Ce gigantesque réservoir, recèle un énorme potentiel écologique. En effet, en plus de ses énormes provisions de carbone, le Bassin du Congo est incontestablement l'espace le plus riche d'Afrique en termes de biodiversité. Cette riche biodiversité participe au maintien du système écologique naturel.
« Poumon vert » est une expression anthropomorphique souvent utilisée pour caractériser les grandes forêts tropicales, voire les forêts en général, dans la mesure où elles fixent le CO2 atmosphérique grâce à la photosynthèse.
L'arbre représente un véritable atout pour notre environnement. Lui et son écosystème associé possèdent bien des bénéfices.
Son plus grand super-pouvoir, c'est la photosynthèse. Ce processus chimique permet à l'arbre de transformer le gaz carbonique de l'air en oxygène. Le gaz carbonique, ou CO2, émis par les activités humaines, est l'un des grands responsables du changement climatique. Grâce à la photosynthèse, les arbres piègent le CO2.
C'est-à-dire qu'elle consomme autant d'oxygène qu'elle en produit, ne fournissant aucune quantité significative supplémentaire d'oxygène à l'atmosphère pour la respiration des animaux. C'est pourquoi il est exagéré de qualifier la grande forêt amazonienne de poumon de la Terre.
En fait, presque tout l'oxygène respirable de la Terre (près de 21 % de l'atmosphère terrestre) provient des océans. Il s'est accumulé dans l'atmosphère grâce à des micro-organismes marins (par exemple cyanobactéries et micro-algues planctoniques) capables de réaliser la photosynthèse.
Saviez-vous qu'il existait un arbre capable de produire 4 fois plus d'oxygène qu'un arbre classique. Il s'appelle Paulownia Tomentosa (ou Kiri) et s'avère indispensable à la reforestation. Nous avons tous appris la photosynthèse en cours de Sciences Naturelles, cet arbre pourrait en être le champion !
C'est plus précisément le phytoplancton, ou plancton végétal, qui en est le véritable responsable.
Le numéro 1 incontesté est probablement la forêt la plus célèbre de la planète, l'Amazonie sud-américaine. La forêt de toutes les forêts, avec ses fabuleux 5 500 000 km2 , a non seulement la plus grande superficie, mais elle abrite aussi une espèce sur dix existant sur terre.
La capacité à absorber le gaz carbonique de l'atmosphère et à produire de l'oxygène a donné aux forêts le nom de “poumons du monde.” Le gaz carbonique est surtout émis par la combustion du pétrole, du charbon, du gaz naturel ou d'autres combustibles “fossiles” à des fins industrielles, énergétiques et de transport.
L'oxygène de l'air que nous inspirons par voie nasale ou buccale parvient jusqu'aux poumons par la trachée, ainsi que jusqu'aux alvéoles pulmonaires par de fines ramifications (bronches et bronchioles) et, enfin, jusqu'aux vaisseaux sanguins (capillaires).
la préservation des sols forestiers et des cours d'eau grâce à un cahier des charges mis en œuvre par les intervenants en forêt ; Abandon de l'utilisation de produit phytopharmaceutique en forêt ; la restauration de l'équilibre forêt-gibier.
L'océan et la photosynthèse de ses organismes végétaux (le phytoplancton notamment) absorbent le CO2 et produisent de l'oxygène (O2). L'océan absorbe ainsi 30% du CO2 de la planète et produit entre 50% et 75% de l'oxygène que nous respirons, selon les sources et les zones géographiques (16).
Les forêts boréales d'Amérique du Nord, de Scandinavie et de Russie contiennent elles environ 750 milliards d'arbres soit 24% du total. Au niveau des pays, c'est la Russie, le plus grand pays du monde en superficie qui accueille le plus d'arbres, avec un total de 641.607.335.936 arbres soit 4.461 par habitants.
Le pays le plus couvert est la Finlande, avec 73 %. Le pays le moins couvert est Monaco, qui n'a pas de forêts. 178 millions d'hectares de forêt se trouvent sur le territoire de l'Union européenne, ce qui représente 40 % de sa surface.
1. La Forêt Amazonienne (Brésil, Pérou, Colombie...) S'étalant sur 9 pays, d'une superficie de 550 000 000 d'hectares, la Forêt Amazonienne est la mère de toutes les forêts. Celle qui fascine autant qu'elle effraie.
Le lierre : la plante anti-pollution
En milieu urbain, le lierre est très efficace contre la pollution grâce à ses vertus dépolluantes et à sa capacité d'absorption des particules. Ainsi, le lierre peut absorber les métaux lourds présents dans l'air.
Il est généralement conseillé de ne pas mettre de plantes dans une chambre, car la nuit, les végétaux respirent en absorbant de l'oxygène et en rejetant du dioxyde de carbone (CO2). Mais les volumes de CO2 rejetés par les plantes sont très faibles, donc pas du tout dangereux pour la santé !
Parmi les fruits, optez pour les pêches, les prunes, et surtout les baies. Côté légumes, ceux à feuilles vertes, comme les épinards, les choux, la salade, mais aussi les radis, les patates douces ou l'ail. Parmi les épices, privilégiez le curcuma et le gingembre.
Les arbres au feuillage abondant et aux feuilles plates, tels que le robinier faux-acacia ou le peuplier noir, sont ainsi capables d'absorber de grandes quantités de polluants, de même que les essences à feuilles rugueuses comme le hêtre.
Les arbres fabriquent de l'oxygène et du glucose à partir du dioxyde de carbone contenu dans l'air. Pour cela, ils ont besoin de chlorophylle – la substance qui donne aux feuilles leur couleur verte – mais aussi d'eau, qu'ils puisent dans le sol grâce à leurs racines, et du rayonnement du soleil.
L'oxygène est apporté dans l'eau par la photosynthèse des plantes aquatiques et principalement du phytoplancton, et par diffusion au niveau de l'interface air – eau.