La connaissance désigne un rapport de la pensée à la réalité extérieure et engage la notion de vérité comme adéquation de l'esprit et de la chose. Par extension, le terme connaissance désigne le contenu de la pensée qui correspond à la nature de la chose visée, et s'oppose à erreur ou illusion.
En conséquence, la connaissance constitue un ensemble de propositions falsifiables et essentiellement transmissibles par apprentissage. Elle forme la science. En dehors de cette dernière tout relèverait de la faculté de comprendre, c'est-à-dire de donner un sens à un objet, un être ou un événement.
L'objet de la connaissance constitue en quelque sorte une limite jamais atteinte. Par ailleurs, le sujet lui-même n'est pas donné une fois pour toutes. Il évolue au contact de la réalité, il élabore de nouveaux instruments de connaissance qui modifient, à des degrés divers, sa manière d'appréhender l'objet.
Du point de vue chronologique, la perception constitue le fondement de la connaissance, dans la mesure où toute connaissance du monde se fonde sur la perception de celui-ci. Ainsi est-il nécessaire, pour définir la chaleur, d'avoir au préalable fait l'expérience sensible de divers objets ou phénomènes liés à celle-ci.
1. Action, fait de comprendre, de connaître les propriétés, les caractéristiques, les traits spécifiques de quelque chose : La connaissance de la nature. 2. Opération par laquelle l'esprit humain procède à l'analyse d'un objet, d'une réalité et en définit la nature : Connaissance intuitive.
On retient généralement trois types de connaissances : les connaissances déclaratives, les connaissances procédurales et les connaissances conditionnelles.
Il existe deux types de connaissances : celles explicites qui peuvent être acquises via un effort conscient pour les apprendre (définitions, nouveaux concepts, numéros de téléphone, règles de conduite, etc.) et celles implicites qui sont apprises à notre insu, par la répétition, l'imitation et l'expérience.
La connaissance désigne un rapport de la pensée à la réalité extérieure et engage la notion de vérité comme adéquation de l'esprit et de la chose. Par extension, le terme connaissance désigne le contenu de la pensée qui correspond à la nature de la chose visée, et s'oppose à erreur ou illusion.
La connaissance se distingue des termes qui lui sont proches comme : savoir, information, donnée, croyance, science, expérience, etc. La connaissance en philosophie a des définitions particulières qui lui sont propres.
La philosophie de la connaissance dépend ainsi d'une réflexion que l'esprit opère sur lui-même. L'idée n'est plus une forme intelligible qui transcende le monde sensible mais la manière dont les choses existent dans l'esprit.
Du latin populaire * sapēre, en latin classique sapĕre, « avoir de la saveur », avec influence de sapiens « sage », d'où « être perspicace », « comprendre », puis « savoir », et élimination du classique scire « savoir ».
Si le ressouvenir des formes intelligibles constitue pour Platon la connaissance parfaite ou la science (ἐπιστήμη), il n'en demeure pas moins que dans la République Platon reconnaît divers niveaux ou degrés de connaissance : la connaissance sensible, la connaissance mathématique et la connaissance dialectique ou ...
Le fait de connaître notre manière de fonctionner, de penser et de réagir permettra de mieux appréhender les situations et les réactions de l'autre. Nous prendrons conscience qu'autrui n'a pas nécessairement les mêmes réactions que nous, et qu'il peut avoir une personnalité différente de la nôtre.
Une citation de Jean-Paul Remacle.
La connaissance est une richesse qu'on ne peut vous voler. L'étude est la seule monnaie qui permette de l'acheter.
La connaissance s'applique aux savoirs théoriques et techniques qui s'acquièrent par formation, expérience professionnelle ou extra-professionnelle. La compétence ajoute une dimension pratique, l'habileté de mise en œuvre des connaissances en une situation bien spécifique.
La connaissance intellectuelle représente l'ouverture maximale puisqu'elle est ouverture à tout ce qui est : « Plus une puissance est élevée, plus son objet est universel... On peut déterminer trois degrés d'universalité dans l'objet.
La connaissance, comme on vient de le voir, procède d'un mode de description ou d'explication centré sur le monde, indépendamment du point de vue du sujet ; la croyance procède du regard que le sujet porte sur le bien-fondé des événements et des actions de l'homme.
ÉRUDIT, SAVANT, DOCTE. Savant est le terme le plus général, désignant celui qui sait.
La connaissance peut se définir comme l'activité théorique de l'homme, comme l'opposé de l'action dans le monde. Le problème philosophique de la connaissance est triple : – le problème de l'origine des connaissances est celui de savoir si elles procèdent de l'expérience (empirisme) ou de la raison (rationalisme).
Le savoir est lié à une communauté, une connaissance ou un individu. La connaissance est quant à elle le processus d'assimilation individuelle de ce savoir. Elle fait ainsi référence à des objets plus spécifiques mais surtout à l'expérience individuelle de ce savoir.
Toute connaissance commence avec la sensation. Celle-ci consiste en une altération de l'âme par quelque chose qui agit sur elle. Mais l'âme ne reste pas passive; la sensation ne se réduit nullement à une empreinte matérielle. L'œil n'est pas un miroir, il sent la chose et se sent lui-même.
La définition traditionnelle suggère donc que lorsqu'une croyance s'appuie sur des bonnes raisons, et qu'elle est vraie, alors c'est une connaissance.