La psychologie positive s'intéresse principalement à la santé et au bien-être, à ce qui rend les humains résilients, heureux, optimistes, plutôt qu'aux origines des pathologies. Son objectif est de promouvoir l'épanouissement et l'accomplissement de soi au niveau individuel, groupal et social.
La psychologie clinique et de la santé concerne l'application des théories et méthodes psychologiques à la promotion et au maintien de la santé et de la santé mentale.
La psychologie de la santé cherche, en effet, à identifier et à connaître les facteurs environnementaux (événement de vie stressant, isolement social) et de personnalité (styles de vie à risque, traits de personnalité pathogènes) qui affectent la santé.
Stress, revenu, éducation, relations sociales, environnement, travail, bagage génétique… tout ceci – et bien d'autres choses – influence notre état de santé. On appelle ces facteurs « déterminants de la santé ». S'ils sont favorables, nos chances d'être en bonne santé seront élevées.
Son intérêt est d'identifier les dimensions socio-psychologiques (facteurs psychosociaux) et leurs répercussions biologiques de manière à aider l'individu à trouver en lui et autour de lui des ressources pour faire face à la maladie et à adopter des comportements préventifs.
La psychologie de la santé voit officiellement le jour aux États-Unis en 1979. Le président de l'APA (American Psychology Association), Joseph Matazzaro, la définit alors comme « l'ensemble des savoirs fondamentaux de la psychologie appliqués à la compréhension de la santé et de la maladie ».
Marilou Bruchon-Schweitzer, qui en était la présidente lors de sa création, est à l'origine des premiers travaux de psychologie de la santé sur notre territoire. L'ouvrage Introduction à la Psychologie de la Santé, paru aux éditions PUF en 1994, marque le début d'une série de publications dans ce domaine en France.
QU'EST-CE QUI DÉTERMINE LA SANTÉ ? Le champ des caractéristiques individuelles comprend quatre catégories : les caractéristiques biologiques et génétiques, les compétences personnelles et sociales, les habitudes de vie et les comportements et, enfin, les caractéristiques socioéconomiques.
La préparation psychologique du malade est d'une importance dans la prise en charge des malades elle améliore la qualité de vie, diminue le risque de complications, le stress ainsi que la durée d'hospitalisation, et capte la confiance et convainc le malade.
Le revenu d'une personne constitue le déterminant de santé le plus important, puisqu'il exerce une influence sur l'ensemble des conditions et des habitudes de vie.
Du coup une nouvelle définition de la psychologie médicale se propose à nous, peut-être surprenante, mais par là même stimulante : la psychologie médicale est le moyen de réinvestir la pratique médicale en accroissant le plaisir du médecin à l'exercice de sa profession.
La psychologie contribue à l'amélioration de l'enseignement et de l'apprentissage au sein de la classe qui sont étroitement liés aux facteurs sociaux et comportementaux du développement humain, ainsi qu'à la connaissance, la motivation, l'interaction sociale et la communication.
Elle a pour objet l'étude des rapports entre le corps et l'esprit qui sont les composantes de la nature humaine. Comme toutes les sciences humaines sont intéressées à ce problème, on pourrait admettre qu'elles convergent toutes vers la psychologie.
Sur la base des hypothèses présentées, on peut constater que les effets psychologiques positifs de l'activité physique peuvent s'expliquer par des modifications biologiques (ex. : diminution de la tension nerveuse, augmentation du niveau d'énergie, activations hormonales et neurotransmetteurs), des altérations ...
En termes plus précis, la psychologie clinique a pour objet l'étude de la conduite humaine individuelle et de ses conditions (hérédité, maturation, conditions physiologiques et pathologiques, histoire de la vie), en un mot, l'étude de la personne totale « en situation ».
Elle a pour objet l'étude des troubles mentaux, alors que la psychiatrie s'intéresse surtout au sujet malade ou troublé. La psychologie pathologique utilise ses connaissances du sujet normal pour comprendre le fonctionnement du sujet malade.
Quelle que soit la sévérité de la maladie, le symptôme le plus fréquemment rencontré est l'apathie (désignant un état de fatigue physique ou intellectuelle profond se caractérisant par une indifférence à l'émotion et aux désirs) suivie des symptômes dépressifs et de l'anxiété.
L'objet de la psychologie c'est de faire connaître l'identité de l'homme sous ses différents aspects. Non pas une identité uniforme et universelle, mais bien au contraire les effets indéfiniment variables des lois qui règlent ses conditions d'existence.
Son utilisation a été considérablement étendue au domaine des soins infirmiers, car elle fournit les outils nécessaires pour accorder une attention particulière à chaque personne souffrant de différents problèmes de Santé Mentale et, ainsi, l'aider dans son processus de rétablissement.
Les indicateurs de santé :
sont des mesures utilisées pour décrire l'état de santé et de bien –être de la population (indicateurs d'état de santé ) et les facteurs déterminant ou influençant la santé (indicateurs de déterminant de santé ).
Les déterminants de la santé comprennent un large éventail de facteurs personnels, sociaux, économiques et environnementaux qui déterminent la santé d'une personne ou d'une population.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité.
La menace d'atteinte à l'intégrité physique du malade introduite par la maladie, va entrainer une forte inquiétude et un grand stress perçu : Sur l'évolution de la maladie. Sur la perte d'une fonction ou d'une autonomie. Sur la disparition ou la diminution des satisfactions personnelles (frustrations).
Key words: Ribot, biography, french psychology. Résumé: Ribot fut le fondateur de la psychologie scientifique française. En 1862, il entra à l'École Normale Supérieure et obtint son agrégation en 1866.
Winhelm Wundt, père fondateur de la psychologie
Wilhelm Wundt, le père de la psychologie suivie à la fois d'une étude en psychologie mais aussi en médecine. C'était un homme introspectif. Il s'intéresse beaucoup à la méditation et à l'étude. En effet, la psychologie existe déjà depuis la fondation de la philosophie.