaires », sont utilisés principalement pour les mots et les noms étrangers, les mots d'emprunt et les onomatopées. Certains des mots japonais les plus utiles sont des onomatopées intraduisibles, comme ギリギリ (girigiri).
Généralement parlant, les noms sont écrits en Kanji, et les verbes et adjectifs sont écrits avec des combinaisons de Kanji et de Hiragana. DESU sont écrites en Hiragana. Et “Anna”, de même que d'autres noms dont l'origine est étrangère, s'écrivent en Katakana.
Comme il s'agit d'une expression d'argot créée récemment et que ce n'est pas formel, elle est écrite en katakana. Ossu est principalement utilisé par les hommes. Comme vous l'avez peut-être deviné, il s'agit simplement de la forme contractée de ohayou gozaimasu.
おはようございます [OHAYÔ GOZAIMASU] Bonjour. Le matin on dit OHAYÔ GOZAIMASU.
Pour traduire son prénom en japonais il suffit de prendre les caractères Katakana qui ont le son le plus proche pour chaque syllabe de votre prénom. Comme il n'y a pas de règle officielle, c'est à chacun de s'approprier pour faire correspondre au mieux le rendu en japonais.
En conséquence, le sens de lecture d'un livre écrit en japonais est opposé au système alphabétique latin, alors que la «dernière» page est en fait la première, c'est-à-dire que le début est au verso du livre qu'on lit de droite à gauche et de haut en bas.
Dès le début de l'ère meiji («gouvernement éclairé», 1868), les autorités élaborèrent la construction de la «langue nationale», soit 国語 (kokugo) — c'est ainsi qu'on appelle la langue japonaise au Japon — en intervenant avec vigueur dans tout l'Empire.
Katakana est plus fréquemment utilisé dans les mots de prêt, tandis que l'hiragana est utilisé pour les mots natifs. Katakana est plus fréquemment utilisé comme notation phonétique tandis que l'hiragana est plus fréquemment utilisé comme notation grammaticale.
Une autre méthode efficace c'est d'apprendre les Hiragana et les Katakana en association avec des images. Vous pouvez le faire en dessinant sur des cartes les illustrations d'objets dont les noms ont la même prononciation, dans votre langue, que les symboles japonais.
kanji : un ensemble de logogrammes ou sinogrammes utilisés pendant des siècles, optionnellement annotés de translittération phonétique kana de type furigana ; kana : deux écritures syllabaires hiragana et katakana équivalentes ; rōmaji : une romanisation dans l'alphabet latin dans certains cas plus restreints.
Écrire un prénom simple en japonais
Par exemple Léa ou Théo s'écriront respectivement レア et テオ puisque l'on retrouve ces mêmes sons dans l'alphabet syllabaire katakana.
Les hiragana sont utilisés pour écrire les mots japonais, notamment les terminaisons des verbes et les particules grammaticales. Quant aux katakana, ils servent à transcrire les mots d'origine étrangère et les onomatopées.
- La lettre v n'existe pas en Japonais. - Les lettres c et q sont toujours remplacées par un k. Vous devriez maintenant pouvoir lire les noms japonais retranscrits sans faire d'erreurs.
La douche. Les japonais n'utilisent pas la douche comme nous, occidentaux, le faisons. Pour faire leur toilette, ils se douchent assis sur un tabouret (pour éviter les éclaboussures) afin de se nettoyer au mieux. Une fois la douche prise, il se glisse dans leur bain d'eau bouillante pour se relaxer.
Embrasser les femmes japonaises, en général, est généralement un indicateur fort qu'elle est intéressée à avoir des relations sexuelles. Chez les hommes étrangers, elles recherchent surtout qu'ils soient plus affectueux, passionnés et attentionnés que les hommes japonais.
Il existe un mot pour dire « non » en japonais : いいえ, iie, ou いや, iya, si l'on est proches. Mais il faut savoir que dire ou entendre « non » est généralement inconfortable pour un Japonais.
Arigatô gozaimasu ありがとうございます est l'expression classique pour dire merci que l'on retrouve dans tous les manuels de langue. S'il n'y en a qu'une à retenir, retenez celle-ci, ou bien l'une de ses nombreuses variantes. Si vous avez du mal avec la prononciation, vous pouvez n'utiliser que arigatô.
– Sumimasen :
Sumimasen est l'un des mots les plus utilisés dans le japonais parlé. Il est considéré comme une excuse légère. Par exemple, si vous bousculez quelqu'un dans le métro, vous pouvez utiliser Sumimasen, pour vous excuser.
Si vous vous trouvez dans une situation plus formelle et que vous devez dire au revoir en japonais à votre interlocuteur (en sachant que vous le reverrez le lendemain), vous pouvez lui dire mata ashita.