Le masque de sous-réseau comprend 19 bits pour la partie réseau de l'adresse et 13 bits pour la partie hôte. 23 = 8 (19 - 16 = 3) sous-réseaux possibles disponibles suivant la RFC 1812. En utilisant l'ancien standard RFC 950, le nombre de sous-réseaux utilisables est de 6.
| L'algorithme qui est utilisé pour calculer le nombre de sous-réseaux et d'hôtes est celui des puissances de deux. Emprunter un bit d'hôte, revient à faire 2 puissances 1, ce qui permet de créer 2 sous-réseaux. En empruntant 2 bits, cela donne 2 puissances 2, et donc permet de créer 4 sous-réseaux, et ainsi de suite !
Un sous-réseau est un espace d'adresses IP qui est divisé en espaces d'adresses plus petits. Le sous-réseau devient ainsi une partie d'un réseau dans lequel toutes les adresses IP utilisent la même adresse réseau.
Rappel constitution d'une adresse réseau :
Les adresses IP et masque de sous-réseau sont composés de 4 octets, chaque octet ne peut dépasser 255 et être inférieur à 0. Donc l'écriture d'une adresse réseau donne par exemple 192.168.0.245, sans jamais dépasser la décimale 255.
Définition. Le masque est un séparateur entre la partie réseau et la partie machine d'une adresse IP. Le masque, comme l'adresse IP, est une suite de 4 octets, soit 32 bits. Chacun des ces bits peut prendre la valeur 1 ou 0.
Exemple d'utilisation
La machine est connecté sur une réseau de classe C. L'adresse réseau est 192.168.0.0 . L'adresse de diffusion quant à elle, est 192.168.0.255. Sur ce réseau, on peut connecter 254 machines (n hosts) avec une plage d'adresses allant de 192.168.0.1 à 192.168.0.255.
Mais dans les masques de sous-réseau, seuls certains nombres sont autorisés : 0, 128, 192, 224, 240, 248, 252, 254 et 255 (correspondant aux octets de valeurs binaires 00000000,10000000,11000000,etc). Une autre représentation est possible avec un nombre hexadécimal de huit chiffres (par exemple, FF.
Un sous-réseau est une subdivision logique d'un réseau de taille plus importante. Le masque de sous-réseau permet de distinguer la partie de l'adresse commune à tous les appareils du sous-réseau et celle qui varie d'un appareil à l'autre. Un sous-réseau correspond typiquement à un réseau local sous-jacent.
Le protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) est un protocole client/serveur qui fournit automatiquement un hôte IP (Internet Protocol) avec son adresse IP et d'autres informations de configuration associées, telles que le masque de sous-réseau et la passerelle par défaut.
Dans la version 4 du protocole (IPv4), une adresse IP comporte 32 bits, ce qui permet de créer jusqu'à 4 294 967 296 (232) de numéros uniques. Dans sa version 6 (IPv6), l'adresse est longue de 128 bits : on dispose ainsi de 3,4 x 1038 (2128) adresses uniques.
La notation CIDR est calculée à partir du nombre des uns dans le masque de sous-réseau lorsqu'il est converti en binaire. Par exemple, pour le masque de sous-réseau par défaut 255.255.255.0, il est converti en 11111111.11111111.11111111.00000000 en binaire. Additionnez-les et vous obtenez 24.
Pour les DNS primaire et secondaire nous vous conseillons d'utiliser ceux de Monaco Telecom mais vous pouvez également utiliser ceux de Google : 8.8.8.8 et 8.8.4.4 ou d'Open DNS : 208.67.222.222 et 208.67.220.220. Votre PS4 est maintenant configurée en IP fixe.
Une adresse IPv4 est un nombre de 32 bits identifiant de manière unique une interface réseau sur un système, comme expliqué à la section Application d'adresses IP aux interfaces réseau. Une adresse IPv4 s'écrit sous forme de nombres décimaux, divisés en quatre champs de 8 bits séparés par des points.
Un petit exemple pour être un peu plus clair. On veut par exemple 50 machines, on choisit donc un masque en 255.255.255.192. C'est le dernier octet qui est significatif, on fait donc 256-192=64. Il faut donc que le dernier octet de l'adresse de réseau soit un multiple de 64.
Une adresse IP de classe C dispose de trois octets pour identifier le réseau et d'un seul octet pour identifier les machines sur ce réseau. Un réseau de classe C peut comporter jusqu'à 28-2 postes, soit 254 terminaux.
Le but d'un terminal n'est pas de traiter des informations (comme un ordinateur typique), mais d'envoyer des commandes à un autre système. Par exemple, un administrateur de réseau peut utiliser un terminal pour se connecter à un réseau et gérer des périphériques connectés au réseau.
IPv6 utilise des groupes multicast. IPv4 utilise 0.0.0.0 comme adresse non spécifiée et une adresse de type classe (127.0.0.1) pour le bouclage. IPv6 utilise :: et ::1 comme adresse non spécifiée et adresse de rebouclage, respectivement.
Le masque 255.255.255.224 permet 25 hôtes (5 bits pour les machines). Un réseau de classe C permet d'avoir 28 hôtes. On peut donc avoir 28 / 25 = 8 sous-réseaux avec ce masque 255.255.255.224.
Passerelle et routeur : quelles sont les différences ? Un routeur est un système de couche réseau utilisé pour gérer et transmettre des paquets de données à des périphériques réseau tandis qu'une passerelle est simplement un dispositif qui agit comme une porte entre les réseaux.
Une passerelle par défaut est toujours un routeur qui peut se connecter à plusieurs réseaux IP et acheminer le trafic entre ces réseaux IP. Le routeur aura sa propre adresse IP sur chaque réseau IP auquel il se connecte.
Serveur DNS préféré : 8.8.8.8. Serveur DNS auxiliaire : 8.8.4.4.
Le protocole IPv6 peut traiter les paquets plus efficacement. Il permet aussi d'améliorer les performances et renforcer la sécurité. Ensuite, il permet aux fournisseurs de services internet de réduire la taille de leurs tables de routage en les rendant plus hiérarchisées.