Le méthocarbamol (LUMIRELAX®) est le décontracturant musculaire le plus prescrit pour le mal de dos. Il est délivré sur ordonnance et remboursé par l'assurance maladie.
Peut-on prendre un anti-inflammatoire et un décontractant musculaire ? La combinaison d'un décontractant musculaire avec un anti-inflammatoire est possible. Le méthocarbamol, qui est un myorelaxant, peut être associé à l'ibuprofène, qui est un anti-inflammatoire non stéroïdien.
En cas de contracture musculaire, il faut utiliser un myorelaxant, par exemple Atepadene, qui se présente sous la forme de gélules contenant de l'ATP (Adénosine Triphosphate). Il existe aussi des solutions homéopathiques, comme Sporténine, traditionnellement utilisé en cas de courbatures ou de crampes.
L'huile essentielle de menthe poivrée : ses multiples vertus thérapeutiques font de la menthe poivrée une référence en matière de décontractant musculaire puissant et naturel. En kinésithérapie, c'est une huile qui, lorsqu'elle est associée à une autre huile de massage neutre, peut améliorer davantage les résultats.
Les analgésiques en vente libre, tels que le paracétamol ou l'ibuprofène, sont couramment utilisés pour soulager la douleur légère à modérée. Ces médicaments agissent en bloquant les signaux de douleur dans le cerveau et peuvent être efficaces pour certaines personnes souffrant de douleurs généralisées légères.
Le froid: un agent qui traite efficacement la douleur
En plus d'un antidouleur naturel, le froid est aussi un agent anesthésiant puissant. On l'utilise même dans certaines interventions chirurgicales. Il est utile notamment pendant la phase aiguë de la douleur.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis.
En cas de contracture, le premier réflexe à avoir est d'appliquer du chaud sur la contracture pour détendre le muscle et avoir une bonne vascularisation, conseille Raphaële Pouret. Ensuite, il faut s'étirer dans la mesure du possible et sans forcer.
Hépar - des propriétés thérapeutiques reconnues
Le sulfate joue un rôle dans divers processus biologiques, y compris la synthèse des protéines et la régulation musculaire. Une carence en sulfate peut donc potentiellement contribuer aux crampes musculaires.
Roll-on, huile essentielle de menthe poivrée, patchs chauffants, baume au camphre, sprays ou crèmes effet froid, gels de massage et autres pommades au menthol ou aux plantes, sont tout autant de décontractants musculaires naturels qui peuvent être appliqués sur les muscles douloureux pour leurs propriétés apaisantes.
Le Kava Kawa, l'anxiolytique naturel le plus fort
Cet anxiolytique naturel et surement le plus fort, réduit l'insomnie et le stress, c'est un tranquillisant musculaire.
Outre la camomille et le millepertuis, d'autres plantes médicinales peuvent être utilisées pour soulager la tension musculaire. Par exemple, l'arnica est connue pour ses propriétés anti-inflammatoires et analgésiques, et peut être utilisée en gel ou en crème pour masser les muscles endoloris.
La crème Inongan sera donc adaptée aux douleurs musculaires et tendino-ligamentaires. Cette crème contient un dérivé d'Aspirine ainsi que du camphre pour traiter la douleur et anesthésier la zone douloureuse.
L'ibuprophène (Advil, Nurofen, etc.) est plus efficace contre certains types de douleurs, comme les rages de dents et les entorses, que le paracétamol et présente un peu moins d'effets secondaires que l'aspirine.
Quelle maladie provoque des douleurs musculaires ? Des pathologies virales telles que la grippe peuvent entraîner des douleurs musculaires. D'autres pathologies plus grave telles que: une polynévrite ou une poliomyélite, le tétanos, une péritonite, ou encore une hépatite peuvent aussi provoquer des myalgies.
Le gel Voltaren - C'est l'un des gels anti-inflammatoires les plus populaires sur le marché. Il est connu pour son efficacité à soulager rapidement la douleur et à réduire l'inflammation. La pommade Ibuleve - Elle contient de l'ibuprofène, qui est reconnu pour ses propriétés anti-inflammatoires et analgésiques.
Appliquer une compresse chaude sur la zone douloureuse peut aider à détendre les muscles et à réduire l'inconfort. D'autre part, l'application d'une compresse froide peut aider à réduire l'inflammation et à engourdir la douleur.
Privilégiez les boissons drainantes telles que l'eau, les infusions ou encore le thé dont les propriétés drainantes sont reconnues par les nutritionnistes. « Les substances du thé vert sont actives contre l'élimination des graisses localisées au niveau du ventre.
Des plantes telles que l'arnica, le curcuma, le gingembre et la griffe du diable sont connues pour leurs effets bénéfiques sur les douleurs musculaires et articulaires. Elles peuvent être prises sous forme de compléments alimentaires ou utilisées en cataplasmes ou en huiles essentielles.
En plus d'aider à réduire les spasmes musculaires, l'eau chaude favorise la dilatation des vaisseaux sanguins, ce qui permet de mieux irriguer les tissus musculaires, favorisant ainsi la récupération.
L'application du froid sera efficace sur une inflammation : après une foulure, une entorse ou tout choc violent. Le chaud, quant à lui, sera efficace pour soulager des tensions musculaires, des crampes ou encore des douleurs menstruelles.
Une méthode accessible et simple. Pour s'approprier la méthode en étant assis ou allongé, on commence par serrer les poings pendant quelques secondes et on les relâche doucement en étant à l'écoute de l'effet ressenti dans ses muscles. On passe ensuite aux bras, en les tendant complètement avant de les décontracter.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
L'ibuprofène (Nurofen, Advil, Upfen Antarene, etc.) et le kétoprofène (Profenid, Toprec, Ketum) appartiennent à la famille des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), qui ont déjà fait l'objet de signalements pour des complications infectieuses graves (comme l'impact cardiovasculaire du diclofénac) .