Le montant réel des réparations que la seule Allemagne est obligée de payer ne correspond bien entendu pas à 132 milliards (soit 300 % du PNB allemand de 1913) mais à 52 milliards de marks-or (valeur 1914), laquelle somme est inscrite dans les annexes d'obligations de type A (10 milliards) et B (42 milliards) du dit ...
En janvier 1921, la Conférence de Paris fixe le montant des réparations à 226 milliards de marks-or qui devront être versés sur une période de 42 ans (jusqu'en 1963!).
Après le moratoire d'un an décidé en juin 1931 par le président américain Hoover, les alliés décident de renoncer à Lausanne en juillet 1932 à toute indemnité de guerre. Voilà donc l'Allemagne libérée des réparations. Elle aura finalement payée 23 milliards de marks, soit 17 % du montant prévu en 1921.
L'État français s'inspire des principes inscrits dans la loi du 17 avril 1919 (dite « Charte des sinistrés ») et de l'organisation administrative antérieure pour créer, par la loi du 11 octobre 1940, le Commissariat technique à la Reconstruction immobilière, en charge de l'indemnisation des sinistrés.
Ainsi entre 1990 et 2010, presque 200 millions d'euros sont payés et le 3 octobre 2010 , l'Allemagne règle sa dernière dette de paiement de 69,9 millions d'euros.
« La partie de la dette allemande détenue par des banques centrales est probablement proche de 75 à 80% du total existant. Le ratio est probablement supérieur à 70% dans le cas des OATs (dette de l'état Français).
Elle est étroitement liée à l'histoire des dépenses publiques françaises. L'État français a souvent eu recours à la dette pour faire face à des dépenses fortes, comme les guerres ou les plans de relances, ou une chute de revenus, durant des crises économiques.
Le président de l'Ukraine, Volodymyr Zelensky, promet le 3 mars 2022, lors de la poursuite des combats, que la Fédération de Russie va reconstruire toutes les infrastructures détruites en faveur de l'Ukraine à titre de réparations et de contre-attributions.
Non, il n'existe pas d'assurance spécifique pour se protéger du risque de guerre. En revanche, vous pouvez vous prémunir d'un tel risque en souscrivant une assurance vie par exemple, cela vous permettra de compenser en partie les dégâts causés en temps de guerre dans votre logement.
La révolution d'octobre-novembre 1917 entraîne la dissolution de l'armée et des cadres économiques et sociaux. Le régime des bolcheviks signe avec l'Allemagne le traité de Brest-Litovsk, le 3 mars 1918 , abandonnant l'Ukraine, les pays baltes et le Caucase.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne fut occupée par les quatre puissances victorieuses, puis partagée en deux États, d'une part la République fédérale d'Allemagne (RFA), liée au bloc occidental, d'autre part la République démocratique allemande (RDA), sous influence soviétique et intégrée au bloc de l'Est.
Cette remise de dette, d'une ampleur rare en Europe au XXe siècle, est scellée avec l'accord signé le 27 février 1953 à Londres entre la RFA et 21 pays ayant pris part aux négociations. Outre les Etats-Unis, la plupart des pays européens ainsi que la Suisse en font partie.
La ville aux quatre zones
Les Alliés partagèrent Berlin lors de la conférence de Yalta Quatre zones furent ainsi définies, la France contrôlait la partie Nord-Ouest, l'Angleterre l'Ouest et les USA le Sud-Ouest de la ville. Toute la partie Est de Berlin resta sous contrôle de l'Union soviétique.
Diktat est un terme venant d'un mot allemand (Diktat) signifiant « chose dictée ». Diktat est le terme utilisé pour qualifier le Traité de Versailles, imposé sans négociation, en 1919, à l'Allemagne, par les vainqueurs de la Première Guerre mondiale.
Sa mise en application au tout début d'août 1914 a donné l'occasion aux armées allemandes de remporter la bataille des Frontières (du 7 au 23 août), mais le plan n'a pas permis d'emporter la décision avec la mise en échec des forces allemandes lors de la bataille de la Marne (du 6 au 9 septembre).
C'est donc une question politiquement chargée, aujourd'hui encore.” L'événement déclencheur de la Grande guerre est connu de tous les écoliers : l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand, héritier du trône d'Autriche-Hongrie à Sarajevo le 28 juin 1914 par des nationalistes serbes.
Les exclusions générales
Il s'agit notamment : les dommages d'origine nucléaire ou à rayonnement ionisant ; les dommages dus à la guerre (différents de ceux pris en charge par la taxe attentat) ; les dommages dont l'origine est antérieure à la signature du contrat d'assurance habitation.
les dommages corporels entre les membres d'une même famille ; les dommages corporels contraires à la loi ou aux bonnes mœurs ; les dommages corporels par une personne détenant des armes ou explosifs ; les dommages causés dans l'exercice d'une profession, d'une fonction publique ou représentative.
Les biens qui sont exclus ou non couverts par l'assurance habitation multirisque, ne le seront pas en cas de catastrophes naturelles. En conséquence, les jardins, les parkings, les tombes, et tout autre éléments qui ne sont pas protégés par une garantie de type "dommage aux biens", ne sont pas indemnisables.
Très impliqué, le Royaume-Uni, qui est l'un des alliés les plus actifs de l'Ukraine, soutiendra notamment la reconstruction de la ville et de la région de Kiev, à la demande du président Zelensky, a indiqué le Foreign Office dimanche.
Les premiers bâtiments en reconstruction à Marioupol, ville portuaire du sud-est de l'Ukraine dévastée par des semaines de bombardements, seront inaugurés en septembre, a annoncé lundi 1er août la Russie, qui occupe désormais cette localité.
La raison : des intermédiaires bancaires ont bloqué les paiements du fait des sanctions prises par les pays occidentaux en conséquence de la guerre en Ukraine.
Comme le montre le graphique ci-dessus, 79 % de la dette publique provient de l'État. Les administrations publiques locales (collectivités territoriales) et les organismes de Sécurité sociale représentent respectivement 9 % et 11 % de la dette publique.
Au premier trimestre 2022, la contribution de l'État à la dette publique augmente de 64,8 Md€. L'État émet principalement des titres obligataires de long terme (+68,6 Md€) alors que l'encours de titres négociables de court terme poursuit sa diminution pour le quatrième trimestre consécutif (–4,2 Md€).