Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
C'est le type de cancer qui tue le plus vite. Il se développe généralement dans les organes digestifs, les poumons, la prostate et les ovaires. L'adénocarcinome est, en effet, un cancer difficile à soigner s'il n'est pas détecté ni traité à temps, Les cancers du poumon, du pancréas, de l'œsophage, du foie.
Le cancer du poumon est la cause la plus fréquente de décès liés au cancer.
Le cancer du pancréas est l'un des plus dévastateurs et des plus foudroyants. Et malheureusement, c'est également l'un des plus mal diagnostiqué. Comme l'a rappelé pour Yahoo le docteur Christian Recchia, le pancréas est “enchâssé derrière l'estomac”, il est donc “très peu visible”.
Comme le cancer du poumon, les cancers du foie sont de diagnostic tardif et donc difficilement curables. La survie à 5 ans après le diagnostic d'un cancer du foie est de 15%. C'est pour cette raison qu'un dépistage est préconisé chez les sujets à risque, avec des échographies à réaliser régulièrement.
Ce nouveau classement témoigne de l'assise internationale de Gustave Roussy, saluée tous les ans dans le classement Clarivate "Highly cited researchers" des chercheurs les plus cités au monde (10 experts de Gustave Roussy au palmarès 2019).
Stade 4 : Le cancer a créé des métastases dans d'autres organes et la guérison est rarement possible. Le but des traitements est généralement « palliatif », c'est-à-dire soulager les symptômes et ralentir la progression de la maladie.
Le cancer du pancréas et le mésothéliome pleural (cancer de l'amiante) sont mortels la plupart du temps.
D'autres maladies "fulgurantes"
Si les cancers de la prostate et du sein sont les plus fréquents, c'est le cancer du poumon qui est le plus mortel chez l'homme et celui du sein chez la femme, devant les cancers colorectal et de la prostate, selon les derniers chiffres de Santé publique France.
Quel est le pire ennemi du Cancer ? Le Sagittaire ! Le détachement et la faculté de ce signe de feu à ne rien prendre au sérieux irritent instantanément le natif du signe d'Eau !
La recherche scientifique a démontré que l'embonpoint et l'obésité augmentent le risque de cancer. Essayez d'éviter les sucres ajoutés et dégustez, avec modération, des aliments contenant des sucres naturels. Ceci étant dit, voici une liste de conseils pour réduire la quantité de sucres ajoutés dans votre alimentation.
Les cancers rares que nous pouvons évoquer sont par exemple les sarcomes des tissus mous, de nombreux cancers pédiatriques et également certains cancers de l'ovaire.
La leucémie aiguë myéloïde (7 % des nouveaux cas annuels d'hémopathies malignes), présente le pronostic le plus défavorable, avec une survie à 5 ans de 27 %.
Une régression spontanée sur 60 000 à 100 000 cancers
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques.
Phase terminale de cancer : l'aggravation des symptômes. Les patients qui sont en phase terminale de cancer voient de nombreux symptômes apparaître ou s'aggraver. Généralement, il s'agit de symptômes qui étaient peu contraignants mais qui finissent par s'accentuer sans que les traitements parviennent à les soulager.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Les premiers symptômes sont des douleurs osseuses, intermittentes ou continues, qui ont tendance à s'aggraver la nuit. Elles peuvent être localisées ou étendues dans l'ensemble du corps.
Les biomarqueurs sanguins
La présence de marqueurs sanguins particuliers peut être recherchée. Il s'agit en général de protéines produites de manière anormalement élevéepar les cellules cancéreuses. Leur présence est simplement un indice pour le diagnostic, car elle peut également signer des pathologies non malignes.
Le paludisme, la tuberculose et le VIH/sida continuent de compter parmi les 10 principales causes de mortalité, quoiqu'ils reculent tous considérablement.
Tout dépend du type de cancer. Arbitrairement, la barre a été fixée à 5 ans(1), mais il n'est pas toujours nécessaire de patienter aussi longtemps pour parler de guérison. Certains cancers ont de meilleures chances de guérison que d'autres à 5 ans.. Demandez à votre médecin ce qu'il en est pour votre cas particulier.
Métastases hépatique (au foie) : lourdeur et douleurs au niveau du foie. Métastases tumorales (au cerveau) : nausées, vomissements, vertiges, troubles de la concentration. Métastases pulmonaires (aux poumons) : toux persistante, essoufflement, gêne respiratoire.
La chimiothérapie permet de ralentir, voire d'arrêter, la progression de la maladie et de soulager les symptômes provoqués par la tumeur et les métastases. Dans le cas des cancers qui se sont étendus à la vessie et/ou à l'intestin, la chimiothérapie est associée à une radiothérapie externe et une curiethérapie.
Les régimes riches en légumes non féculents, comme le brocoli, les épinards et les haricots, peuvent aider à protéger contre les cellules cancéreuses du cancer de l'estomac et de l'œsophage.
La Suisse moins touchée
Avec 92,48 morts dus au cancer pour 100'000 adultes, la Suisse se place au-dessous de la moyenne mondiale. Selon le CRUK, le pays comptabilisait 16'376 cas mortel en 2012.