l'Humanisme (1530-1570) le Baroque (1570-1650) le Classicisme (1650-1700) les Lumières (1720-1770)
Le terme d'humanisme est aujourd'hui entré dans le langage courant comme une certaine forme d'altruisme et de bienveillance. Mais l'humanisme est en réalité un mouvement littéraire et artistique né à la Renaissance.
LE CLASSICISME LES LUMIÈRES
Participant à l'Humanisme, les écrivains de la Pléiade veulent retrouver l'inspiration qui a fait la grandeur de la culture antique. Ils rejettent les formes de la littérature médiévale et cherchent à développer et à enrichir la langue française.
Aux XVe et XVIe siècles, les intellectuels humanistes rompent avec le Moyen Âge. Prenant l'Antiquité pour modèle, ils font renaître l'état d'esprit antique grâce aux sources grecques et latines sur lesquelles ils travaillent.
L'humanisme est un mouvement de pensée européen pendant la Renaissance qui se caractérise par un retour aux textes antiques comme modèle de vie, d'écriture et de pensée.
L'art de la renaissance est très différent de celui du monye-âge. Il innove sur les thèmes représentés, les techniques utilisées. Les liens avec l'humanisme sont visibles, l'homme est au centre. L'art porte un nouveau regard sur l'homme et sur le monde.
Du milieu du XVe siècle au milieu du XVIe siècle, l'Europe est saisie d'une telle effervescence intellectuelle, artistique et scientifique que très vite elle se distingue du reste du monde. Cette effervescence s'accompagne d'un retour aux modèles de l'Antiquité gréco-latine. C'est l'humanisme !
Les différents genres. La littérature du XVI e siècle regroupe trois courants principaux : la littérature humaniste, la littérature courtoise et la littérature engagée.
L'humanisme met alors en valeur la pensée, la culture et l'art. Pour se développer, il faut donc en apprendre le plus possible sur ces 3 sphères. Toute cette étude doit aussi se faire en se basant sur les textes antiques.
L'humanisme donne en effet une place centrale à l'homme, ce qui remet en cause totalement la pensée de l'Eglise. Selon les humanistes, l'homme n'est plus un pécheur humilié devant Dieu et déchu par le péché originel.
Buts des humanistes
Les humanistes de la Renaissance souhaitaient éduquer l'homme pour le grandir et bâtir une société meilleure, plus morale, fondée sur le respect de l'être humain.
Plusieurs genres et courants romanesques voient le jour au XXe siècle dont les principaux sont : Le surréalisme (1920 - 1950) L'absurde, l'existentialisme ou le non-sens (1930 - 1960) Le Nouveau Roman (1950 - 1960)
L'Humanisme est un mouvement littéraire qui prend son essor au XVIe siècle mais commence dès le XIVe siècle en Italie, avec Pétrarque (1304 – 1374) et Boccace (1313 – 1375), poètes florentins.
Non seulement peintre virtuose, auteur des plus grands chefs-d'œuvre de l'Histoire, il fut aussi un inventeur visionnaire, un architecte et un théoricien. Il incarne incontestablement le génie universel et humaniste de la Renaissance.
L'auteur remet en question la religion chrétienne et ses dogmes. L'auteur s'oppose aux réécritures qui altèrent les textes anciens. L'auteur critique l'éducation du Moyen Âge et développe une nouvelle vision de l'enseignement.
Le terme signifie « instruit, cultivé » et désigne donc des intellectuels : des lettrés, savants. Les humanistes veulent rompre avec le Moyen-Âge considéré comme une période de ténèbres et reviennent aux textes de l'Antiquité grecque et latine.
Humanisme et production artistique
Le renouvellement de la réflexion philosophique fournit aux artistes de nouvelles idées : avec le néoplatonisme, l'Homme est au centre de l'univers. Les peintres et les sculpteurs n'hésitent plus à représenter la beauté des corps humains dénudés.
Les humanistes et l'Europe. L'humanisme est un mouvement culturel qui prend son essor dans l'Italie du XIVe siècle avant de se diffuser dans toute l'Europe moderne.
Le latin dans l'Europe des humanistes. Le latin humaniste est fondé sur le modèle du latin classique. Son créateur, peut-on estimer, est François Pétrarque (1304-1374), qui impose un style résolument différent de celui typique de l'ars dictaminis tardomédiéval.