1. La vapeur d'eau (H2O) le plus important des gaz à effet de serre naturellement présents dans l'atmosphère. est créé par l'évaporation de l'eau présente à la surface de la Terre.
L'atmosphère terrestre est l'enveloppe gazeuse, entourant la Terre, que l'on appelle air. L'air sec se compose à 78,087 % de diazote, à 20,95 % de dioxygène, à 0,93 % d'argon, à 0,041 % de dioxyde de carbone, et de traces d'autres gaz.
Sur un siècle, une seule molécule de PFTBA serait jusqu'à 7 100 fois plus efficace pour piéger la chaleur dans l'atmosphère qu'une molécule de CO2, selon l'équipe de chercheurs. Outre ce pouvoir radiatif record, c'est sa persistance dans les basses couches de l'atmosphère qui pourrait poser problème.
Il en résulte que si la vapeur d'eau restera toujours le principal gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone reste pour l'instant le principal responsable du réchauffement climatique.
C'est là que par un échange avec l'air tout proche, le sang perd une bonne partie de son dioxyde de carbone que l'on rejette ensuite en expirant (l'air que l'on avait inspiré, lui, n'en contenait presque pas).
Il s'agit du monoxyde d'azote (NO) mais surtout du dioxyde d'azote (NO2), principalement formé lors des processus de combustion, notamment dans les moteurs de voiture ou dans les centrales électriques. Le NO2 est le plus nocif des deux oxydes pour la santé humaine.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Le CO2 est en partie responsable de l'effet de serre. Cela a pour conséquence l'augmentation des températures et ainsi, la perturbation de tout notre écosystème (voir nos articles traitant des conséquences du réchauffement climatique sur les océans, la fonte des glaces et les forets).
La principale source de gaz à effet de serre d'origine humaine est l'utilisation de l'énergie. En brûlant des énergies comme le charbon, le gaz ou le pétrole pour produire de l'énergie ou pour alimenter les moteurs de nos moyens de transport, on émet du CO2 qui contribue au réchauffement climatique.
À l'échelle du siècle, le méthane est tout de même 25 fois plus puissant que le gaz carbonique en potentiel de réchauffement global (PRG) ! À quantité égale, le méthane est donc plus puissant en effet de serre que le CO2. Mais il n'y a pas autant d'émissions de méthane que d'émissions de dioxyde de carbone.
Origine des émissions de CO2 dues à la combustion d'énergie en 2018. En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
C'est lui qui permet de retenir une partie de la chaleur fournie par le soleil. Sans effet de serre, pas de vie sur Terre, il y ferait des températures négatives en permanence. Le principal gaz à effet de serre est d'ailleurs la vapeur d'eau.
le protoxyde d'azote (N2O) ; l'ozone troposphérique (O3).
Une fois émis, le gaz est en partie absorbé par les puits de carbone naturels. Cette absorption du dioxyde de carbone a doublé en cinquante ans (de 1960 à 2010) mais cela ne suffit pas pour compenser la hausse des émissions : la moitié du CO2 rejeté par les activités humaines s'accumule dans l'atmosphère.
C'est William Rees, un écologiste canadien, qui a inventé en 1992 le terme « empreinte écologique », permettant de mesurer l'impact d'une entité sur l'écologie de la planète. Une décennie plus tard, en 2004, British Petroleum a commencé à promouvoir un nouveau terme : « empreinte carbone ».
Le CO2 se trouve à l'état naturel dans l'atmosphère. Il joue un rôle primordial dans le cycle du carbone sur Terre et subit en permanence des transferts entre les différents milieux. Une très large proportion du CO2 est ainsi dissoute et stockée dans les océans qui font office de puits de carbone.
En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde. En plus de son utilisation intensive d'eau et de pesticide, la culture de la canne à sucre ou de la betterave à sucre provoque aussi une forte érosion des sols.
En première position se place le Qatar, dont le taux de dioxyde de carbone émis par habitant s'élève à près de 37 tonnes .
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
Le monoxyde de carbone. Ce gaz toxique est un produit de combustion émis par les appareils de chauffage mal entretenus et vétustes (combustion mal réglée/incomplète, conduit obstrué…). Ce gaz est d'autant plus dangereux qu'il est invisible, inodore et qu'il n'irrite ni les yeux ni les voies respiratoires.
Il appartient au cycle du carbone sur la planète et s'avère à cet égard un élément crucial de ce cycle. Il est effectivement l'un des gaz les plus prépondérants dans l'atmosphère et participe activement à la respiration des êtres vivants et la photosynthèse des plantes.