D'après la loi, la dot est attribuée exclusivement à l'épouse, mais dans la pratique c'est la famille de la jeune fille qui la reçoit. La loi sur les cérémonies familiales fixe le montant de la dot à 3 000 FCFA et les frais de réjouissance (dépenses pour la fête) à 15 000 FCFA.
La dot : La dot est une pratique courante dans les mariages soninkés. La famille du marié offre des cadeaux, de l'argent ou des biens matériels à la famille de la mariée en signe de gratitude pour leur accord. La dot peut être négociée entre les deux familles.
Ainsi dans les pays anglo-saxons et germaniques, ainsi qu'en Alsace et en Lorraine, il incombe traditionnellement à la famille de la mariée de payer la cérémonie et le repas de mariage.
C'est à partir du XIIe siècle que s'est généralisée en Occident la pratique de la dot, cadeau apporté au marié par la famille de sa future épouse. Une révolution venue du droit romain qui allait s'accompagner, pour longtemps, d'une dégradation de la condition féminine.
Payée par le fiancé, elle permet de sceller l'union entre deux familles et peut être constitué d'argent, de cadeaux ou d'un mélange des deux. Selon lavoixdujuriste.com, la dot est une institution qui existe dans de nombreuses sociétés africaines. Elle est indisocciable du mariage coutumier ou traditionnel.
Une dot c'est une compensation des dépenses des parents pour l'éducation de leur fille. Vous pouvez tabler sur 100.000 b comme cela peut aussi être 20.000 ou 0, tout dépend des familles, il n'y a pas de règles.
Concernant la dot, le montant que le Prophète ﷺ donnait à ses femmes et exigeait pour ses filles était en moyenne d'environ 1428 grammes d'argent.
La dot, ou le « mahr »
C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc. C'est Allah Lui-même qui a ordonné au mari de verser la dot à son épouse dans le Coran.
Certaines coutumes traversent les siècles. C'est le cas de la dot, une pratique encore incontournable dans de nombreux pays africains, qui permet de sceller l'union entre deux familles. Ce rite très codifié et hautement symbolique donne généralement lieu à des célébrations qui se veulent joyeuses et fédératrices.
Il est des coutumes qui traversent les siècles. À Dakar, Yaoundé ou Pointe-Noire, la dot est encore souvent incontournable. Payée par le fiancé, elle permet de sceller l'union entre deux familles. Et demeure très codifiée.
Demoiselles et garçons d'honneur, leur rôle est d'aider les mariés, de rester à leurs côtés et veiller au bon déroulement du mariage. Ils peuvent également aider les mariés à s'habiller et parfois garder leurs effets personnels (téléphone, bouquet…).
La remise de la dot est, en Côte-d'Ivoire, la vraie formalité du mariage. Elle est faite par le futur ou ses parents aux parents de la jeune fille. On conçoit dès lors que la naissance d'une fille soit accueillie avec plus de joie que celle d'un garçon puisqu'elle sera une source de revenus pour ses parents.
En théorie, les biens placés sous le régime dotal étaient inaliénables, c'est-à-dire qu'ils ne pouvaient être ni vendus, ni laissés, ni encore remis à titre gratuit à quiconque. Toutefois, selon le droit romain, la dot était constituée pour permettre aux conjoints de soutenir les dépenses et les charges du mariage.
Les mariages au Sénégal se passent en général le week-end et peut aussi s'étendre sur plusieurs jours. Contrairement à d'autres pays où c'est juste une journée de fêtes. Le Sénégal est un pays culturel, ancré à ses coutumes et à ses traditions. Un pays traditionnel, où la voix de l'aîné est respecté.
2) Il est préférable de donner la dot au moment du contrat de mariage. Dans ce noble hadith, l'homme s'est précipité chez lui pour récupérer la dot afin de contracter le mariage. 3) La dot doit avoir une valeur. C'est pour cela que le prophète a refusé que le compagnon donne la moitié de son pagne.
Le conjoint qui reçoit la dot est dit époux doté. Enfant doté, fille dotée (par ses père et mère). La dot (ou la somme de la dot) est déterminée ou indéterminée. Elle peut être servie sous diverses formes : pension annuelle ou rente viagère.
Pour ce qui est de la dot, elle fait figure de compensation au profit du père de famille, de signe de l'union des deux familles et de facteur de stabilité du mariage.
Le système de la dot déshumanise les femmes en les traitant comme des biens échangeables. Pire encore, le système les considère non pas comme un atout, mais comme un fardeau dont il faut se débarrasser : la famille d'une mariée paie la famille du marié pour le coût de sa prise en charge.
Selon l'Islam, comment la dot devrait se faire ? La dot peut être une somme d'argent, des bœufs, ou n'importe quels objets (qui a une valeur). si le montant de la dot est fixé, Il ne faut pas que la valeur de ces objets ou de ces bœufs soit être inférieur au montant fixé.
Par conséquent, la dot ne conditionne en rien la célébration du mariage légal, car elle n'est pas une condition légale antérieure au mariage légal. Il en va autrement pour la tradition. Pas de mariage reconnu et pris en compte par les ancêtres, les chefs de famille et les parents proches à la future épouse sans la dot.
Le mariage musulman peut se célébrer à n'importe quelle période de l'année, bien que certains juristes islamiques recommandent un mariage durant le mois suivant le Ramadan.
Ils privilégiaient plutôt les mariages en milieu de semaine, généralement le mardi ou le jeudi. Jours et mois saints des musulmanes : Pour la communauté musulmane, le vendredi est le jour saint de la prière, ce qui en faisait un choix populaire pour les mariages.
De façon complète et immédiate, la dot est abolie en Côte d'Ivoire et la prohibition est assortie de sanctions sévères (emprisonnement et amende).
La phase des cadeaux : la dot
Certains cadeaux (généralement de l'argent en espèce)sont remis confidentiellement aux parents et à certains membres importants de la belle famille. Les cadeaux officiels à remettre ce jours-là, sont variés et dépendent des tribus ou des ethnies.
Description. Ce don peut prendre diverses formes, comme une somme d'argent ou des biens. Il peut également être divisé en plusieurs parts : l'une remise à l'épouse au moment du mariage, l'autre après sa consommation et restant due en cas de divorce (si répudiation) ou de veuvage.