La proposition subordonnée sujet introduite par la conjonction de subordination "que" demande le subjonctif, mais placée après la principale, le verbe sera à l'indicatif. Que vous ayez été malade, cela se voit. Cela se voit que vous avez été malade. 2.
"que" est une conjonction de subordination et il introduit une proposition subordonnée conjonctive. Cette proposition subordonnée conjonctive a la fonction de "complément d'objet direct" puisqu'on pose la question : Gérald PENSE quoi ?
Rappel : De nombreuses expressions avec que (quoique, bien que, encore que, afin que, etc) sont généralement suivies du subjonctif. Je suis contente de te voir bien que tu sois en retard.
Le mode verbal le plus souvent utilisé dans les propositions subordonnées relatives est le mode indicatif. Cependant, dans certains cas, pour exprimer certaines nuances, on emploie aussi le mode subjonctif. Le mode le plus utilisé dans les propositions subordonnées relatives est l'indicatif.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
Le subjonctif imparfait est formé à partir du radical du passé simple de l'indicatif et des terminaisons en : -sse, -sses, -^t, -sions, -siez, -sent. Ex. : Que je parlasse, que tu rendisses, qu'il envoyât, que nous fussions, que vous vinssiez, qu'ils eussent.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.) ou par une locution conjonctive de subordination (parce que, bien que, pour que, etc.). Ex. : Les pêcheurs attendent pour sortir [que la tempête se calme].
Selon le sens du verbe introducteur, le mode de la proposition subordonnée complétive est soit l'indicatif soit le subjonctif : Exemple : Je sais qu'elle est malade. : c'est un fait, on emploie l'indicatif. Exemple : Je souhaite qu'elle guérisse. : c'est un souhait, on emploie le subjonctif.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Pour reconnaître un verbe conjugué au conditionnel présent, tu dois mettre le verbe dans une phrase où il y a "si". Ex: Si tu veux venir, il faudrait que tu aies une invitation. Comme tu vois, le verbe conjugué au conditionnel présent est "falloir''.
De manière générale, le subjonctif présent se forme sur le radical de l'indicatif présent auquel il faut ajouter les terminaisons suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent. Par exemple, pour le verbe aimer : que j'aime, que tu aimes, qu'il/elle/on aime, que nous aimions, que vous aimiez, qu'ils/elles/eux aiment.
Il est possible que + subjonctif : Il est possible qu'il vienne demain.
Règle générale : les propositions subordonnées sont introduites par un mot de liaison : pronom relatif, conjonction de subordination ou un mot interrogatif. Il pense étudier demain. Les cours l'ennuyant, il préfère rester à la maison. Exceptions : les propositions infinitives et participes dérogent à cette règle.
Que et Ce que :
Nous avons vu que, dans « Je me réjouis que tu viennes », la conjonctive s'analysait comme un COI. On pourrait dire aussi, quoique plus lourdement : « Je me réjouis de ce que tu viennes », où la préposition redevient apparente.
Proposition subordonnée conjonctive : Elle complète toujours un verbe. Elle est introduite par une conjonctive de subordination ou une locution conjonctive. Proposition subordonnée conjonctive circonstancielle : Elle indique dans quelle(s) circonstance(s) a lieu l'action principale.
En français sept modes verbaux sont employés : - quatre modes personnels, qui se conjuguent : indicatif, conditionnel, subjonctif et impératif. - trois modes impersonnels, qui ne se conjuguent pas : infinitif, participe et gérondif. Les modes personnels.
les modes personnels : l'indicatif, l'impératif, le conditionnel et le subjonctif. Les modes personnels varient en fonction de la personne du sujet ; les modes impersonnels : l'infinitif, le participe, le gérondif. Les modes impersonnels ne varient pas en fonction de la personne.
Elle est introduite par un subordonnant (si, ce qui, ce que, etc.) ou par un marqueur interrogatif avec ou sans préposition (pourquoi, comment, de combien, à qui, etc.). Elle fait partie du groupe verbal. Elle occupe la fonction de complément direct ou indirect du verbe.
« Que » est un pronom relatif. Par exemple, « je te présente la fille que j'aime », « que » a pour antécédent le nom commun « fille ». – Dans les propositions subordonnées conjonctives, « que » complète un verbe. On dit alors que le mot « que » est une conjonction de subordination.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom, sur lequel elle apporte des précisions. Sa fonction est alors épithète.
Dans une proposition subordonnée relative, « que » est un pronom relatif et peut être remplacé par un nom. Il fait partie du groupe nominal. Dans une proposition subordonnée conjonctive, « que » est une conjonction de subordination et ne peut pas être remplacé. Il fait partie du groupe verbal.
La formation du passé simple
Il faut utiliser le radical du verbe auquel on ajoute les terminaisons du passé simple qui sont : Pour les verbes en AR : -é, -aste, -ó, -amos, -asteis, -aron. Pour les verbes en ER/IR : -í, -iste, -ió, -imos, -isteis, -ieron.
Le conditionnel présent se forme en ajoutant à l'infinitif du verbe les terminaisons de l'imparfait de l'indicatif de l'auxiliaire "haber" => Infinitif + ía, -ías, -ía, -íamos, -íais, -ían.
Le passé antérieur est un temps qui exprime l'antériorité par rapport au passé simple . Il se forme avec l'auxiliaire conjugué au passé simple + participe passé du verbe. Exemple : J'eus parlé /Nous eûmes parlé - Tu fus entré / Vous fûtes entrés .